Texte 6 Le pivert.   Je suis le pivert. Je vais d’un arbre à l’autre, en me déplaçant le long des troncs et des branches, d’une manière particulière.

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Transcription de la présentation:

Texte 6 Le pivert.   Je suis le pivert. Je vais d’un arbre à l’autre, en me déplaçant le long des troncs et des branches, d’une manière particulière. En effet, je grimpe à l’aide de mes griffes, de mon bec et de ma queue rigide et lorsque je veux redescendre, je le fais en sautillant à reculons. En cas de danger ou pour trouver une compagne, je cogne avec mon bec sur le bois : on dit que je « tambourine ». Je me nourris de cloportes, de fourmis, de larves que je déloge sous l’écorce tendre des vieux arbres. Je les saisis à l’aide de ma longue langue visqueuse. L'hiver, j’apprécie également les graines de pommes de pin. Au printemps, je cherche la sève sucrée dans les troncs et je creuse des trous pour y faire mes petits. A chaque saison, j'ai beaucoup de travail.

Texte 6 Nous, les piverts.   Je suis le pivert. Je vais d’un arbre à l’autre, en me déplaçant le long des troncs et des branches, d’une manière particulière. En effet, je grimpe à l’aide de mes griffes, de mon bec et de ma queue rigide et lorsque je veux redescendre, je le fais en sautillant à reculons. En cas de danger ou pour trouver une compagne, je cogne avec mon bec sur le bois : on dit que je « tambourine ». Je me nourris de cloportes, de fourmis, de larves que je déloge sous l’écorce tendre des vieux arbres. Je les saisis à l’aide de ma longue langue visqueuse. L'hiver, j’apprécie également les graines de pommes de pin. Au printemps, je cherche la sève sucrée dans les troncs et je creuse des trous pour y faire mes petits. A chaque saison, j'ai beaucoup de travail.

Texte 6 Nous, les piverts.   Nous sommes les piverts. Je vais d’un arbre à l’autre, en me déplaçant le long des troncs et des branches, d’une manière particulière. En effet, je grimpe à l’aide de mes griffes, de mon bec et de ma queue rigide et lorsque je veux redescendre, je le fais en sautillant à reculons. En cas de danger ou pour trouver une compagne, je cogne avec mon bec sur le bois : on dit que je « tambourine ». Je me nourris de cloportes, de fourmis, de larves que je déloge sous l’écorce tendre des vieux arbres. Je les saisis à l’aide de ma longue langue visqueuse. L'hiver, j’apprécie également les graines de pommes de pin. Au printemps, je cherche la sève sucrée dans les troncs et je creuse des trous pour y faire mes petits. A chaque saison, j'ai beaucoup de travail.

Texte 6 Nous, les piverts.   Nous sommes les piverts. Nous allons d’un arbre à l’autre, en me déplaçant le long des troncs et des branches, d’une manière particulière. En effet, je grimpe à l’aide de mes griffes, de mon bec et de ma queue rigide et lorsque je veux redescendre, je le fais en sautillant à reculons. En cas de danger ou pour trouver une compagne, je cogne avec mon bec sur le bois : on dit que je « tambourine ». Je me nourris de cloportes, de fourmis, de larves que je déloge sous l’écorce tendre des vieux arbres. Je les saisis à l’aide de ma longue langue visqueuse. L'hiver, j’apprécie également les graines de pommes de pin. Au printemps, je cherche la sève sucrée dans les troncs et je creuse des trous pour y faire mes petits. A chaque saison, j'ai beaucoup de travail.

Texte 6 Nous, les piverts.   Nous sommes les piverts. Nous allons d’un arbre à l’autre, en nous déplaçant le long des troncs et des branches, d’une manière particulière. En effet, je grimpe à l’aide de mes griffes, de mon bec et de ma queue rigide et lorsque je veux redescendre, je le fais en sautillant à reculons. En cas de danger ou pour trouver une compagne, je cogne avec mon bec sur le bois : on dit que je « tambourine ». Je me nourris de cloportes, de fourmis, de larves que je déloge sous l’écorce tendre des vieux arbres. Je les saisis à l’aide de ma longue langue visqueuse. L'hiver, j’apprécie également les graines de pommes de pin. Au printemps, je cherche la sève sucrée dans les troncs et je creuse des trous pour y faire mes petits. A chaque saison, j'ai beaucoup de travail.

