Aix-en-Provence, aux sources de l'art. La belle provençale est une enclave d'art et d'histoire dans une campagne de senteurs et de lumières. Entre ses fontaines coulent des ruelles au temps suspendu et à la douceur de vivre. De Aquae Sextius, les eaux de Sextius, cette belle provençale est devenue Aix, une enclave d'art et d'histoire dans une campagne de senteurs et de lumières, aux pieds de la muse de Cézanne, celle que l'on appelle la Sainte-Victoire. Entre ses fontaines coulent des ruelles au temps suspendu et à la douceur de vivre.
La ville d'Aix-en-Provence se niche aux pieds de la montagne Sainte Victoire.
La place d'Albertas dresse un décor magique s'apparentant à une scène de théâtre.
La fontaine de la Rotonde, en bas du cours Mirabeau, assume une imposante carrure, surmontée de trois statues représentant la Justice, l'Agriculture et les Beaux-Arts.
La ville compte plus de 40 fontaines dans les lieux publiques, et plus d'une centaine si l'on inclue celles cachées dans les cours des hôtels particuliers.
La place de la mairie est dominée par la Tour de l'Horloge, datant de 1661.
La montagne de la Sainte Victoire, emblème de la ville, fut aussi une des muses de Paul Cézanne.
La petite place des Fontêtes aux charmes tranquilles, entre platanes et écoulement d'eau laisse entrevoir en arrière plan la place des Cardeurs.
L'église Saint Jean de Malte se détache sur les maisons aux toits de tuiles
Le petit cloître de la cathédrale, fondé au XIIème siècle, est un havre de paix et de tranquillité.
La petite rivière de l'Arc offre une promenade à l'ombre de grands arbres, au cœur même de la ville.
Edifié en 1665 par Pierre Pavillon pour le Duc de Vendôme, le pavillon offre des proportions harmonieuses, ornées de deux atlantes sculptés par Rambot.
Photo © Jean-Claude Carbonne