Enrico MACIAS Voilà ce que nous redit cette irrésistible chanson dEnrico Macias. Si chacun se laissait prendre par le refrain, nous chanterions presque en chœur. Vous entendez cet écho universel? À mon cœur, il est des plus doux. «Le cœur ne vieillit pas.»
Les messieurs sérieux qui parlent affaire jour et nuit Comme toi, jouent au monopoly.
On narrête pas de jouer aux gendarmes et aux voleurs. Pour avoir son nom au tableau dhonneur,
Quand les amoureux se bercent despoirs, Ils samusent, sans le savoir, à colin-maillard.
On garde toujours un cœur denfant, Même quand on est devenu grand.
Il y a ceux qui trichent et ceux qui se prennent au sérieux, Mais la vie reste quand même un jeu.
Chacun ses atouts et ses couleurs; Aujourdhui tu ris, demain tu pleures.
On garde toujours un cœur denfant. De la cour décole jusquau dernier soleil couchant,
Les décorations, les costumes et les uniformes, Ce sont des déguisements des hommes;
À chacun son rôle, shérif ou Indien, Cest tellement plus gai, la vie, quand on est un peu comédien.
Les trains électriques quon offre aux petits, Ce sont les papas qui, en cachette, y jouent la nuit.
On garde toujours un cœur denfant, Même quand on est devenu grand.
Il y a ceux qui trichent et ceux qui se prennent au sérieux, Mais la vie reste quand même un jeu.
On garde toujours un cœur denfant. De la cour décole jusquau dernier soleil couchant,
Comme toi, il marrive de pleurer certains soirs, Jai des rêves fous, irréalisables, De ne pas terminer mes devoirs.
Encore plus fragiles, tu sais, que tes châteaux de sable.
On garde toujours un cœur denfant, Même quand on est devenu grand.
Il y a ceux qui trichent et ceux qui se prennent au sérieux, Mais la vie reste quand même un jeu.
Chacun ses atouts et ses couleurs; Aujourdhui tu ris, demain tu pleures.
On garde toujours un cœur denfant, Même quand on est devenu grand.
On garde toujours un cœur denfant.