Texte 6 Nous, les piverts.   Nous sommes les piverts. Nous allons d’un arbre à l’autre, en nous déplaçant le long des troncs et des branches, d’une manière particulière. En effet, nous grimpons à l’aide de mes griffes, de mon bec et de ma queue rigide et lorsque je veux redescendre, je le fais en sautillant à reculons. En cas de danger ou pour trouver une compagne, je cogne avec mon bec sur le bois : on dit que je « tambourine ». Je me nourris de cloportes, de fourmis, de larves que je déloge sous l’écorce tendre des vieux arbres. Je les saisis à l’aide de ma longue langue visqueuse. L'hiver, j’apprécie également les graines de pommes de pin. Au printemps, je cherche la sève sucrée dans les troncs et je creuse des trous pour y faire mes petits. A chaque saison, j'ai beaucoup de travail.

Texte 6 Nous, les piverts.   Nous sommes les piverts. Nous allons d’un arbre à l’autre, en nous déplaçant le long des troncs et des branches, d’une manière particulière. En effet, nous grimpons à l’aide de nos griffes, de mon bec et de ma queue rigide et lorsque je veux redescendre, je le fais en sautillant à reculons. En cas de danger ou pour trouver une compagne, je cogne avec mon bec sur le bois : on dit que je « tambourine ». Je me nourris de cloportes, de fourmis, de larves que je déloge sous l’écorce tendre des vieux arbres. Je les saisis à l’aide de ma longue langue visqueuse. L'hiver, j’apprécie également les graines de pommes de pin. Au printemps, je cherche la sève sucrée dans les troncs et je creuse des trous pour y faire mes petits. A chaque saison, j'ai beaucoup de travail.

Texte 6 Nous, les piverts.   Nous sommes les piverts. Nous allons d’un arbre à l’autre, en nous déplaçant le long des troncs et des branches, d’une manière particulière. En effet, nous grimpons à l’aide de nos griffes, de notre bec et de ma queue rigide et lorsque je veux redescendre, je le fais en sautillant à reculons. En cas de danger ou pour trouver une compagne, je cogne avec mon bec sur le bois : on dit que je « tambourine ». Je me nourris de cloportes, de fourmis, de larves que je déloge sous l’écorce tendre des vieux arbres. Je les saisis à l’aide de ma longue langue visqueuse. L'hiver, j’apprécie également les graines de pommes de pin. Au printemps, je cherche la sève sucrée dans les troncs et je creuse des trous pour y faire mes petits. A chaque saison, j'ai beaucoup de travail.

Texte 6 Nous, les piverts.   Nous sommes les piverts. Nous allons d’un arbre à l’autre, en nous déplaçant le long des troncs et des branches, d’une manière particulière. En effet, nous grimpons à l’aide de nos griffes, de notre bec et de notre queue rigide et lorsque je veux redescendre, je le fais en sautillant à reculons. En cas de danger ou pour trouver une compagne, je cogne avec mon bec sur le bois : on dit que je « tambourine ». Je me nourris de cloportes, de fourmis, de larves que je déloge sous l’écorce tendre des vieux arbres. Je les saisis à l’aide de ma longue langue visqueuse. L'hiver, j’apprécie également les graines de pommes de pin. Au printemps, je cherche la sève sucrée dans les troncs et je creuse des trous pour y faire mes petits. A chaque saison, j'ai beaucoup de travail.

Texte 6 Nous, les piverts.   Nous sommes les piverts. Nous allons d’un arbre à l’autre, en nous déplaçant le long des troncs et des branches, d’une manière particulière. En effet, nous grimpons à l’aide de nos griffes, de notre bec et de notre queue rigide et lorsque nous voulons redescendre, je le fais en sautillant à reculons. En cas de danger ou pour trouver une compagne, je cogne avec mon bec sur le bois : on dit que je « tambourine ». Je me nourris de cloportes, de fourmis, de larves que je déloge sous l’écorce tendre des vieux arbres. Je les saisis à l’aide de ma longue langue visqueuse. L'hiver, j’apprécie également les graines de pommes de pin. Au printemps, je cherche la sève sucrée dans les troncs et je creuse des trous pour y faire mes petits. A chaque saison, j'ai beaucoup de travail.

