N'est-il pas trop tard pour notre planète
Une vue de dessus de la métropole sur développée de Mexico City Plus grave que les gens pensent. 27 images qui montrent qu’il est peut-être déjà trop tard. Parfois, les mots peuvent paraître superflus, ces images parlent d’elles-mêmes. Une vue de dessus de la métropole sur développée de Mexico City (20 millions d’habitants).
Le cadavre pourri d’un éléphant tué par des braconniers.
La forêt amazonienne en feu - des chèvres y pâturaient.
Les trainées dus au trafic aérien au-dessus de Londres.
Un camion immense livre une cargaison de sable pétrolifère.
Un simple fermier ne peut plus supporter l’odeur putride du Fleuve Jaune en Mongolie-intérieure.
Une usine d’incinération des déchets au Bangladesh.
Un incendie de forêt ravage le Colorado une conséquence directe du changement climatique.
Les cicatrices de l’exploitation des sables pétrolifères dans la province canadienne d’Alberta.
Le spectacle nocturne quotidien de Los Angeles -la demande d’énergie est incalculable.
Dans l’Oregon, cette forêt millénaire tombe victime des tronçonneuses pour construire un barrage.
La zone entourant Almeria en Espagne est truffée de serres aussi loin que l’on puisse voir.
Des braconniers posent avec la fourrure d’un tigre sibérien.
La mine Mir en Russie, la plus grande mine de diamants au monde.
Un albatros mort illustre ce qui se passe quand on jette ses ordures n’importe où.
Une autre mégalopole : une vue aérienne de New Delhi (plus de 22 millions d’habitants).
Un paradis presque perdu : les Maldives, destination populaire qui risque d’être submergée.
Le début du “Vendredi Noir” dans un magasin d’électronique à Boise, Idaho.
Des tonnes d’appareils électroniques, qui finissent dans des pays du tiers monde où ils sont décapés pour leurs métaux précieux.
Le drame de la forêt vierge se répète ici au Canada.
Une décharge de pneus dans le désert du Nevada.
Pendant que le monde était fixé sur Fukushima, une centrale électrique brûlait à quelques kilomètres. Ils n’ont pas réussi à éteindre le feu.
Cet ours polaire est mort de famine au Svalbard en Norvège. La fonte des glaces les prive de leur habitat naturel.
Jusqu’à la dernière goutte : ce champ pétrolifère en Californie illustre la surexploitation impitoyable de l’homme.
Une chute d’eau sur une banquise.
Une centrale au lignite contamine l’air avec ses émissions polluantes.
Le surfeur indonésien Dede Surinya surfe sur une vague d’ordures à Java en Indonésie.
Quand le dernier arbre aura été abattu, la dernière rivière empoisonnée et le dernier poisson pêché, alors l' homme s'apercevra que l'argent ne se mange pas. Ce vieux proverbe Cree devient une réalité de plus en plus brutale. Même aujourd’hui, beaucoup de personnes ne sont pas conscientes ou n’acceptent pas les conséquences de notre style de vie. F I N Photos et textes du net . Musique : Daia – la voix de la terre . Décembre 2015