HARRI-XABALETA Hendaiako-Behereko Le Bas-Quartier
HARRI-ZABALETA eta HENDAIAKO BEHEREKO GURE AUZOA POLLITA A travers ce diaporama nous voulons rendre hommage aux habitants du Bas-Quartier et en particulier à nos chers historiens Fifine Molérès et l’Abbé Michelena les deux piliers d’Haize Garbia. Fifine Molérès nous a laissé un très jolie poème sur « son Bas-Quartier » . Il accompagnera notre diaporama qui relate certains lieus qui nous rappellent notre enfance à travers des photos et de tableaux de J.M Etcheverry. Ce PPS noir et blanc est la suite de celui consacré à l’abbé Michelena et au texte de Charlot Fernandes. La chorale Argileak vous interprète Itxasoa Lano Dago : http://www.argileak.fr/ Mon BAS-QUARTIER de Fifine MOLERES
La Marais Zorionak
je l'emprunte sans cesse Soit pour aller en ville MON BAS-QUARTIER Bien que n'en étant pas, je l'emprunte sans cesse Soit pour aller en ville ou pour faire l’inverse. Le traversant ainsi chaque fois en entier, On dit de moi, bien sûr « elle est du bas-quartier ». Eh bien! Puisque j'en suis, que je vous le présente : C'est un grand carrefour au bout de rues en pente, Des maisons en souci d'un vague alignement N'offrent, pour tout cachet, que leur délabrement. Le Bas-Quartier n'est pas son vrai nom d’origine. Il n'est pas bien ancien comme on se l'imagine La baie, en l'occupant, en faisait un bon port, Très à l'abri des vents à l'ombre du vieux fort. Harri-Chabaleta, rives harmonieuses S'éveillant aux échos d'histoires merveilleuses Que contaient à loisir de très anciens pêcheurs S'étendant sur leurs joies et peu sur leurs malheurs. N'étant plus visité par l'antique baleine, D'autre part, n'allant plus à la pêche lointaine, Le progrès a détruit un ordre primitif Car jamais rien n'est stable ou bien définitif. Le port devient un luxe aux beautés superflues, Rappelant les départs vers les bancs de morue, Hendaye a chassé l'eau pour gagner du terrain Tant mieux pour aujourd'hui mais tant pis pour demain. Foin de vieux souvenirs. Tout pour le modernisme Faisons donc place nette et pensons au tourisme Adieu vieux-fort, remparts, pont-levis, souterrains, Echauguettes, réduits, rasons tout de nos mains. Harri-Chabaleta, c'est en pieux hommage, Que j'ai fait ce poème à ton premier visage; Les vieux chalets sont là, s'il manque le ponceau, On peut y voir quand même Hendaye en son berceau. Joséphine MOLERES
Fête Basque
Fête Basque 1946
Fête Basque Rue Subernoa
Les Corsaires
Fête Basque
Romeria 1957
Les Fêtes pour la St Michel
Course de Vache devant Sueldia
Course de vache à La Marais Buvette Belzenia
Course de vache à La Marais Devant jardin Guiné
Joséphine Molérès En ce siècle puissant où le moteur est roi Plus question nulle part de cette humble monture Pas un de nos marchés où la bête figure Cette absence, il me semble, explique assez l'émoi . Il a fallu chercher, courir, parlementer, Fouiller tous les recoins du Labourd de Navarre, Mais il y a les droits, tout ce qui nous sépare Ah! pour avoir un âne, il faut le mériter . Mais enfin il est là, peut-être le dernier Résultat convaincant de la persévérance, D'un passé si récent, la douce survivance, De Domingonea, conservant le sentier . « Ce n'est pas l'ideal! Vous ne pouvez nier Que de tout chargement cette bête m'allège, Et plus qu'intensément je sens le privilège En emboîtant ses pas, de penser, de prier … Une même monture, il y a mille ans Transporta bien CELUI qui fixa l'éphémère ... » Et comme elle dit vrai, notre blonde laitière Puisque c'est depuis lors qu'on recompte le temps . Joséphine Molérès Si c'était le dernier J'avais souvent pensé qu'il était le dernier Ce petit âne gris passant devant ma porte Le bât chargé de lait, de tout ce que l'on porte Aux clients de la ville et ceux du Bas-Quartier . Ce gentil messager du lever matinal La bride sur le cou, s'en allait sans contrainte Opposant à l'excès d'une incessante plainte Le doux entêtement d'un pas toujours égal . « Allons Ttiki, voyons, mais vous n'y pensez pas! » (Tutoyer l'animal surprend en Pays Basque) La bête était trop vieille et non d'humeur fantasque, Elle ne pouvait plus accélérer son pas . Il advint cependant, l'arrêt définitif . « Que d'encre pour un âne ! En voilà une affaire » Esprit superficiel, apprenez à vous taire, Comprenez les raisons d'un intérêt si vif .
Grand-Père Sueldia
Bistrot Placido Rue Cdt Passicot
Poème de Fifine Molérès
Course de vache à La Marais
Chez Charlot Rue subernoa
Famille Etcheverry Rue Cdt Passicot
Procession Fête-Dieu R.Cdt Passicot
Bistrot Battitte Guiné Rue Cdt Passicot
Fontaine devant Tintoenea
Tunnel Frontière avec Aïzpurdi Rue du Lavoir Tunnel Frontière avec Aïzpurdi
Face arrière du Lavoir Maison Brassens derrière
Rue du Lavoir
Rue du Lavoir Rue du Lavoir 1948
devant Maison Brassens Rue du Lavoir devant Maison Brassens
Ce qui est appris dans le berceau n'est jamais oublié Ohakoan dena ikasten, ez da jagoiti ahazten Ce qui est appris dans le berceau n'est jamais oublié Gora BEHEREKOAK Gora Harri-Xabaleta Gora BeherekoHiria Gora Auzoa Ederra Vive le Bas-Quartier et son Port aux Larges Pierres ZORIONAK DENERI
La Marais de R.Lafitte