Texte 6 Nous, les piverts.   Nous sommes les piverts. Nous allons d’un arbre à l’autre, en nous déplaçant le long des troncs et des branches, d’une manière particulière. En effet, nous grimpons à l’aide de nos griffes, de notre bec et de notre queue rigide et lorsque nous voulons redescendre, nous le faisons en sautillant à reculons. En cas de danger ou pour trouver une compagne, je cogne avec mon bec sur le bois : on dit que je « tambourine ». Je me nourris de cloportes, de fourmis, de larves que je déloge sous l’écorce tendre des vieux arbres. Je les saisis à l’aide de ma longue langue visqueuse. L'hiver, j’apprécie également les graines de pommes de pin. Au printemps, je cherche la sève sucrée dans les troncs et je creuse des trous pour y faire mes petits. A chaque saison, j'ai beaucoup de travail.

Texte 6 Nous, les piverts.   Nous sommes les piverts. Nous allons d’un arbre à l’autre, en nous déplaçant le long des troncs et des branches, d’une manière particulière. En effet, nous grimpons à l’aide de nos griffes, de notre bec et de notre queue rigide et lorsque nous voulons redescendre, nous le faisons en sautillant à reculons. En cas de danger ou pour trouver une compagne, nous cognons avec mon bec sur le bois : on dit que je « tambourine ». Je me nourris de cloportes, de fourmis, de larves que je déloge sous l’écorce tendre des vieux arbres. Je les saisis à l’aide de ma longue langue visqueuse. L'hiver, j’apprécie également les graines de pommes de pin. Au printemps, je cherche la sève sucrée dans les troncs et je creuse des trous pour y faire mes petits. A chaque saison, j'ai beaucoup de travail.

Texte 6 Nous, les piverts.   Nous sommes les piverts. Nous allons d’un arbre à l’autre, en nous déplaçant le long des troncs et des branches, d’une manière particulière. En effet, nous grimpons à l’aide de nos griffes, de notre bec et de notre queue rigide et lorsque nous voulons redescendre, nous le faisons en sautillant à reculons. En cas de danger ou pour trouver une compagne, nous cognons avec notre bec sur le bois : on dit que je « tambourine ». Je me nourris de cloportes, de fourmis, de larves que je déloge sous l’écorce tendre des vieux arbres. Je les saisis à l’aide de ma longue langue visqueuse. L'hiver, j’apprécie également les graines de pommes de pin. Au printemps, je cherche la sève sucrée dans les troncs et je creuse des trous pour y faire mes petits. A chaque saison, j'ai beaucoup de travail.

Texte 6 Nous, les piverts.   Nous sommes les piverts. Nous allons d’un arbre à l’autre, en nous déplaçant le long des troncs et des branches, d’une manière particulière. En effet, nous grimpons à l’aide de nos griffes, de notre bec et de notre queue rigide et lorsque nous voulons redescendre, nous le faisons en sautillant à reculons. En cas de danger ou pour trouver une compagne, nous cognons avec notre bec sur le bois : on dit que nous « tambourinons ». Je me nourris de cloportes, de fourmis, de larves que je déloge sous l’écorce tendre des vieux arbres. Je les saisis à l’aide de ma longue langue visqueuse. L'hiver, j’apprécie également les graines de pommes de pin. Au printemps, je cherche la sève sucrée dans les troncs et je creuse des trous pour y faire mes petits. A chaque saison, j'ai beaucoup de travail.

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Texte 6 Nous, les piverts.   Nous sommes les piverts. Nous allons d’un arbre à l’autre, en nous déplaçant le long des troncs et des branches, d’une manière particulière. En effet, nous grimpons à l’aide de nos griffes, de notre bec et de notre queue rigide et lorsque nous voulons redescendre, nous le faisons en sautillant à reculons. En cas de danger ou pour trouver une compagne, nous cognons avec notre bec sur le bois : on dit que nous « tambourinons ». Nous nous nourrissons de cloportes, de fourmis, de larves que nous délogeons sous l’écorce tendre des vieux arbres. Nous les saisissons à l’aide de notre longue langue visqueuse. L'hiver, nous apprécions également les graines de pommes de pin. Au printemps, nous cherchons la sève sucrée dans les troncs et nous creusons des trous pour y faire nos petits. A chaque saison, nous avons beaucoup de travail.