DANS MA VILLE C'EST LA CRISE Cliquez pour entrer chez moi et faire défiler les diapos à votre rythme
BONJOUR, AUJOURD’HUI, MA COPINE NE PEUT PAS VENIR, ELLE EST COINCÉE DANS LES EMBOUTEILLAGES…
J’EN PROFITE POUR VÉRIFIER UNE DERNIÈRE FOIS LA PRÉSENTATION QU’ELLE VERRA DEMAIN… PEUT-ÊTRE !
Les boulangers sont dans le pétrin… Ils ont des problèmes croissants
Chez Renault la direction fait marche arrière. Les salariés débrayent.
A ERDF (Électricité Réseau Distribution France) les syndicats sont sous tension…
… car ils ne sont pas mis au courant des décisions de la direction … car ils ne sont pas mis au courant des décisions de la direction. C’est donc l’embouteillage.
Les bouchers se battent pour défendre leur bifteck.
Les éleveurs de volaille sont les dindon de la farce Les éleveurs de volaille sont les dindon de la farce. Ils en ont assez de se faire plumer.
Pour les couvreurs cette nouvelle loi est une tuile.
Les gynécologues ne veulent plus travailler là ou les autres se sont amusés.
Les faïenciers en ont ras le bol.
Les menuisiers n’ont plus les moyens de mettre du pain sur la planche.
Les éleveurs de chiens sont aux abois.
Les brasseurs sont sous pression.
Les cheminots menacent d'occuper les locos…
… Ils veulent conserver leur train de vie.
Les veilleurs de nuit en ont assez de vivre au jour le jour.
Les ambulanciers ruent dans les brancards.
Les pédicures travaillent d'arrache-pied pour de faibles revenus.
Les pécheurs haussent le thon
Les jardiniers ne veulent plus qu’on leur raconte des salades. BLA BLA BLA… Les jardiniers ne veulent plus qu’on leur raconte des salades. GAZOU ! AGAZOU ! BRRR ! @€& »’(-è)²~⌂ § !
Le syndicat des fleuriste en a marre de se faire envoyer sur les roses.
Les agents de police souffrant de trouble de circulation demandent que cela soit reconnu comme maladie professionnelle.
Les pilotes de ligne ne veulent qu’on les accuse de voler sous prétexte que voler c’est pas bien.
Les clients des restaurants manifestent aussi : on leur enlève le pain de la bouche.
Les horlogers voudraient bien que l’on mette enfin les pendules à l’heure.
Les agriculteurs sont fauchés comme les blés.
Les maçons ne sont pas écoutés : c’est comme s’ils parlaient à un mur.
Les ouvriers de l’automobile voudraient pouvoir faire un break.
Les verriers aussi voudraient bien pouvoir souffler un peu.
Et les prostituées sont dans une mauvaise passe…
Images : du Net Enrique Chia Pobre de mí C’est le bordel… quoi ! FIN
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