Base de données relationnelle http://www.sigb.net PMB http://amcubat.be/docpmb Base de données relationnelle et langage SQL Anne-Marie Cubat Gérer une bibliothèque ? Oui, c’est facile si vous utilisez PMB !

Base de données relationnelle et langage SQL Introduction 1. Introduction 2. Principe d’unicité et numéro identifiant (id) 3. Clé primaire et clé étrangère 4. Relation « un – plusieurs » 5. Relation « plusieurs – plusieurs » 6. Un GPS pour s’orienter dans la base 7. Aide en ligne Ce diaporama est mis à disposition par Anne-Marie Cubat selon les termes de la licence Creative Commons Attribution – Pas d’utilisation commerciale – Pas de modification Toutes les captures d'écran sont publiées avec l'accord de PMB Services et sont libres. Leur réutilisation doit cependant mentionner l'origine : « PMB Services et les divers contributeurs au logiciel PMB », ainsi que le site de la forge du projet PMB : http://forge.sigb.net/redmine/projects/pmb http://amcubat.be/docpmb

Introduction http://amcubat.be/docpmb Dès que vous cataloguez dans PMB, vous constatez que les champs d’une table (ex. celle des notices) ne sont pas gérés de la même manière. La saisie des données est parfois libre (ex. titre ou titre parallèle) La saisie des données est parfois contrôlée : vous sélectionnez une ou plusieurs valeurs dans une liste d’autorités N.B. La feuille de style reflète d’ailleurs visuellement cette différence. http://amcubat.be/docpmb

Introduction http://amcubat.be/docpmb PMB est une base de données relationnelle. Dès que vous sélectionnez une valeur dans une liste d’autorités, vous établissez un lien entre la table de départ (ex. notices) et d’autres tables (ex. auteurs ou éditeurs). N.B. Si le nom de l’auteur ou de l’éditeur n’existe pas encore dans votre base, vous le créez d’abord, et ensuite vous pouvez le sélectionner. Ce mode de saisie contrôlée s’applique entre autres aux Autorités : auteur, éditeur, collection, indexation décimale, descripteur … aux données liées aux exemplaires Ex. On crée d’abord une liste de localisations, et ensuite on en sélectionne une Autres exemples : section, statut, support, code statistique, code-barres aux données liées aux lecteurs Ex. catégorie, statut, code statistique, groupe, code-barres Chaque élément de ces listes est donc censé être unique. http://amcubat.be/docpmb

Introduction http://amcubat.be/docpmb Ce principe d’unicité garantit la fiabilité de l’information car les données ne sont pas redondantes.. Si vous avez 10 livres du même auteur / éditeur ou de la même collection, vous n’allez pas saisir 10 fois au clavier le nom de l’auteur / éditeur ou de la collection Vous saisissez par exemple une seule fois le nom et l’adresse de l’éditeur mais pour les notices suivantes, il suffira de sélectionner le bon éditeur dans la liste S’il y a toutefois une erreur, une faute de frappe, il suffira de corriger la fiche de l’éditeur concerné, et les références bibliographiques de tous les livres publiés par cet éditeur mentionneront désormais automatiquement le nom exact. Dans le même ordre d’idées, on peut « dédoublonner les autorités » : remplacer un nom erroné d’auteur ou d’éditeur par la version correcte Ce système rend les recherches plus rapides et plus efficaces. Pour trouver toutes les œuvres de Shakespeare disponibles chez vous, PMB cherche son nom dans le table des auteurs, il y trouve son n° d’id, ensuite il repère les identifiants des notices liées à cet auteur. Par contre, dans une base de données non relationnelle, le nom de Shakespeare pourrait figurer dans plusieurs notices, avec des orthographes légèrement différentes. Ces redondances ralentiraient la recherche, et il serait impossible d’établir avec certitude la liste complète des œuvres présentes dans votre bibliothèque 4 http://amcubat.be/docpmb

