Joséphine Baker WALT: Identifier une chanteuse française Décrire la vie d’une chanteuse Nommer des chansons célèbre de cette musicienne

Joséphine Baker était une artiste de music-hall Joséphine Baker était une artiste de music-hall. Pour des millions de Français, elle a aussi été une grande héroïne nationale. Pourtant (however) Joséphine Baker n’était pas d’origine française, mais américaine.

Elle est née le 3 juin 1906 dans une famille pauvre de la ville de Saint Louis dans le Missouri. Elle est née d’une mère noire américaine et d'un père d'origine espagnol. Elle avait une enfance misérable. À l’âge de 16 ans, elle est partie à New York pour faire une carrière dans le théâtre. Mais là, victime de la discrimination et du chômage (unemployment), elle n’a pas trouvé de travail.

Heureusement, un jour, un imprésario français l’a engagée pour faire une tournée (tour) en France avec un groupe d’artistes noirs américains. Joséphine a fait ses débuts au Théâtre des Champs-Élysées en octobre 1925. Pendant cette tournée, Joséphine Baker est tombée amoureuse de Paris et Paris est tombé amoureux de «l’oiseau des îles.» Paris la connaît comme une Française. Elle donnait des leçons de danse (Charleston). Elle est devenue la reine de Paris à 20 ans.

Joséphine Baker a fait de nombreuses tournées à travers (across) l’Europe, mais c’est en France qu’elle se sentait chez elle. (felt at home) En 1937, elle a décidé d’adopter la nationalité française. Pendant la guerre, fidèle (loyal) à son nouveau pays, elle a travaillé dans la Résistance. Pour ses services, elle a reçu les deux plus hautes décorations françaises: la Légion d’honneur et la Médaille de la Résistance.

Joséphine Baker a décidé de consacrer sa vie et sa fortunre aux oeuvres (works) de charité. Elle a acheté un château pour accueillir (provide shelter) une douzaine d’orphelins de différentes races qu’elle avait adoptés et sauvés de la faim (hunger) et de la misère. C’était sa «tribu arc en ciel» (rainbow)

Joséphine Baker est morte en 1975 Joséphine Baker est morte en 1975. Le jour de son enterrement, (funeral) la France entière a pris le deuil (went into mourning). À Paris, une foule (crowd) immense a suivi le cortège funèbre (funeral procession). 21 coup de canons (21 gun salute) ont été tirés (fired) en son honneur: le plus grand adieu (farewell) français réservé à une femme américaine.

Joséphine et sa tribu «arc en ciel»