L’HONNÊTETÉ ENVERS DIEU Leçon 7 pour le 17 février 2018
Étude de la semaine : Luc 16. 10 ; Lévitique 27. 30 ; Genèse 22 Étude de la semaine : Luc 16.10 ; Lévitique 27.30 ; Genèse 22.1-12 ; Luc 11.42 ; Hébreux 7.2-10 ; Néhémie 13. « Ce qui est dans la bonne terre, ce sont ceux qui entendent la Parole avec un coeur noble et bon, la retiennent et portent du fruit avec persévérance. » (Luc 8.15.)
(E. G. White, Patriarches et Prophètes, ch. 50, p. 511.) « Toute dîme de la terre, soit des semences de la terre, soit du fruit des arbres, appartient au SEIGNEUR ; c'est une chose consacrée au SEIGNEUR. » (Lévitique 27.30) « Cette institution a pour but de faire comprendre aux hommes une grande vérité, à savoir que Dieu est la source de tous les dons et de tous les bienfaits et que ses créatures doivent lui témoigner leur gratitude. » (E. G. White, Patriarches et Prophètes, ch. 50, p. 511.)
(Guide d’étude de la Bible, p. 45.) « La confiance et l’honnêteté vont toujours de pair. Mais l’honnêteté n’est pas innée. « C’est une vertu morale qui s’apprend, et qui se trouve au coeur du caractère moral de l’intendant. Quand nous pratiquons l’honnêteté, des choses positives en découlent. Par exemple, on n’a pas à s’inquiéter d’être pris en flagrant délit de mensonge, ou de devoir le cacher. Pour cette raison, entre autres, l’honnêteté est un trait de personnalité de grande valeur, en particulier dans des situations difficiles, quand la tentation nous pousserait plus volontiers vers la malhonnêteté. » (Guide d’étude de la Bible, p. 45.)
Mais la dîme est plus qu'une question d'honnêteté. Tout majordome ou administrateur doit être honnête et véridique. Dieu met à l’épreuve notre honnêteté en nous demandant de lui réserver la dixième partie de tout qu'Il nous donne. Mais la dîme est plus qu'une question d'honnêteté. Une question d'honnêteté Une question de foi Une question de sainteté Une question de réveil et de réforme
Une question d'honnêteté « …Est-il normal de tromper Dieu ? Pourtant vous, vous me trompez ! “En quoi ? ” me demandez-vous. Dans le versement de la dîme et dans vos offrandes. » (Malachie 3.8, Bible français courant) Si vous êtes honnête, lorsque vous trouvez un porte-monnaie sur le sol, vous cherchez son propriétaire pour le retourner, sans en prendre le contenu. De la même manière, Dieu attend de nous que nous soyons honnêtes et que nous rendions ce qui lui appartient (Lévitique 27.30). Et cela nous permet de rester avec 90% pour notre usage personnel ! Tout comme au propriétaire du portefeuille tu ne lui donnes pas le contenu, mais tu le lui rends, nous ne donnons pas la dîme à Dieu, mais nous la lui rendons. Nous reconnaissons ainsi que tout est à lui, et que nous sommes ses administrateurs honnêtes.
« …Est-il normal de tromper Dieu. Pourtant vous, vous me trompez « …Est-il normal de tromper Dieu ? Pourtant vous, vous me trompez ! “En quoi ? ” me demandez-vous. Dans le versement de la dîme et dans vos offrandes. » (Malachie 3.8, Bible français courant) « La plupart d’entre nous ont en commun une chose, c’est que nous n’aimons pas la malhonnêteté. Particulièrement, nous n’aimons pas voir cela se manifester chez d’autres. Cependant, ce n’est pas facile de savoir que nous-mêmes nous sommes malhonnête, et quand nous le remarquons, nous avons tendance à rationaliser nos actions, pour les justifier, pour minimiser leur importance : oh, ce n’est pas si mauvais ; c’est seulement une petite chose, pas vraiment importante. Nous pourrions nous tromper nous-mêmes la plupart du temps ; mais nous ne pouvons jamais tromper Dieu. » (Guide d’étude de la Bible, p. 46.) « La malhonnêteté est pratiquée chez nous à tous les échelons, et elle est la cause de la tiédeur d’un bon nombre de ceux qui prétendent croire à la vérité. Ils ne sont pas unis au Christ et se séduisent eux-mêmes. » (E. G. White, Témoignages pour l’Église, vol. 1, p. 584.)