Base de données relationnelle et langage SQL Principe d’unicité et numéro identifiant 1. Introduction 2. Principe d’unicité et numéro identifiant (id) 3. Clé primaire et clé étrangère 4. Relation « un – plusieurs » 5. Relation « plusieurs – plusieurs » 6. Un GPS pour s’orienter dans la base 7. Aide en ligne http://amcubat.be/docpmb

Principe d’unicité et numéro identifiant Les relations entre les tables dans PMB sont basées sur le principe de l’unicité Ex. Chaque lecteur est unique, chaque exemplaire aussi, et ils se repèrent « techniquement » dans la base par leur numéro identifiant (numéro d’id). Le numéro identifiant est attribué par un système d’auto-incrémentation. Cela veut dire qu’il augmente automatiquement, vous ne pouvez pas le choisir. Il reflète donc l’ordre chronologique d’attribution des numéros : le 1er élément créé aura le n° 1, le 5e le numéro 5, etc. Si vous supprimez un élément, et que vous en créez ensuite un nouveau, cet ancien numéro identifiant ne sera jamais réattribué, il ne sera pas recyclé à un autre usage. Au fil du temps, la liste des numéros d’id devient incomplète. Ex. Si vous supprimez un lecteur et que vous le recréez ensuite, sa fiche ne sera jamais tout à fait identique à la version antérieure, même si vous saisissez les mêmes nom, adresse, numéro de lecteur (empr_cb) … En effet, son numéro identifiant (id_empr) aura changé entretemps. 4 http://amcubat.be/docpmb

Principe d’unicité et numéro identifiant Ne confondez pas le numéro identifiant (id) et le numéro usuel (code-barres). Chaque lecteur est unique, chaque exemplaire aussi, et ils se repèrent « techniquement » dans la base par leur numéro identifiant. Toutefois, l’utilisateur de PMB ne connaît généralement pas ce numéro identifiant car cet id est souvent invisible (sauf dans la barre d’adresse). Du point de vue du bibliothécaire, c’est le numéro usuel (code-barres) du lecteur ou de l’exemplaire qui permet de les distinguer. Il n’y a pas de confusion possible, pas de risque d’avoir des doublons, même si 2 lecteurs ont les mêmes nom et prénom ou si on possède plusieurs copies du même ouvrage. En effet, PMB garantit aussi l’unicité des numéros usuels, car le logiciel empêche la création d’un lecteur / exemplaire dont le code-barres existerait déjà dans la base, afin d’éviter l’apparition intempestive de doublons. Un prêt se résume très simplement : le lecteur n° id 5526 a emprunté l’exemplaire n° id 57 à telle date et il est censé le rendre à telle autre date C’est donc le numéro identifiant (id) qui assure les liens entre les tables Ex. prêt_idempr  id_empr prêt_idexpl  expl_id expl_notice  notice_id 4 http://amcubat.be/docpmb

Principe d’unicité et numéro identifiant Quelques rappels utiles PMB établit une distinction claire entre la notice et l’exemplaire. La notice est unique : même si vous avez 5 copies du « Petit Robert » paru en 2018, vous n’avez qu’une seule notice à cataloguer, et à relier à 5 exemplaires. Ex. Notice d’un livre, CD, DVD, document électronique, site Internet … PMB établit une distinction claire entre le bulletin et l’exemplaire. Le bulletin est unique : même si vous avez 2 copies de la revue Géo n° 350, vous n’avez qu’un seul bulletin à cataloguer, et à relier à 2 exemplaires. Ex. Un numéro d’un trimestriel, mensuel, hebdomadaire, journal … Dans la table des exemplaires, il y a soit un lien vers la table des notices (expl_notice) soit un lien vers la table des bulletins (expl_bulletin) L’autre champ contient d’office la valeur 0 Ne confondez pas ces champs expl_id = numéro identifiant expl_cb = numéro usuel, code-barres http://amcubat.be/docpmb

