L’anatomie et la physiologie: une introduction CHAPITRE 1 Dupliquez la diapositive pour ajouter une autre page de partie ou de chapitre L’anatomie et la physiologie: une introduction

L’anatomie est l’étude de la forme L’anatomie macroscopique L’anatomie microscopique Tronc pulmonaire Veine cave supérieure Aorte ascendante Oreillette gauche Endocarde (paroi interne du cœur) Oreillette droite Myocarde (muscle cardiaque) Épicarde (surface externe du cœur) Ventricule gauche Ventricule droit Veine cave inférieure Aorte descendante Sous-section 1.1 1 - 2 © 2015 ERPI

Oreillette gauche Tronc pulmonaire Veine cave supérieure Aorte L’anatomie macroscopique Tronc pulmonaire Veine cave supérieure Aorte ascendante Oreillette gauche Oreillette droite Ventricule gauche Ventricule droit Veine cave inférieure Aorte descendante Sous-section 1.1 1 © 2015 ERPI

Endocarde Myocarde Épicarde (paroi interne du cœur) (muscle cardiaque) L’anatomie microscopique Endocarde (paroi interne du cœur) Myocarde (muscle cardiaque) Épicarde (surface externe du cœur) Sous-section 1.1 2 © 2015 ERPI

La physiologie est l’étude de la fonction Électrocardiogramme (ECG) 120 La valve de l’aorte se ferme. La valve de l’aorte s’ouvre. Pression dans les artères principales 90 Pression (en mm Hg) 60 Pression dans le ventricule gauche Pression dans l’oreillette gauche 30 La valve entre l’oreillette et le ventricule se ferme. La valve entre l’oreillette et le ventricule s’ouvre. 200 400 600 800 Temps (ms) Changements de pression dans le cœur Sous-section 1.1 3 - 4 © 2015 ERPI

Humérus Radius Ulna La forme et la fonction sont liées Le coude est une articulation qui fonctionne comme une charnière, permettant des mouvements dans un seul plan. L’extrémité de l’humérus, l’os du bras, a une surface cylindrique. Humérus Radius Ulna Cette insertion, qui est stabilisée par les ligaments et les muscles adjacents, ne permet que des mouvements semblables à ceux d’une charnière. L’extrémité de l’humérus s’insère dans une dépression large et profonde près de l’extrémité de l’ulna, le plus gros des deux os de l’avant-bras. Remarquez les arêtes et les rebords de l’ulna qui contribuent à maintenir l’humérus et à empêcher les torsions. Sous-section 1.2 1 © 2015 ERPI

Niveau chimique ou moléculaire Le corps humain est composé de multiples niveaux d’organisation interdépendants Niveau de l’organisme Niveau des systèmes Niveau des organes Niveau tissulaire Niveau cellulaire Niveau chimique ou moléculaire Combinaison d’atomes Molécules d’une protéine complexe Filaments d’une protéine Sous-section 1.3 © 2015 ERPI

Les systèmes Sous-section 1.4 1 © 2015 ERPI Niveau de Niveau l’organisme Niveau des organes Le cœur est un organe qui contient plusieurs tissus. Système cardiovasculaire Endocrinien Lymphatique Nerveux Respiratoire Musculaire Digestif Niveau des systèmes Squelettique Urinaire Tégumentaire Génital Le système cardiovasculaire comprend le coeur et les autres organes. Sous-section 1.4 1 © 2015 ERPI

Système tégumentaire Protège le corps contre les dangers provenant de l’environnement Régule la température corporelle Sous-section 1.41 © 2015 ERPI

Soutient et protège les tissus mous Système squelettique Soutient et protège les tissus mous Emmagasine les minéraux Fabrique les cellules sanguines Sous-section 1.411 © 2015 ERPI

Permet au corps de bouger et de se soutenir Système musculaire Permet au corps de bouger et de se soutenir Produit la chaleur Sous-section 1.411 © 2015 ERPI

Réagit instantanément aux stimulus internes et externes Système nerveux Réagit instantanément aux stimulus internes et externes Coordonne les activités des autres systèmes Sous-section 1.411 © 2015 ERPI

Système endocrinien Sécrète des hormones qui régulent les changements à long terme des activités des autres systèmes Sous-section 1.411 © 2015 ERPI.