(Hébreux 12.2, Parole de Vie) Une question de foi « Regardons toujours Jésus. C'est lui qui fait naître la foi et qui la rend parfaite. » (Hébreux 12.2, Parole de Vie) Sans aucun doute, le couronnement de la foi d'Abraham était son obéissance au moment de sacrifier son fils. Mais cet acte de foi n'était pas soudain. Derrière, il y avait une vie de petits actes de foi. « Celui qui est fidèle dans les petites choses est aussi fidèle dans les grandes » (Luc 16.10). Si nous n'exerçons pas notre foi, cela l’affaiblira. Mais plus nous l'exerçons, plus elle sera forte. Jésus ne donne pas seulement naissance à la foi en nous, mais il veut la perfectionner jusqu’à ce qu'elle devienne une foi mature et complète.
Une question de foi Cependant, la demande vient avec une promesse : « Maintenant, le prophète Élie entre en scène. Il demande une faveur à la veuve – une tasse d’eau ; mais ce qu’il fait ensuite semble exceptionnellement insensible. « Élie lui dit : Ne crains point, rentre, fais comme tu as dit. Seulement, prépare-moi d’abord avec cela un petit gâteau, et tu me l’apporteras ; tu en feras ensuite pour toi et ton fils » (1 Rois 17.13, LSG, c’est l’auteur qui souligne). Cependant, la demande vient avec une promesse : « Car ainsi parle l’Éternel, le Dieu d’Israël : la farine qui est dans le pot ne manquera point et l’huile qui est dans la cruche ne diminuera point, jusqu’au jour où l’Eternel fera tomber de la pluie sur la face du sol. » (1 Rois 17.14, LSG). La veuve de Sarepta a agi dans la foi et a fait ce qu’Élie avait ordonné. Dieu, en retour, a honoré sa foi, en respectant Sa promesse de la soutenir elle et son fils. » (Guide d’étude de la Bible, coin du moniteur, p. 94.)
Une question de foi « Apportez à la maison du trésor toute la dîme, Afin qu'il y ait des provisions dans ma Maison ; Mettez-moi de la sorte à l'épreuve, Dit l'Éternel des armées. (Et vous verrez) si je n'ouvre pas pour vous les écluses du ciel, si je ne déverse pas pour vous la bénédiction, au-delà de toute mesure. » (Malachie 3.8, Bible à la Colombe) Une manière dont Jésus perfectionne notre foi est à travers le retour de la dîme. En retournant un dixième de ce que Dieu nous donné, nous manifestons la foi qu’il fera prospérer ce qui reste en notre pouvoir, de sorte que rien ne manquera. Le retour fidèle de la dîme devient aussi une expression de gratitude pour ce que Dieu nous donne. Telle était l'attitude de Jacob : « Si Dieu est avec moi et me garde sur la route où je vais, ... Sur tout ce que tu me donneras, je te paierai la dîme. » (Genèse 28.20, 22)
« Mais quel malheur pour vous, les pharisiens « Mais quel malheur pour vous, les pharisiens ! Vous payez la dîme de la menthe, de la rue et de toutes les plantes potagères, et vous négligez la justice et l'amour de Dieu ! C'est cela qu'il fallait pratiquer, sans omettre le reste. » (Luc 11.42) « […] la foi est un processus, une expérience dynamique qui, dans l’idéal, grandit et mûrit. Et la dîme est l’un des moyens par lesquels Dieu « consomme » notre foi et l’amène à sa plénitude. Bien comprise, la dîme rendue à Dieu n’est pas du légalisme. Quand nous donnons la dîme, nous ne sommes pas en train d’essayer de gagner notre place au ciel. Au contraire, la dîme est une déclaration de foi. C’est une expression extérieure, visible et personnelle de la réalité de notre foi. Après tout, n’importe qui peut prétendre avoir la foi et croire en Dieu, et même croire en Jésus. Comme nous le savons, « les démons croient aussi » en Dieu (Jacques 2.19). Mais prendre 10 % de notre revenu et le rendre à Dieu ? Voilà un acte de foi. » (Guide d’étude de la Bible, p. 48.)