Base de données relationnelle et langage SQL Clé primaire et clé étrangère 1. Introduction 2. Principe d’unicité et numéro identifiant (id) 3. Clé primaire et clé étrangère 4. Relation « un – plusieurs » 5. Relation « plusieurs – plusieurs » 6. Un GPS pour s’orienter dans la base 7. Aide en ligne http://amcubat.be/docpmb

Clé primaire et clé étrangère Tout champ qui correspond à un numéro identifiant dans une table contient une valeur appelée clé primaire ou clé étrangère. Premier exemple : les éditeurs (qui se trouvent dans la table publishers) Dans la table d’origine (publishers), on dit que le champ ed_id contient une clé primaire qui permet d’identifier chaque éditeur. Si on fait référence à cet identifiant dans une autre table, ex. notices, on dit que le champ ed1_id (éditeur principal) contient une clé étrangère. Résultat obtenu Conséquence On ne peut pas supprimer une clé primaire, ex. l’éditeur Hachette Jeunesse (ed_id = 4) aussi longtemps que la notice Roméo et Juliette) (id n° 12) existe dans la base, sinon la clé étrangère (ed1_id = 4) ne correspondrait plus à rien. http://amcubat.be/docpmb

Clé primaire et clé étrangère Autre exemple : les catégories de lecteurs Dans la table d’origine (empr_categ), le champ id_categ_empr contient une clé primaire qui permet d’identifier chaque catégorie de lecteur. Si on fait référence à cet identifiant dans une autre table, ex. empr (liste des lecteurs), le champ empr_categ contient une clé étrangère. Table empr_categ Table empr Le Grand Schtroumpf est un enseignant (empr_categ = 2) Les 2 autres lecteurs sont des élèves (empr_categ = 1) Attention ! Empr_categ désigne une table mais aussi un champ de la table empr ! C’est pour cette raison que PMB vous interdit parfois de supprimer un élément dans une table. C’est parce qu’il s’agit d’une clé primaire qui est utilisée « ailleurs », en tant que clé étrangère dans une autre table. Ex. On ne peut pas supprimer la catégorie n° 2 (enseignants) aussi longtemps que le lecteur n° 4552 (Grand Schtroumpf) existe dans la base Autre cas « célèbre » dans PMB : on supprime d’abord l’exemplaire, et ensuite la notice. Faire les choses dans l’ordre inverse est impossible. Evitez donc de supprimer inconsidérément des éléments dans PhpMyAdmin ou par requête SQL ! Cela peut entraîner de sérieux dysfonctionnements. http://amcubat.be/docpmb

Base de données relationnelle et langage SQL Relation « un – plusieurs » 1. Introduction 2. Principe d’unicité et numéro identifiant (id) 3. Clé primaire et clé étrangère 4. Relation « un – plusieurs » 5. Relation « plusieurs – plusieurs » 6. Un GPS pour s’orienter dans la base 7. Aide en ligne http://amcubat.be/docpmb

Relation « un – plusieurs » Exemple de départ : lien entre notices et éditeurs Si on part de la table des notices : 0 ou 1 lien Une notice peut être liée à 0 ou 1 éditeur principal au maximum Si on part de la table des éditeurs : 0, 1 ou n liens Un éditeur principal peut être lié à 0, 1 ou n notices http://amcubat.be/docpmb

Relation « un – plusieurs » Notices – Publishers Publishers – Notices Notice 1 Éditeur 1 Éditeur 1 Notice 1 Notice 2 Éditeur 2 Éditeur 2 Notice 2 Notice 3 Éditeur 3 Éditeur 3 Notice 3 Notice 4 Éditeur 4 Éditeur 4 Notice 4 Autres exemples de la relation « un - plusieurs » Notices et titres de série Une série peut comprendre 0, 1 ou plusieurs notices. Mais chaque notice ne fait référence qu’à un seul titre de série. Notices et exemplaires OU Bulletins et exemplaires Une notice / un bulletin peut correspondre à 0, 1 ou plusieurs exemplaires. Mais chaque exemplaire ne renvoie qu’à une seule notice ou à un seul bulletin http://amcubat.be/docpmb

