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le geyser Strokkar , en Islande
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La rivière Skälfandaflöt en Islande
Les chutes d’Iguazu -
C'est de nous que dépendra leur sourire
Cliquez pour continuer Cliquez pour continuer HOME EFFECT Val, regarde comme il est beau, comme il nous plaît notre astre roi Pourtant si différent, si suffisant et qui plus est contraire à toutes nos lois Un temps jaloux, un temps complice, s’en approcher est un supplice Crois-tu qu’il a conscience que sans lui l’homme est un homofactice Combien de temps déjà il fait sa ronde et bien avant qu’on ne le vénère Si loin de lui sur notre terre peut-être bien qu’on l’indiffère Un temps futur dira-t-il de nous, ils étaient là jusqu’à détruire le tout Des parasites, peut-être bien, voilà l’image qu’il gardera de nous Billy, pour la première fois, comme tes mots me font froid et peur Le soleil chaque jour nous montre nos répétées et graves erreurs Nous serions donc si peu de choses, à nous tous : un grand rien ? Dès demain tout peut cesser pour quelques degrés de trop. Quel destin ! Nos anciens savaient prendre soin de ce qui a été notre richesse Il est des adultes qui sont restés joueurs de Monopoly sans finesse Pour le plaisir de posséder toujours davantage, ils achetaient des terres et les abîmaient jusqu'à ce que fuient les hommes, pauvres erres … Deux cent mille ans de vie, Val, pour aujourd’hui être en sursis Dans les médias on prend conscience quand notre instinct est la survie Il y a si peu, le monde était en guerre pour défendre une pauvre place Mais maintenant, quel ennemi contrer pour sauver notre face ? Cliquez pour continuer Cliquez pour continuer
Cliquez pour continuer Cliquez pour continuer Fallait-il comme le soleil, ne pas évoluer, pour ne jamais être en manque ? C’est contraire à la vie et ses progrès, elle n’a de limite que sa banque La nature a mis son frein, l’homme n’a plus rien d’un homo sapiens S’adapter à son terrain, quel animal ne saurait le faire aussi bien ? Il s'est adapté trop fort celui dont tu me parles, il n'entendait pas les cris Il a été sans frontière, sans respect même pour les rivières dans leurs lits Et ses guerres et ses richesses inutiles, les hommes sages n'ont su œuvrer Pour sagement, avec l'aide des générations déjà touchées, les sauvegarder La terre ne le pardonnera pas Billy, l'homme à qui tu trouves des excuses Je ne lui trouve rien de beau, il s'est tout permis et de tout temps avec ruse Sans jamais tenir compte de son futur ni de celui de ses descendants Rassures-moi Billy, nous ne sommes pas tous ainsi, à ce point inconscients ? VAL, regarde tes mains, on ne saurait mieux faire, quels merveilleux outils Touche, observe, écoute, sens, goûte… Nous portons la vie Cette chose que l’on nous a chargé de transmettre à travers les âges Elle a prit son essor il y a des milliers d’années, elle poursuivra son voyage Dans sa lutte contre le temps, l’homme a dépassé celui des ressources Pour l’heure, il faut changer nos mœurs et rester dans la course Outre la conscience, c’est de l’harmonie des peuples que dépend notre salut A nous de réussir le pacte avec la terre, et demain encore, faire un pas de plus Cliquez pour continuer Cliquez pour continuer
FIN VAL & BILLY