480 – Voici, je me tiens à la porte - 1 - Voici, je me tiens à la porte de l'âme, Je frappe sans cesse avec divin espoir. Si quelqu'un m'entend, s'il m'ouvre et me réclame, Chez lui j'entrerai, j'y souperai ce soir. 480 – Voici, je me tiens à la porte
Si quelqu'un m'ouvre la porte, Je soupe avec lui ce soir. - Ouvre, ouvre-moi! Si quelqu'un m'ouvre la porte, Je soupe avec lui ce soir.
Je frappe au matin, quand toute la nature - 2 - Je frappe au matin, quand toute la nature Nous parle d'un Père tendre et tout-puissant. Je frappe à midi, quand la moisson est mûre, Révélant l'amour d'un Dieu si prévoyant.
Si quelqu'un m'ouvre la porte, Je soupe avec lui ce soir. - Ouvre, ouvre-moi! Si quelqu'un m'ouvre la porte, Je soupe avec lui ce soir.
J'ai frappé souvent, au jour de l'allégresse, - 3 - J'ai frappé souvent, au jour de l'allégresse, J'ai frappé de nuit, quand tu semblais si las; Je voyais ta peine et toute ta détresse, Je voulais t'aider, mais tu ne m'ouvris pas.
Si quelqu'un m'ouvre la porte, Je soupe avec lui ce soir. - Ouvre, ouvre-moi! Si quelqu'un m'ouvre la porte, Je soupe avec lui ce soir.