(Parc national du Mont-Riding) Les bisons des plaines (Parc national du Mont-Riding) Biologie 20 Sébastien Blanchet
Le parc... Situé près du lac Audy, le parc national du Mont-Riding a un enclos contenant 30 bisons des plaines. Les parcs nationaux sont bien connus pour y garder des créatures rares et unique. Le bison des plaines est un bon exemple: ils ont presque tous été éliminés. On les voit aujourd’hui dans les parcs nationaux comme celui du Mont-Riding.
Mont-Riding = Spécial Le parc est élevé des paysages plats et forme une sorte d’inclinaison envers la bordure du Manitoba. Le parc a une forêt boréale ample, une forêt à feuilles caduques, des grands prés de fétuque et plusieurs marais. Ce parc est un des endroits préféré des canadiens pour faire une tournée et pour voir des beaux animaux et de la nature impressionnante.
La harde du lac Audy Les bisons ont été réintroduit grâce à divers procédés mis en place au début des années 90. 20 bisons qui venaient de Wainwright, Alberta, ont été réintroduit au Lac Audy en 1931. Ces procédés ont aboutis afin de donner au public une exposition intéressante et rare. Aujourd’hui, tu n’a qu’à entrer dans l’enclos et admirer les bêtes.
Suite de la harde... De plus, il y a une exposition dans l’enclos qui démontre le cycle de vie et l’histoire des bisons. Le parc fut mis là en raison de son écosystème en santé. Aussi en raison qu’il y a des vieux os et des marques de passages des bisons. Cela démontre que les bisons vivaient véritablement dans ce même endroit, avant qu’ils furent presque éliminés.
Catastrophe! Le premier troupeau de bisons réintroduit a été frappé par la tuberculose. Ça a infecté la harde au complet et ils ont dû tous les éliminer. Ils ont été remplacé par 10 bisons différent qui venaient du parc Elk Island. Les bisons qui sont présentement dans le parc Mont-Riding sont des descendant des 10 bisons provenant du parc Elk Island dans les années 1990.
L'enclos Les bisons sont placés dans un endroit clos de 500 hectares divisé en deux: un pour l’été, un pour l’hiver. Au milieu de l’été, ils vont dans l’enclos du Sud et à l’automne, tous les bisons ,sauf ceux bons pour s’accoupler, vont dans l’enclos du Nord. Les bisons ont une grande influence sur les processus naturels de l’écosystème du parc.
Manipulation des bisons Durant le transfert d’enclos à l’automne, les bisons sont soumis à des tests de dépistage des maladies et font évaluer leur santé en général. Depuis qu’il y a eu une épidémie de tuberculose bovine (1991), les bisons se font examiner tous les trois ans. Le personnel en profitent pendant que les bisons se font examiner, pour mélanger la réserve de ressources génétiques.
Suite manipulations Lorsqu’il y a plus de 40 animaux dans la harde, ils sont vendus. Les dirigeant du parc ont estimé que 35 à 40 animaux peuvent être dans un enclos sans endommager la végétation. Les animaux en surplus doivent être vendus car les bisons n’ont pas de prédateurs naturels. Cela veut dire que la population n’est pas contrôlée naturellement.
Clôture intelligente Le parc essaie de rester le plus naturel possible. Ils ont établit un système de « sauts » et de « trous ». Des « sauts », c’est quand la clôture a été baissée, et des « trous » c’est quand la clôture a été levée. Des animaux comme le cerf peuvent donc rentrer pour avoir un abri et de la nourriture. Il y a même des ours et de coyotes qui font la même chose.
Les loups dans le parc Un groupe de loups vit dans le parc Mont-Riding. Dans un milieu naturel (en dehors du parc), les loups sont des prédateurs naturels des bisons. Cela s’appelle la sélection naturelle; les bisons les plus forts et vicieux vont survivre et se reproduire.
Suite loups… Les loups ne s’attaque pas aux bisons dans le parc car les loups se tiennent loin des structures humaines. Il y en a qui entrent dans l’enclos, mais, à date, il n’y a pas encore eu un cas de loup qui tue un bison. Le parc espère construire un enclos pour les loups et que les loups redeviennent prédateurs naturels des bisons.
Conclusion Les bisons sont dans le parc pour exposition, mais aussi pour la santé des prairies qui les entoure. Ils broutent des herbes inutiles, créent des dépressions (pistes), et ajoutent aussi des éléments nutritifs dans le sol. Avoir les bisons présents encore dans ce monde nous rappelle le passé: comment les autochtones s’en servaient, et comment ils vivaient là ou nous vivons présentement.