Système cardiovasculaire Transporte des cellules et des matières dissoutes, notamment des nutriments, des déchets et des gaz Sous-section 1.411 © 2015 ERPI

Défend l’organisme contre l’infection et la maladie Système lymphatique Défend l’organisme contre l’infection et la maladie Retourne le surplus de liquide interstitiel vers le sang Sous-section 1.411 © 2015 ERPI

Système respiratoire Achemine l’air là où des échanges gazeux peuvent se produire entre l’air et le sang circulant Sous-section 1.411 © 2015 ERPI

Système digestif Traite les aliments et absorbe les nutriments organiques, les minéraux, les vitamines et l’eau Sous-section 1.411 © 2015 ERPI

Élimine les déchets azotés Système urinaire Élimine les déchets azotés Contribue à l’équilibre de l’eau, du pH et des électrolytes Sous-section 1.411 © 2015 ERPI

Système génital Produit les cellules et les hormones sexuelles Siège de la fécondation et du développement du foetus Sous-section 1.411 © 2015 ERPI

Relations entre les systèmes respiratoire Aliments O2 CO2 Système cardiovasculaire Le système cardiovasculaire englobe le cœur, les vaisseaux sanguins et le sang circulant. Les battements du cœur font circuler les substances dans les vaisseaux sanguins. L’O2 et les nutriments sont transportés jusqu’aux cellules. Les déchets azotés et le CO2 sont acheminés vers le système urinaire et le système respiratoire, respectivement, pour être éliminés. Système digestif Sang CO2 O2 Cœur Nutriments Liquide interstitiel Système urinaire Déchets azotés Cellules Selles Élimination des déchets azotés Sous-section 1.411 © 2015 ERPI

perçoit ce changement de température. Régulation de l’homéostasie Le climatiseur se met en marche Le climatiseur s’arrête DÉPART HOMÉOSTASIE La condition normale est rétablie. La condition normale est altérée. Valeur de référence Température ambiante normale Température ambiante (ºC) 22 Valeurs normales RÉPONSE : La température baisse. STIMULUS : Ex. : La température augmente. Temps 3 1 EFFECTEUR RÉCEPTEUR Le thermomètre perçoit ce changement de température. Le climatiseur se met en marche. 2 CENTRE DE RÉGULATION (thermostat) envoie des commandes à l’information est envoyée au Valeur de référence 20° 30° 40° (ºC) Section 2 1 - 2 © 2015 ERPI

3 1 2 HOMÉOSTASIE La condition normale est altérée. l’information Régulation de l’homéostasie DÉPART HOMÉOSTASIE La condition normale est altérée. Température ambiante normale La condition normale est rétablie. RÉPONSE : La température baisse. STIMULUS : Ex. : La température augmente. 3 1 EFFECTEUR RÉCEPTEUR Le thermomètre perçoit ce changement de température. Le climatiseur se met en marche. 2 CENTRE DE RÉGULATION (thermostat) l’information est envoyée au envoie des commandes à Valeur de référence 20° 30° 40° (ºC) Section 2 1 © 2015 ERPI

Température ambiante (ºC) Maintien des valeurs normales Le climatiseur se met en marche Le climatiseur s’arrête 22 Valeur de référence Température ambiante (ºC) Valeurs normales Temps Section 2 2 © ERPI

Homéostasie et température corporelle Les mécanismes de rétro-inhibition assurent la stabilité DÉPART HOMÉOSTASIE L’homéostasie est rétablie. L’homéostasie est perturbée. Température corporelle normale (valeur de référence: 37 ºC) 3 EFFECTEURS Homéostasie et température corporelle 1 Muscles lisses des parois des vaisseaux sanguins irriguant la peau et les glandes sudoripares RÉCEPTEURS Thermorécepteurs dans la peau et dans l’encéphale 2 CENTRE DE RÉGULATION Centre de régulation de la température Sous-section 2.1 1 © 2015 ERPI