Base de données relationnelle et langage SQL Relation « plusieurs – plusieurs » 1. Introduction 2. Principe d’unicité et numéro identifiant (id) 3. Clé primaire et clé étrangère 4. Relation « un – plusieurs » 5. Relation « plusieurs – plusieurs » 6. Un GPS pour s’orienter dans la base 7. Aide en ligne http://amcubat.be/docpmb

Relation « plusieurs – plusieurs » Exemple de départ : lien entre notices et auteurs Une notice peut avoir 0, 1 ou plusieurs auteurs : auteur principal, autre auteur, auteur secondaire. Un auteur peut être lié à 0, 1 ou plusieurs œuvres En outre, les fonctions de l’auteur peuvent varier d’un cas à l’autre : ex. auteur au sens strict, traducteur, illustrateur ou préfacier. Par conséquent, des liens directs entre la table des notices et celle des auteurs ne permettraient pas de gérer toutes les liaisons possibles. Il est en effet impossible de deviner a priori le nombre potentiel de liaisons dans un sens comme dans l’autre. Il faut donc employer une table intermédiaire : « responsability » (sic) http://amcubat.be/docpmb

Relation « plusieurs – plusieurs » Notices – Responsability - Authors Authors – Responsability - Notices Notice 1 Auteur 1 Auteur 1 Notice 1 Notice 2 Auteur 2 Auteur 2 Notice 2 Notice 3 Auteur 3 Auteur 3 Notice 3 Notice 4 Auteur 4 Auteur 4 Notice 4 Autres exemples de la relation « plusieurs - plusieurs » Notices et catégories : liens via la table notices_categories Une notice peut être liée à 0, 1 ou plusieurs catégories (descripteurs du thésaurus) Et une catégorie peut être employée pour 0, 1 ou plusieurs notices Paniers : liens via les tables empr_caddie_content (circ.) ou caddie_content (catal.) Chaque lecteur, bulletin, notice ou exemplaire peut figurer dans 0, 1 ou plusieurs paniers Et chaque panier peut contenir 0, 1 ou plusieurs lecteurs, bulletins, notices ou exemplaires http://amcubat.be/docpmb

Base de données relationnelle et langage SQL Un GPS pour s’orienter dans la base 1. Introduction 2. Principe d’unicité et numéro identifiant (id) 3. Clé primaire et clé étrangère 4. Relation « un – plusieurs » 5. Relation « plusieurs – plusieurs » 6. Un GPS pour s’orienter dans la base 7. Aide en ligne http://amcubat.be/docpmb

Un GPS pour s’orienter dans la base Les nostalgiques de « Prison Break » peuvent voir les liens entre les tables sous forme de schéma. Ce fichier (appelé scheme.gif) se trouve dans le dossier pmb/doc/noyau/ Mais ce n’est vraiment pas la manière la plus pratique d’explorer ces liens !! Il y a mieux … http://amcubat.be/docpmb

Un GPS pour s’orienter dans la base Même si vous n'avez pas accès à PhpMyAdmin, vous pouvez connaître la structure de la base, les noms des tables ou des champs et leur signification. L'adresse à saisir dans le navigateur ressemble à ceci http://mon_site/pmb/doc/noyau/ ou http://mon_site/pmb/doc/noyau/index.php http://mon_site/doc/noyau/ ou http://mon_site/doc/noyau/index.php Vous voyez ainsi les liens entre les tables, et vous pouvez naviguer de l’une à l’autre. La table des prêts contient une clé primaire (pret_idexpl) et 2 clés étrangères, qui renvoient aux tables des emprunteurs (empr) et des archives (pret_archive) On mentionne aussi le nom du champ qui contient la clé (ex. id_empr dans empr) Ce type de balade virtuelle facilitera sûrement la rédaction des requêtes SQL … http://amcubat.be/docpmb

