Risques et dynamiques de la conjoncture actuelle MORALES AYUSO Fernan Macroéconomie Conférence n°2
Introduction Petit rappel sur le contexte actuel - La crise des subprimes La problématique -Comment comprendre cette situation et distinguer des évolutions? Axes de réflexion Une situation de déséquilibre qui implique des risques. Les initiatives possibles.
I) Une situation de déséquilibre A) Une première tentative de compréhension à l'aide des modèles néoclassiques. Pourquoi? L'équilibre sur les marchés, partiel et général. Instabilité temporaire. Le rôle neutre de la monnaie La modélisation Les courbes d’offre et de demande
I) Une situation de déséquilibre A) Les modèles de marchés Conclusion et applications concrètes
I) Une situation de déséquilibre B) L'apport des concepts Keynésiens La rigidité des prix et les faiblesses structurelles des marchés L'équilibre est déterminé cojointement sur les marchés des biens et de la monnaie par 2 variables: Le taux d'intérêt et le revenu
I) Une situation de déséquilibre B) Modélisation de l'équilibre Keynésien: Le modèle IS-LM
I) Une situation de déséquilibre B) La demande est l'élément central dans le mécanisme économiaue Les risaues mis en évidence: la récession et le chômage
Question Quels processus sont les plus susceptibles de redonner une dynamique positive à l'économie?
II) Les dynamiques de la relance A) Les modèles de relance de type Keynésien: un consensus. Politique budgétaire expansionniste et souplesse des politiques monétaires. Les plans de relance adoptés récemment Objectif: relance la demande et l’offre de monnaie, moteurs de la croissance
II) Les dynamiques de la relance B) La nature même de la crise implique un dépassement des modèles théoriques.
II) Les dynamiques de la relance B) La mécanismes ont mis en lumière l’impact et le rôle considérable des banques et des marchés financiers sur l’économie réelle Un plan de relance ne pourra être viable que les pouvoirs publics intervient directement dans ces deux secteurs, qui sont le cœur de la crise.
Conclusion Est-il pertinent d’agir immédiatement sur l’ensemble des secteurs l’économie en crise? Ne peut-on pas laisser certains mécanismes de marchés faire leur travail d’auto-ajustement?