Je m’adresse aux amoureux de la plage sauvage, des falaises rouges sculptées par les vagues de la mer et de dunes qui se prolongent à perte de vue.
Bonjour. Ça va ti bien?
Souvenirs d’images et d’émotions.
Là le vent fait jaser.
L’Étang du Nord, une bouffée d’air frais pour tous ceux et celles qui prendront le temps de s’y arrêter.
Aux Îles, c’est pas pareil.
L’Île du Havre Aubert, celle dont on rêve.
Les bateaux reprennent leur souffle.
Une dentelle géante rougie par le soir.
Où le soleil s’éteint en silence.
Une carte postale grandeur nature.
L’Île de Havre Aubert, un point de départ pour un monde invisible.
C’est quasiment sûr, vous y reviendrez.
Dans la lumière du matin, ils s’affairaient à sortir les filets à harengs.
Mon Dieu que ’ c’est beau!
Aux Îles, on vous sert dans de la belle vaisselle blanche mince comme de la porcelaine, délicatement décorée d’une tige de pissenlit.
Comme si parler de la pluie et du beau temps, nous donnait plus de temps pour arriver.
Les Îles de la Madeleine, c’est à fleur de peau.
Il se rappelle les dîners sur l’herbe où sa mère apportait les cahiers de la bonne chanson.
Je suis revenu chez nous, pis j’ai pas dormi ce soir-là….
La mer est basse et roule doucement, longuement en attente d’une prochaine vague.
Une musique faite de chants d’oiseaux.
Partons la mer est belle, il était un petit navire, ces chansons s’apprennent mieux aux Îles.
À chaque fois qu’un visiteur quitte les Îles, c’est un adieu difficile, mais on se dit, ils reviendront.
La promesse d’un bon souper.
Les Îles, là où le temps s’arrête.
L’Île-d’Entrée, l’horizon qui valse, le bleu de la mer et le vert émeraude du paysage.
L’immensité de la mer.
On voudrait bien faire avec eux le tour des Îles.
Les Îles, un endroit pour flâner.
Fin