Alphonse de Lamartine Alphonse de Lamartine

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Transcription de la présentation:

Alphonse de Lamartine Alphonse de Lamartine L'automne* (extrait) Voilà les feuilles sans sève  Qui tombent sur le gazon,  Voilà le vent qui s'élève  Et gémit dans le vallon,  Voilà l'errante hirondelle  Qui rase du bout de l'aile  L'eau dormante des marais,  Voilà l'enfant des chaumières  Qui glane sur les bruyères  Le bois tombé des forêts. L'onde n'a plus le murmure,  Dont elle enchantait les bois;  Sous des rameaux sans verdure  Les oiseaux n'ont plus de voix;  Le soir est près de l'aurore,  L'astre à peine vient d'éclore  Qu'il va terminer son tour,  Il jette par intervalle  Une heure de clarté pâle  Qu'on appelle encore un jour. L'automne* (extrait) Voilà les feuilles sans sève  Qui tombent sur le gazon,  Voilà le vent qui s'élève  Et gémit dans le vallon,  Voilà l'errante hirondelle  Qui rase du bout de l'aile  L'eau dormante des marais,  Voilà l'enfant des chaumières  Qui glane sur les bruyères  Le bois tombé des forêts. L'onde n'a plus le murmure,  Dont elle enchantait les bois;  Sous des rameaux sans verdure  Les oiseaux n'ont plus de voix;  Le soir est près de l'aurore,  L'astre à peine vient d'éclore  Qu'il va terminer son tour,  Il jette par intervalle  Une heure de clarté pâle  Qu'on appelle encore un jour. Alphonse de Lamartine Alphonse de Lamartine