Poème de Jamal BOUSSELHAM À toi l’enfant de la rue Poème de Jamal BOUSSELHAM par Mostafa
À toi l’enfant de la rue Ta vie est sans lumière
Tes larmes sous tes paupières Tes jours sont comme hier ! À toi l’enfant de la rue Ta vie est sans lumière
Tes larmes sous tes paupières Tes jours sont comme hier !
Tu es l’enfant sans enfance Que tu sois de l’inde ou de la France
Tu es l’enfant sans enfance Que tu sois de l’inde ou de la France
Souvent tu marches à pied nus Sur la boue et la pluie !
Souvent tu marches à pied nus Sur la boue et la pluie !
Tu manges dans les poubelles Comme les chats et les hirondelles
Tu manges dans les poubelles Comme les chats et les hirondelles
Tu te caches sur les toitures Tu as peur des aventures !
Tu te caches sur les toitures Tu as peur des aventures !
Personne ne te donne raison Tu es un pauvre vagabond
Personne ne te donne raison Tu es un pauvre vagabond
Tu entends les mots blessants Tu dors sur les bancs !
Tu entends les mots blessants Tu dors sur les bancs !
Tu entends les mots blessants Tu dors sur les bancs ! Et portant tu es un être comme nous Sauf que tu es victime des fous
Et portant tu es un être comme nous Sauf que tu es victime des fous
Qui t’ont abandonné Et dans la rue, t’ont condamné !
Qui t’ont abandonné Et dans la rue, t’ont condamné !
À toi mon enfant
À toi mon enfant
Je t’offre un abri
Je t’offre un abri Qui te protège du vent
Qui te protège du vent Et qui soulage tes cris !
Et qui soulage tes cris !
À toi l’enfant de la rue Jamal BOUSSELHAM Réalisation Musique Mostafa John BARRY
À toi l’enfant de la rue À toi l’enfant de la rue Ta vie est sans lumière Tes larmes sous tes paupières Tes jours sont comme hier ! Tu es l’enfant sans enfance Que tu sois de l’inde ou de la France Souvent tu marches à pied nus Sur la boue et la pluie ! Tu manges dans les poubelles Comme les chats et les hirondelles Tu te caches sur les toitures Tu as peur des aventures ! Personne ne te donne raison Tu es un pauvre vagabond Tu entends les mots blessants Tu dors sur les bancs ! Et portant tu es un être comme nous Sauf que tu es victime des fous Qui t’ont abandonné Et dans la rue, t’ont condamné ! À toi mon enfant Je t’offre un abri Qui te protège du vent Et qui soulage tes cris ! Par le Poète Jamal BOUSSELHAM Musique : John BARRY Réalisation : Mostafa Maroc
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