Un GPS pour s’orienter dans la base Ex. On veut connaître les liens entre la table des prêts et celle des exemplaires Le trajet à partir de la clé primaire pret_idexpl mène à la table des exemplaires, plus précisément à la clé primaire de cette table, le champ expl_id 2 cas possibles : c’est l’exemplaire d’une notice ou d’un bulletin Cliquez sur le nom d’une table pour vous balader dans la base http://amcubat.be/docpmb

Un GPS pour s’orienter dans la base Test n° 1 : comment gère-t-on la localisation des lecteurs dans PMB ? Quand on parcourt la liste des tables liées aux emprunteurs, on devine aisément dans quelle table se trouve la liste des catégories ou des codes statistiques des lecteurs. Mais aucun nom de table ne semble évoquer le concept de localisation des lecteurs. Où se cache donc cette info ? Examinons la table empr Ne passez pas tout de suite à la diapositive suivante ! Cherchez d’abord ! … Elémentaire, mon cher Watson ! La solution est là, à portée de main … http://amcubat.be/docpmb

Un GPS pour s’orienter dans la base La table docs_location contient la liste des localisations liées aux lecteurs et aux exemplaires. Les clés étrangères empr_location et expl_location renvoient toutes les deux à la table docs_location, plus précisément, à la clé primaire idlocation. http://amcubat.be/docpmb

Un GPS pour s’orienter dans la base Test n° 2 : comment gère-t-on les titres des séries dans PMB ? Examinons la table des notices Ne cliquez pas tout de suite ! Cherchez d’abord ! … Employez vos petites cellules grises, comme le dirait Hercule Poirot … La table series contient la liste des séries. La clé étrangère tparent_id renvoie à la table series, plus précisément, à la clé primaire serie_id. http://amcubat.be/docpmb

Base de données relationnelle et langage SQL Aide en ligne 1. Introduction 2. Principe d’unicité et numéro identifiant (id) 3. Clé primaire et clé étrangère 4. Relation « un – plusieurs » 5. Relation « plusieurs – plusieurs » 6. Un GPS pour s’orienter dans la base 7. Aide en ligne http://amcubat.be/docpmb

Pour les bibliothécaires : pas de panique à bord ! Des aides en ligne sont disponibles Le site de PMB : http://www.sigb.net Le guide officiel : http://doc.sigb.net/pmb42/co/guide_complet_web_v42_1.html Autres sources de documentation : http://www.sigb.net/index.php?lvl=cmspage&pageid=20 L’aide de la communauté, l’inscription à la plate-forme PMB Community : https://pmb.community Mon site personnel : http://amcubat.be/docpmb http://amcubat.be/docpmb

Pour les bibliothécaires : pas de panique à bord ! http://amcubat.be/docpmb PMB, c'est un logiciel de gestion de bibliothèque d'une richesse indéniable. PMB, c'est une communauté qui s'est créée dans l'esprit des logiciels libres. Dans ce site, j'ai rassemblé de la documentation à propos de PMB, la "Potion Magique pour Bibliothécaires" préparée par Eric Robert et Florent Tétart. Vous y trouverez des informations sur divers sujets : fonctionnement de certains modules, concept de paniers, gestion et paramétrage du logiciel, initiation au langage SQL et aux bases de données, requêtes SQL prêtes à l'emploi et commentées, impression et publipostage, installation et mise à jour, import de données, construction du portail de PMB, etc. Ce site est pour moi une manière de rendre à la communauté tout ce qu’elle m’a donné. J'espère que cette documentation pourra vous rendre service, et que cela vous permettra d'apprécier encore plus notre Petite Merveille de Bijouterie. Merci de votre attention Anne-Marie Cubat http://amcubat.be/docpmb