La pêche
Au 19ième siècle à Terre – Neuve et Labrador, l’industrie de pêche était l’industrie principale – comme le pétrole aujourd’hui. Notez : quand on dit « poisson » à Terre Neuve – Labrador – c’est la morue
Il y a trois pêches à Terre – Neuve et Labrador Il y a trois pêches à Terre – Neuve et Labrador. Ces pêches ont commencé au passé et continuent aujourd’hui. La pêche côtière : c’est la pêche où les pêcheurs vont dans les petits bateaux pour attraper les poissons près des côtes.
La pêche au Labrador : les pêcheurs de Terre-Neuve sont allées au Labrador pour faire la pêche. Ils ont attrapé les poissons et les ont importés à Terre- Neuve. C’est très populaire. Des milliers de pêcheurs de Terre-Neuve sont allées. Comparée à la pêche côtière, la pêche au Labrador était beaucoup plus dangereuse. Il n’y avait pas beaucoup de services médicaux, équipement de pêche, ou stocks de nourriture. Vidéo: Labrador Homecoming
Stationnaires et Flotteurs Les stationnaires: sont allés au Labrador pour la saison de pêche. Ils avaient des cabanes sur les plages.
Les flotteurs: restaient à bord leurs bateaux Les flotteurs: restaient à bord leurs bateaux. Ils devaient dormir / vivre sur les poissons.
La pêche sur les Grands Bancs : C’est la plus dangereuse des 3 pêches La pêche sur les Grands Bancs : C’est la plus dangereuse des 3 pêches. Les hommes ont passé des mois à bord une goélette (schooner) et un doris sur les Grands – Bancs, les bancs de Rose Blanche et, le Banc de St. Pierre. Souvent ils sont morts de faim, du froid, et des collisions entre bateaux. Vidéo: La pêche sur les Grands Bancs
Pour ces trois pêches, les saisons étaient le même. La saison de pêche était les mois de printemps et été – de juin a septembre. Pour ces trois pêches, les méthodes de préservation étaient le même. On utilisait le sel et séchait la morue de hors par le vent et le soleil.
Pour ces trois pêches, les équipements étaient le même. La plus populaire était l’hameçon et la boëte.
On utilisait une trappe à la morue aussi On utilisait une trappe à la morue aussi. C’était comme une grande cage qui pouvait attraper des tonnes de poisson à la fois et a gardé les poissons vives jusqu’au point où on les a retrouvés.