Une question de sainteté « Toute dîme de la terre, soit des semences de la terre, soit du fruit des arbres, appartient au SEIGNEUR ; c'est une chose consacrée au SEIGNEUR. » (Lévitique 27.30) Comme le Sabbat, la dîme est sainte en soi. Nous n'avons pas à la consacrer, elle est déjà consacrée. Tout comme un jour sur sept est réservé à Dieu, le dixième de notre revenu l’est aussi. La dîme doit être donnée aux prêtres (corps pastoral) et utilisée pour leur entretien, et pour l'avancement de l'œuvre de Dieu (Néhémie 10.38, 1 Corinthiens 9.14). Utiliser la dîme dans un but autre que celui indiqué par Dieu, c'est le décevoir. Le retenir est aussi un manque d'honnêteté envers notre Dieu.
(Guide d’étude de la Bible, coin du moniteur, p. 95.) « Toute dîme de la terre, soit des semences de la terre, soit du fruit des arbres, appartient au SEIGNEUR ; c'est une chose consacrée au SEIGNEUR. » (Lévitique 27.30) « L’Écriture nous dit que la dime est « sainte à l’Éternel » (Lévitique 27.30, LSG). Le concept de sainteté trouve son origine dans le mot hébreu kadosh, qui « signifie mettre à part ». En d’autres termes, certaines choses sont séparées ou mises à part de l’utilisation commune de tous les jours, à des fins spéciales ou sacrées. La partie du revenu appelée dime n’appartient pas du tout au croyant. Par désignation divine, ces 10 pourcents appartiennent à Dieu dès le début. Nous ne rendons pas la dime sainte en la prélevant. Elle est sainte – mise à part à des fins divines – que nous la retournions ou pas. » (Guide d’étude de la Bible, coin du moniteur, p. 95.)
Une question de réveil et de réforme « Alors tout Juda apporta dans les magasins la dîme du blé, du vin et de l'huile. » (Néhémie 13.12) En étudiant les cas d'Ézéchias et de Néhémie, nous pouvons voir un modèle clair qui a abouti à la fidélité du peuple (2 Chroniques 29-31, Néhémie 13). Réveil, renouveau Réforme Loyauté Le renouveau signifie un renouvellement de la vie spirituelle. Réformer signifie une réorganisation, un changement d'idées, d'habitudes et de pratiques. Le résultat sera une augmentation de la foi, une vision spirituelle forte et une honnêteté renouvelée.
« Dieu a sur nous et sur ce que nous possédons des droits qui détiennent la priorité. En vertu de ces droits, il nous demande de lui rendre une part déterminée de tout ce qu’il nous donne, et cette part est la dîme, qu’il s’est réservée de tout temps… Il revendique la dîme comme la part qui lui revient ; elle devrait toujours être considérée comme une portion réservée, destinée à être placée dans le trésor divin au bénéfice de la cause de Dieu, pour faire progresser cette œuvre, pour permettre l’envoi de messagers dans les “régions lointaines”, jusqu’aux extrémités de la terre. » (E. G. White, Conseils à l’économe, section 3, ch. 13, p. 70.)
Amen! « Malachie déclare : Jésus a dit : « Un homme trompe-t-il Dieu ? Car vous me trompez, Et vous dites : ‘’En quoi t’avons-nous trompé ?’’ Dans les dimes et les offrandes. » (Malachie 3.8, LSG). Lorsque nous retenons ce qui appartient à Dieu, nous volons Dieu. Mais nous nous privons aussi d’au moins deux choses : (1) une opportunité de consolidation de la foi, étant donné que nous faisons confiance à Dieu pour bénir les 90 pourcents que nous gardons, et (2) une opportunité d’investissement céleste. Jésus a dit : « Ne vous amassez pas des trésors sur la terre, où la teigne et la rouille détruisent, et où les voleurs percent et dérobent ; mais amassez-vous des trésors dans le ciel, où la teigne et la rouille ne détruisent point, et où les voleurs ne percent ni ne dérobent. Car là où est ton trésor, là aussi sera ton coeur. » (Matthieu 6.19-21, LSG). » Amen! (Guide d’étude de la Bible, coin du moniteur, p. 95.)