Villas extravagantes de la Riviera La belle société du monde entier s'est fait construire au XIXe siècle des villas aussi luxueuses qu'excentriques sur la French Riviera.
Dès le milieu du XIXe siècle, la côte d'Azur attire le gotha du monde entier qui s'y fait construire d'illustres villas rivalisant d'excentricité. A Nice, le Château de l'Anglais, cette folie rose dominant le cap, doit sont nom à son instigateur, Robert Smith, colonel de l'armée des Indes.
Fruit de l'imagination érudite de l'archéologue Théodore Reinach et de son ami architecte Emmanuel Pontremoli, la villa Kérylos est née de leur rêve commun reconstituer une luxueuse maison de Délos en l'adaptant au confort moderne.
d'une vingtaine d'hectares descendant en pente vers la mer. Palais néoclassique bordé d'un canal versaillais, la Villa Les Palmiers, que l'on doit en 1840 au banquier Honoré Gastaud, s'étend sur un domaine d'une vingtaine d'hectares descendant en pente vers la mer.
prend des airs de croisière sous les palmiers. Construite dans les années 1930, la Villa La Calade, située au début du Cap, prend des airs de croisière sous les palmiers.
Au beau milieu d'un parc de onze hectares, la Villa Eilenroc est un clin d'œil au Petit Trianon de Versailles, mais sur la Côte d'Azur. Une villa dont les références à l'Antiquité et au classicisme français auraient été attribuées à l'architecte Charles Garnier
On doit ce somptueux "palazzo" italianisant surplombant le Cap Ferrat à la baronne Béatrice Ephrussi de Rothschild. La villa est entourée de pas moins de sept jardins, à la française, japonais, roseraie...
donnera naissance au style néoprovençal Entre ambiance méditerranéenne et style british, le luxueux hôtel Belles Rives donnera naissance au style néoprovençal
Cette imposante demeure de 300 chambres, face au casino de Beaulieu, mêle Renaissance italienne, classicisme français et style Napoléon III.
marque l'apogée des années 1900. Dans le quartier de Carabacel, le Palais Pauline, chef d'œuvre de l'art déco, marque l'apogée des années 1900.
En 1890, le comte polonais Lewila de Rohozinski, intime du prince Louis-Napoléon, acquiert cet imposant manoir orné de tourelles et de créneaux dans le secteur de Nice Ouest.
© Thomas Bilanges doucetentation@gmail.com
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