J ai dans ma tête une maman débordante de vie qui m’a appris à blottir dans mon cœur, une femme . Texte d’Angel
Je n’ai que trois cent soixante cinq jours par an pour fêter ce nom de femme Texte d’Angel
. Et demain on voudrait accuser le jour d’être la journée de la femme Texte d’Angel
Madame, vous qui donnez la saveur à la pluie, son souffle au vent qui faiblit, l’équilibre du ciel qui pèse sur nos têtes, ne serait ce pas là l’infroissable lumière que derrière une gerbe de fleurs nous voudrions d’un air rieur masquer notre impotence Texte d’Angel
Il n’est pas d’homme sans vous, et nous sans vous qui sommes nous? Texte Texte D’Angel
J’ai connu des jours de rêves ils s’appelaient ma mère, je connais des jours de gaîté, des heures d’extases, des moments enchantés, ce sont des femmes qui me les ont donnés Texte d’Angel
Si aujourd’hui on veut qu’on se souvienne, savoir sans mot dire que dans des geôles des femmes croupissent, au seul motif d’avoir voulu donner au monde l’amour dont elles sont pétries, on les enferme de notre ignorance Texte d’Angel
Ce sont nos mères, nos femmes, nos filles, a qui on vole la vie Texte d’Angel
C’est aujourd’hui le jour de prendre conscience que l’humanité pourrait se condamner dans un monde où l’on ne laisserait pas la parole aux femmes../..N a Texte d’Angel
Texte écrit à l’occasion de la libération de Mad Ingrid Betancourt J ai dans ma tête une maman débordante de vie qui m’a appris à blottir dans mon cœur, une femme.. Je n’ai que trois cent soixante cinq jours par an pour fêter ce nom de femme. Et demain on voudrait accuser le jour d’être la journée de la femme. Madame, vous qui donnez la saveur à la pluie, son souffle au vent qui faiblit, l’équilibre du ciel qui pèse sur nos têtes, ne serait ce pas là l’infroissable lumière que derrière une gerbe de fleurs nous voudrions d’un air rieur masquer notre impotence. Il n’est pas d’hommes sans vous, et nous sans vous qui sommes nous. J’ai connu des jours de rêves ils s’appelaient ma mère, je connais des jours de gaîté, des heures d’extases, des moments enchantés, ce sont des femmes qui me les ont donnés. Si aujourd’hui on veut qu’on se souvienne, savoir sans mot dire que dans des geôles des femmes croupissent, au seul motif d’avoir voulu donner au monde l’amour dont elles sont pétries, on les enferme de notre ignorance. Ce sont nos mères, nos femmes, nos filles, a qui on vole la vie. C’est aujourd’hui le jour de prendre conscience que l’humanité pourrait se condamner dans un monde où l’on ne laisserait pas la parole aux femmes../..N a Texte d’Angel sur le blog Corsica Texte écrit à l’occasion de la libération de Mad Ingrid Betancourt