Les mécanismes de rétroactivation accélèrent le déroulement d’un processus Une rupture de la paroi d’un vaisseau sanguin cause un saignement. La coagulation s’accélère. Boucle de rétro-activation Caillot Substances chimiques Substances chimiques Les dommages causés à la paroi d’un vaisseau sanguin provoquent la libération de substances chimiques qui entament le processus de coagulation. Ces substances déclenchent une réaction en chaîne au cours de laquelle des cellules, des fragments de cellules et des protéines solubles du sang commencent à former un caillot. À mesure que la coagulation se poursuit, chaque étape libère des substances chimiques qui accélèrent encore le processus de coagulation. Ce processus en cascade est une boucle de rétroactivation qui prend fin avec la formation du caillot, lequel bouche la lésion dans la paroi et arrête le saignement. Sous-section 2.1 2 © 2015 ERPI

Section 3 © 2015 ERPI

L’anatomie de surface et l’anatomie régionale permettent de situer les structures externes et internes du corps Nasale (nez) Frontale (front) Oculaire (œil) Crânienne (crâne) Céphalique (tête) Auriculaire (oreille) Céphalique (tête) Joue Faciale (visage) Deltoïdienne (épaule) Cervicale (cou) Cervicale (cou) Orale (bouche) Dorsale (haut du dos) Mentonnière (menton) Thoracique (thorax) Axillaire (aisselle) Mammaire (sein) Brachiale (bras) Abdominale (abdomen) Postérieure du coude (dos du coude) Tronc Membre supérieur Antérieure du coude (pli du coude) Ombilicale (ombilic) Lombaire (bas du dos) Avant-bras Pubienne (pubis) Sacrale Carpienne (poignet) Palmaire (paume) Main Pouce Glutéale (fesse) Inguinale (aine) Digitale (doigts) Membre inférieur Postérieure du genou (creux du genou) Urogénitale (organes génitaux) Antérieure du genou ou patellaire (genou) Cuisse Antérieure de la jambe (jambe) Surale (mollet) Tarsienne ou talocrurale antérieure (cheville) Calcanéenne (talon) Phalangienne (orteils) Pied Plantaire (plante du pied) Gros orteil Vue antérieure Vue postérieure © 2015 ERPI Sous-section 3.1 1

Parties du corps antérieures Nasale (nez) Frontale (front) Oculaire (œil) Crânienne (crâne) Auriculaire (oreille) Céphalique (tête) Joue Faciale (visage) Cervicale (cou) Orale (bouche) Mentonnière (menton) Thoracique (thorax) Axillaire (aisselle) Mammaire (sein) Brachiale (bras) Abdominale (abdomen) Tronc Antérieure du coude (pli du coude) Ombilicale (ombilic) Avant-bras Pubienne (pubis) Carpienne (poignet) Palmaire (paume) Main Pouce Inguinale (aine) Digitale (doigts) Urogénitale (organes génitaux) Antérieure du genou ou patellaire (genou) Cuisse Antérieure de la jambe (jambe) Tarsienne ou talocrurale antérieure (cheville) Phalangienne (orteils) Pied Gros orteil Vue antérieure Sous-section 3.1 1 © 2015 ERPI

Parties du corps postérieures Céphalique (tête) Deltoïdienne (épaule) Cervicale (cou) Dorsale (haut du dos) Postérieure du coude (dos du coude) Membre supérieur Lombaire (bas du dos) Sacrale Glutéale (fesse) Membre inférieur Postérieure du genou (creux du genou) Surale (mollet) Calcanéenne (talon) Plantaire (plante du pied) Vue postérieure Sous-section 3.1 1 © 2015 ERPI

Quadrants Quadrant supérieur gauche (QSG) Quadrants abdominopelviens Quadrants Quadrant supérieur gauche (QSG) Quadrant supérieur droit (QSD) Quadrant inférieur droit (QID) Quadrant inférieur gauche (QIG) Sous-section 3.1 2 © 2015 ERPI

Régions Région Région Région latérale droite ombilicale Régions de la cavité abdominopelvienne Régions Région hypochondriaque droite Région hypochondriaque gauche Région épigastrique Région latérale droite Région ombilicale Région latérale gauche Région inguinale droite Région pu-bienne (hypo-gastrique) Région inguinale gauche Sous-section 3.1 3 © 2015 ERPI

