Défilement automatique
Te voilà de nouveau qui pose, toute ronde
ton regard rose pourpre sur le monde Ton regard rose pourpre sur le monde
une larme discrète sur ta joue vagabonde
de honte tes yeux bienveillants nous inondent
pourquoi rougis-tu quand tu nous regardes
serais-tu par mégarde
amoureuse de cette terre poissarde
que de quitter il te tarde
il arrive parfois que tu te caches un œil
ton côté noir souvent en deuil
pas du tout pressée de franchir le seuil
de ces nuits blanches que tu effeuilles
mais le soleil à ta place accède
juste un petit jour que tu concèdes
tu sais que cest toi toi qui possèdes
cette planète bleue qui tobsède
Paroles musique interprétation : Jean-Claude Muller