Transition : manuelle

Quand arrive le printemps...

Voici donc ce beau prince avec son casque d’or Venant avec bonheur changer notre décor Balayant les frimas, joyeux, devant ma porte Il danse et puis, facétieusement, apporte Aux jardins le sourire, élégance et beaux tons Pour ravir nos regards avec son lot de dons !

Il court dans les sous-bois, les parcs, les roseraies Afin de réveiller les beautés les plus vraies ; Et dans sa mission, de plus en plus jovial, Il se confirmera… Dans un cérémonial Où Phébus plaisamment lui prêtera main belle… Lors chacun de bénir la joie en sa chapelle !

Son règne est appelé la saison des amours C’est pour cela qu’il veut offrir de beaux atours A chacun des recoins de toute la Nature. La rosée et la pluie, utiles sans froidure, Seront ses acolytes pour freiner le soleil Parfois trop furieux aux heures de « l’Eveil » !

Le gracieux regain produit, si magnifiques, Des jours pleins de douceur tellement bénéfiques Que l’on se sent revivre au plus profond de soi Le cœur éprouve donc, hormis un bel émoi Les feux d’une jeunesse où, parfois dangereuse Pour ceux d’un certain âge, est la vigeur trompeuse !

Quand arrive le printemps… Voici donc ce beau prince avec son casque d’or Venant avec bonheur changer notre décor… Balayant les frimas, joyeux, devant ma porte Il danse et puis, facétieusement, apporte Aux jardins le sourire, élégance et beaux tons Pour ravir nos regards avec son lot de dons ! Il court dans les sous-bois, les parcs, les roseraies Afin de réveiller les beautés les plus vraies ; Et dans sa mission, de plus en plus jovial, Il se confirmera… Dans un cérémonial Où Phébus plaisamment lui prêtera main belle… Lors chacun de bénir la joie en sa chapelle ! Son règne est appelé la saison des amours C’est pour cela qu’il veut offrir de beaux atours A chacun des recoins de toute la Nature. La rosée et la pluie, utiles sans froidure, Seront ses acolytes pour freiner le soleil Parfois trop furieux aux heures de « l’Eveil » ! Le gracieux regain produit, si magnifiques, Des jours pleins de douceur tellement bénéfiques Que l’on se sent revivre au plus profond de soi Le cœur éprouve donc, hormis un bel émoi Les feux d’une jeunesse où, parfois dangereuse Pour ceux d’un certain âge, est la vigueur trompeuse !

Poème : Johanne Hauber-Bieth Bonne journée ! © Musique : « Ramage de Printemps » Richard ABEL Source images : Internet et créations personnelles PRESENTATION et DIAPORAMA : Johanne Hauber-Bieth - Mars 2019 Poète au Féminin - Membre de la SABAM Présidente-Fondatrice du Panthéon Universel de la Poésie AMBASSADRICE UNIVERSELLE DE LA PAIX pantheonuniverseldelapoesie@wanadoo.fr Bonne journée ! johanne8@wanadoo.fr Mes PPS sont hébergés ici : http://www.ppsmania.fr/author/johanne8 Merci à David