Organes internes Estomac Foie Rate Vésicule biliaire Côlon Organes internes dans la région abdominopelvienne Organes internes Estomac Foie Rate Vésicule biliaire Côlon Intestin grêle Appendice Vessie Sous-section 3.1 4 © 2015 ERPI

Supérieur Droit Gauche Proximal Postérieur ou dorsal Antérieur Termes relatifs à l’orientation Crânien ou céphalique Supérieur Droit Gauche Proximal Postérieur ou dorsal Antérieur ou ventral Latéral Médial ou médian Caudal Proximal Distal Distal Inférieur Sous-section 3.2 1 © 2015 ERPI

Postérieur ou dorsal Antérieur ou ventral Caudal Termes relatifs à l’orientation, vue latérale Crânien ou céphalique Supérieur Postérieur ou dorsal Antérieur ou ventral Caudal Inférieur Sous-section 3.2 1 © 2015 ERPI

Proximal Latéral Proximal Distal Distal Termes relatifs à l’orientation, vue antérieure Supérieur Droit Gauche Proximal Latéral Médial ou médian Proximal Distal Distal Inférieur Sous-section 3.2 1 © 2015 ERPI

Sous-section 3.2 1 © 2015 ERPI

Plan frontal Plan sagittal Plan transverse Plans et coupes Sous-section 3.2 2 © 2015 ERPI

Plan frontal Sous-section 3.2 2 © 2015 ERPI

Plan sagittal Sous-section 3.2 2 © 2015 ERPI

Plan transverse Sous-section 3.2 2 © 2015 ERPI

Sous-section 3.2 2 © 2015 ERPI

Analogie de la cavité péricardique La relation entre le cœur et la cavité péricardique ressemble à celle qui existe entre un poing s’enfonçant dans un ballon rempli d’eau ou d’un autre liquide. Base du cœur À chaque battement, le cœur change de taille et de forme. La cavité péricardique permet ces changements, et la paroi péricardique, qui est humide et glissante, atténue le frottement entre le cœur et les structures adjacentes. Cavité péricardique Sous-section 3.3 1 © 2015 ERPI

CAVITÉ ABDOMINOPELVIENNE Divisions des cavités ventrales CAVITÉ THORACIQUE Chaque poumon est contenu dans une cavité pleurale. Poumon droit dans la cavité pleurale droite Poumon gauche dans la cavité pleurale gauche Cœur dans la cavité péricardique CAVITÉS DU CORPS ISSUES DU CŒLOME Médiastin CAVITÉ ABDOMINOPELVIENNE Diaphragme Péritoine (en rouge) délimitant la cavité péritonéale CAVITÉ THORACIQUE La cavité abdominale contient de nombreux organes et glandes digestifs. Région rétropéritonéale Diaphragme La cavité pelvienne contient la vessie, les organes génitaux et la dernière portion du tube digestif. Plusieurs de ces structures sont postérieures ou inférieures par rapport à la cavité péritonéale. CAVITÉ ABDOMINO- PELVIENNE Sous-section 3.3 2 - 4 © 2015 ERPI

Diaphragme CAVITÉ THORACIQUE CAVITÉ ABDOMINO- PELVIENNE Cavités ventrales CAVITÉS DU CORPS ISSUES DU CŒLOME CAVITÉ THORACIQUE Diaphragme CAVITÉ ABDOMINO- PELVIENNE Sous-section 3.3 2 © 2015 ERPI

Cœur dans la cavité péricardique CAVITÉ THORACIQUE Chaque poumon est contenu dans une cavité pleurale. Poumon droit dans la cavité pleurale droite Poumon gauche dans la cavité pleurale gauche Cœur dans la cavité péricardique Médiastin Sous-section 3.3 3 © 2015 ERPI

CAVITÉ ABDOMINOPELVIENNE Diaphragme Péritoine (en rouge) délimitant la cavité péritonéale La cavité abdominale contient de nombreux organes et glandes digestifs. Région rétropéritonéale La cavité pelvienne contient la vessie, les organes génitaux et la dernière portion du tube digestif. Plusieurs de ces structures sont postérieures ou inférieures par rapport à la cavité péritonéale. Sous-section 3.3 4 © 2015 ERPI