«…Ainsi que son premier amour La Russie ne pourra t’oublier. » «
Pouchkine est le fondateur de la littérature russe moderne. Cependant, il est connu aussi comme celui qui possédait à la perfection la langue française. Et ce n'était pas étonnant à cette époque d'autant plus pour les familles nobles en Russie
Le palais de Tsarskoïé Sélo Le Lycée est installé près du palais de Tsarskoïé Sélo
Le Lycée de Tsarskoïé Sélo Le Lycée reçoit «des jeunes gens appelés aux plus hautes charges de l’Etat» et choisis parmi les meilleurs sujets des plus grandes familles.
L'inauguration solennelle du lycée de Tsarskoïe Sélo a lieu le 19 octobre 1811.
Quand le petit Alexandre atteint l’âge de 12 ans, ses parents l’envoient au Lycée de Tsarskoïe Selo, établissement d'un nouveau genre.
Les six années que Pouchkine vit au Lycée (de 1811 à 1817) sont non seulement les plus heureuses de sa vie, mais peut-être les seules heureuses.
Les meilleurs camarades du jeune Pouchkine Guillaume Kukhelbecker Delvig
Ivan Poutchine est son meilleur ami.
Parmi les pédagogues du lycée, il у a lieu de signaler, le professeur de français, M. de Boudry, qui n'est autre que le frère cadet de Marat.
Pouchkine est l’un des meilleurs élèves de Boudry Pouchkine est l’un des meilleurs élèves de Boudry. Ses camarades le surnomment « le Français».
Pouchkine est doué d'une mémoire extraordinaire, et, à onze ans, il sait par coeur toute la littérature française.
Poèmes de Pouchkine écrits en français. Pouchkine est « le Français» Mon portrait Vous me demandez mon portrait, Mais peint d'après nature ; Mon cher, il sera bientôt fait, Quoique en miniature. Je suis un jeune polisson, Encore dans les classes ; Point sot, je le dis sans façon Et sans fades grimaces….
Le lycéen Pouchkine l’écrit à 14 ans. 1. A quel âge et en quelle langue Pouchkine écrit-il cette poèsie «Mon portrait»? 2. Comment ses camarades le surnomment-ils? Le lycéen Pouchkine l’écrit à 14 ans. Ses camarades le surnomment «le Français»
Traductions des vers de Pouchkine en français
La lettre de Tatiana à Onéguine Traduit par K. Granoff «Je vous écris, est-ce assez clair ? Que reste-t-il encore à dire ? II se pourrait que je m' attire Ainsi votre dédain amer. Pourtant si vous pouviez comprendre Mon triste destin ici-bas, Vous ne m'abandonneriez pas…... Sachez que j'aurais su me taire Si de vous voir, de vous parler, J'avais l’espoir. J'eusse rêvé Toujours, toujours à nos rencontres….
Je t'appartiens, le ciel l’ordonne Par un arrêt supérieur ! Toute ma vie était le gage De cette rencontre avec toi, O mon gardien, mon seul partage, C'est Dieu lui-même qui t'envoie ! J'ai honte en finissant ma lettre, De la relire j'aurais peur... Mais, confiante, à votre honneur J'ai résolu de me remettre»
De quel roman en vers est tiré cet extrait? C’est la lettre de Tatiana à Onéguine du roman en vers Eugène Onéguine.
Un petit devoir amusant pour vous: Rappelez-vous ce chapitre!
«Avec la famille Kharlikov Est arrivé monsieur Triquet Récement venu de Tambov Peruque rousse, lunettes au nez. Dans sa poche, en vrai Français Il a pour Tania un couplet, Sur I’air connu des tout-petits: Réveillez-vous, belle endormie Parmi les chansons d'un album, Ce couplet etait imprimé. Triquet, en poète prévoyant, L'avait fait sortir du neant. Et à la place de Belle Nina II avait mis Belle Tatiana.»
De qui s’agit-il dans ce chapitre? Est-ce que vous reconnaissez monsieur Triquet? Que «le petit Français» faisait-il en Russie?
Traductions de Pouchkine des poèmes français en russe
Prosper Mérimée Le cheval de Thomas II Pourquoi pleures-tu, mоn beau cheval blanc ? Pourquoi hennis-tu douloureusement ? N'es-tu pas harnaché assez richement à ton gré? N'as-tu pas des fers d’argent avec des clous d'or? N'as-tu pas des sonnettes d’argent à ton clou ? …
Encore un petit devoir amusant pour vous: Rappelez-vous ce vers Encore un petit devoir amusant pour vous: Rappelez-vous ce vers! Vous le connaissez depuis votre enfance!!! Конь Перевод А.С.Пушкин «Что ты ржёшь, мой конь ретивый, Что ты шею опустил; Не потряхиваешь гривой, Не грызёшь своих удил? Али я тебя не холю? Али ешь овса не вволю? Али сбруя не красна?.....»
Evariste Parny Rions, chantons, ô mes amis, A mes amis. Rions, chantons, ô mes amis, Occupons-nous à ne rien faire. Laissons murmurer le vulgaire : Le plaisir est toujours permis.
S’évanouisse dans les jeux. Vivons pour nous, soyons joyeux, Que notre existence légère S’évanouisse dans les jeux. Vivons pour nous, soyons joyeux, N’importe de quelle manière. Un jour il foudra nous courber Sous la main du temps qui nous presse, Mais jouissons dans la jeunesse, Et dérobons à la vieillesse Tout ce q’on peut lui dérober. (1778)
Эварист Парни Перевод А.С.Пушкин Добрый совет. Давайте петь и веселиться, Давайте жизнию играть. Пусть чернь слепая суетится, Не нам безумной подражать. Пусть наша ветреная младость Потонет в неге и вине, Пусть изменяющая радость Нам улыбнётся хоть во сне. Когда же юность лёгким дымом Умчит веселья юных дней, Тогда у старости отымем Всё, что отымется у ней. (1817)