L Y N C H A G E Jean-Baptiste BESNARD Poème de Musique: « Strange Fruit » par Billie HOLIDAY Montage: Michel C
Le type qu’avait une corde au cou
Le type qu’avait une corde au cou Une corde de chanvre nouée au cou
Le type qu’avait une corde au cou Une corde de chanvre nouée au cou Pendait à un arbre décharné
Le type qu’avait une corde au cou Une corde de chanvre nouée au cou Pendait à un arbre décharné Dans un beau crépuscule bleu et noir
Le type qu’avait une corde au cou Une corde de chanvre nouée au cou Pendait à un arbre décharné Dans un beau crépuscule bleu et noir Le type qu’avait une corde au cou
Le type qu’avait une corde au cou Une corde de chanvre nouée au cou Pendait à un arbre décharné Dans un beau crépuscule bleu et noir Le type qu’avait une corde au cou Tirait la langue aux passants de la nuit
Le type qu’avait une corde au cou Une corde de chanvre nouée au cou Pendait à un arbre décharné Dans un beau crépuscule bleu et noir Le type qu’avait une corde au cou Tirait la langue aux passants de la nuit Qui ricanaient en le voyant
Le type qu’avait une corde au cou Une corde de chanvre nouée au cou Pendait à un arbre décharné Dans un beau crépuscule bleu et noir Le type qu’avait une corde au cou Tirait la langue aux passants de la nuit Qui ricanaient en le voyant Et se balançait au rythme du vent
Le type qu’avait une corde au cou Une corde de chanvre nouée au cou Pendait à un arbre décharné Dans un beau crépuscule bleu et noir Le type qu’avait une corde au cou Tirait la langue aux passants de la nuit Qui ricanaient en le voyant Et se balançait au rythme du vent Le type qu’avait une corde au cou
Le type qu’avait une corde au cou Une corde de chanvre nouée au cou Pendait à un arbre décharné Dans un beau crépuscule bleu et noir Le type qu’avait une corde au cou Tirait la langue aux passants de la nuit Qui ricanaient en le voyant Et se balançait au rythme du vent Le type qu’avait une corde au cou Une corde de chanvre nouée au cou
Le type qu’avait une corde au cou Une corde de chanvre nouée au cou Pendait à un arbre décharné Dans un beau crépuscule bleu et noir Le type qu’avait une corde au cou Tirait la langue aux passants de la nuit Qui ricanaient en le voyant Et se balançait au rythme du vent Le type qu’avait une corde au cou Une corde de chanvre nouée au cou Se balançait au rythme d’un jazz-band
Le type qu’avait une corde au cou Une corde de chanvre nouée au cou Pendait à un arbre décharné Dans un beau crépuscule bleu et noir Le type qu’avait une corde au cou Tirait la langue aux passants de la nuit Qui ricanaient en le voyant Et se balançait au rythme du vent Le type qu’avait une corde au cou Une corde de chanvre nouée au cou Se balançait au rythme d’un jazz-band Qui jouait sur l’autre rive du fleuve
Le type qu’avait une corde au cou Une corde de chanvre nouée au cou Pendait à un arbre décharné Dans un beau crépuscule bleu et noir Le type qu’avait une corde au cou Tirait la langue aux passants de la nuit Qui ricanaient en le voyant Et se balançait au rythme du vent Le type qu’avait une corde au cou Une corde de chanvre nouée au cou Se balançait au rythme d’un jazz-band Qui jouait sur l’autre rive du fleuve Il avait la peau noire d’un nègre
Le type qu’avait une corde au cou Une corde de chanvre nouée au cou Pendait à un arbre décharné Dans un beau crépuscule bleu et noir Le type qu’avait une corde au cou Tirait la langue aux passants de la nuit Qui ricanaient en le voyant Et se balançait au rythme du vent Le type qu’avait une corde au cou Une corde de chanvre nouée au cou Se balançait au rythme d’un jazz-band Qui jouait sur l’autre rive du fleuve Il avait la peau noire d’un nègre Et sa guitare aux cordes brisées
Le type qu’avait une corde au cou Une corde de chanvre nouée au cou Pendait à un arbre décharné Dans un beau crépuscule bleu et noir Le type qu’avait une corde au cou Tirait la langue aux passants de la nuit Qui ricanaient en le voyant Et se balançait au rythme du vent Le type qu’avait une corde au cou Une corde de chanvre nouée au cou Se balançait au rythme d’un jazz-band Qui jouait sur l’autre rive du fleuve Il avait la peau noire d’un nègre Et sa guitare aux cordes brisées Contre le tronc de l’arbre jouait
Le type qu’avait une corde au cou Une corde de chanvre nouée au cou Pendait à un arbre décharné Dans un beau crépuscule bleu et noir Le type qu’avait une corde au cou Tirait la langue aux passants de la nuit Qui ricanaient en le voyant Et se balançait au rythme du vent Le type qu’avait une corde au cou Une corde de chanvre nouée au cou Se balançait au rythme d’un jazz-band Qui jouait sur l’autre rive du fleuve Il avait la peau noire d’un nègre Et sa guitare aux cordes brisées Contre le tronc de l’arbre jouait Sous les doigts du vent un vieux blues.
Le type qu’avait une corde au cou Une corde de chanvre nouée au cou Pendait à un arbre décharné Dans un beau crépuscule bleu et noir Le type qu’avait une corde au cou Tirait la langue aux passants de la nuit Qui ricanaient en le voyant Et se balançait au rythme du vent Le type qu’avait une corde au cou Une corde de chanvre nouée au cou Se balançait au rythme d’un jazz-band Qui jouait sur l’autre rive du fleuve Il avait la peau noire d’un nègre Et sa guitare aux cordes brisées Contre le tronc de l’arbre jouait Sous les doigts du vent un vieux blues. (Conflans – 09.10.1952)