Promotion du dépistage du VIH et des virus des hépatites et promotion du diagnostic de la fibrose hépatique d’origine virale ou toxique par élastométrie.

Slides:



Advertisements
Présentations similaires
La place accordée à l’expression des salariés sur leur travail et leurs conditions de travail dans l’entreprise Résultats sondage exclusif CSA/ANACT.
Advertisements

Mais vous comprenez qu’il s’agit d’une « tromperie ».
COREVIH Auvergne – Loire
Diagnostic et suivi virologique de l ’infection par le VIH
PRISE EN CHARGE EN AMP DU RISQUE VIRAL : VHB, VHC ET VIH Florence BRUGNON et Laurent JANNY CHU Estaing et Université d’Auvergne.
Prise en charge des AES aux urgences
PREVAC B: stratégies préventives de lhépatite B au sein des populations migrantes DI PUMPO Alexandrine, AUBERT Jean-Pierre, GERVAIS Anne, SANTANA Pascale,
La prévalence de l’hépatite C et du VIH chez les personnes détenues en France Enquête Prevacar 2010 C S le, Y Le Strat, E Chiron, C Barbier, L Caté,
Surveillance du Sida : pourquoi le nombre de cas ne diminue-t-il plus?
INSTITUT DE VEILLE SANITAIRE
Consultations de dépistage anonyme et gratuit du VIH et des hépatites (CDAG) Un regard sur les consultants enquête nationale juin 1999 InVS Pascal Gouëzel.
CO-INFECTION VIH-VHC Enquête nationale hospitalière 2001 INSTITUT DE VEILLE SANITAIRE INSTITUT DE VEILLE SANITAIRE 1 Institut de Veille Sanitaire; 2 APPIT.
Surveillance du VIH et du Sida données au 31 décembre 2004 Unité VIH/sida - IST - VHC Département des maladies infectieuses Institut de Veille Sanitaire.
15/03/2005 Les femmes et le VIH Situation épidémiologique Unité VIH/Sida – IST-VHC Département des Maladies Infectieuses Institut de veille sanitaire.
Étude de faisabilité sur les fréquences et les déterminants des pratiques à risque de transmission VIH et VHC chez les usagers de drogues, Marseille, sept.
InVS 23/11/2004 Points dActualités et Synthèse Unité VIH/Sida-IST-VHC Département des Maladies Infectieuses Institut de Veille Sanitaire.
Réduction des risques chez les usagers de drogues
Les découvertes de séropositivité VIH chez les migrants en France
Surveillance des Infections Sexuellement Transmissibles
Surveillance du VIH/sida en France Synthèse des données du 30 juin 2011 Institut de veille sanitaire, Département maladies infectieuses, Unité VIH-IST-VHC-VHB.
InVS 27/11/2006 Autres points dactualité, perspectives et synthèse Réunion des Associations 27 novembre 2006 Unité VIH/Sida-IST-VHC Département des Maladies.
InVS 22/11/2005 Autres points dactualité, perspectives et synthèse Réunion des Associations 22 novembre 2005 Unité VIH/Sida-IST-VHC Département des Maladies.
Actualités épidémiologiques sur le VIH et le sida Unité VIH-IST-VHC, Département des maladies infectieuses, InVS Françoise Cazein, Florence Lot, Stéphane.
InVS 27/11/2006 Test dinfection récente… Sur le chemin de lincidence ? J Pillonel, F Cazein, F Lot, R Pinget, S Le Vu, P Bernillon, C S le (InVS) et.
Les numéros 70 –
DES STRUCTURES ET ASSOCIATIONS ENGAGEES COORDINATION REGIONALE DE LUTTE CONTRE LE VIH INFORMATION DEPISTAGE / PREVENTION Dépistage en Médecine Générale.
COREVIH Auvergne-Loire
COREVIH Auvergne-Loire
Anne Frésard AG COREVIH 14 avril 2011
Propositions de recommandations émises par les COREVIH Centre et Poitou Charentes/Aquitaine sur la prise en charge des patients VIH incarcérés.
Institut Arnault TZANCK
NOUVELLES SEROPOSITIVITES 2008 ET EVOLUTION ICÔNE 2009 Reims, le 19 juin 2009 S HENARD, Pr Ch RABAUD.
XX/XX/XX Offre de soins en milieu carcéral Loi du 18 janvier 1994 objectif : offrir la même qualité de soins qu en population générale.
HEPATITE C LA PRATIQUE EN VILLE.
COREVIH Lorraine-Champagne-Ardenne, Nancy, le 17 novembre 2009
Nancy, 13 septembre 2011.
EPIDEMIOLOGIE DES NOUVEAUX SEROPOSITIFS Cohorte « Grand Est » S HENARD, Pr Ch RABAUD 11 décembre 2009.
dépistage VIH/VHB/VHC en médecine générale
C O R E V I H D E B O U R G O G N E Icône Lille mai 2011.
« Améliorer le dépistage pour traiter plus tôt. » Eric Billaud Infectiologie CHU Nantes Corevih des Pays de la Loire Plénière COREVIH.
Stratégies thérapeutiques pour les personnes dépendantes des opiacés Place des traitements de substitution 23 et 24 juin 2004 Lyon (École normale supérieure)
Faisabilité et Acceptabilité des Tests Rapides d’Orientation Diagnostique en Cabinet de Médecine Générale C. Poirier(1), G. Gras(1), JP. Lebeau(2), L.
Suivi des nouveaux nés de mère VIH + à Strasbourg
Dépistage de l’hépatite C
LA PRISE EN CHARGE VIH Le test de dépistage
Relations entre élastométrie, marqueurs biologiques et ponction biopsie hépatique chez 67 patients Sénégalais avec charge virale VHB ≥3.2 log UI/mL.
Session 7 1 IST/VIH/SIDA.
Lhépatite C en médecine générale Morris Sherman, M.B., B. Ch., Ph. D., FRCP(C) Université de Toronto Janvier 2013.
Recrudescence de la Syphilis en Guadeloupe depuis 2001: lien avec la précarité sociale et la consommation de crack I. Lamaury 1, S. Azi 2, R. Baudry 1,
Présenté par le Dr Idrissa BA CHU DAKAR
INTRODUCTION A LA SANTE PUBLIQUE EN MILIEU CARCERAL
HEPATITE C Prise en charge en 2007
Les chiffres & les nombres
Case Management à L’Unité de Crise du CHU Brugmann
AG 05/04/2013 Le Kremlin-Bicêtre Florence Buseyne
Année universitaire Réalisé par: Dr. Aymen Ayari Cours Réseaux étendus LATRI 3 1.
MAGIE Réalisé par Mons. RITTER J-P Le 24 octobre 2004.
AG 2012 EPF Primeva Coverte Eq4. CESP U1018
Aire d’une figure par encadrement
Les fondements constitutionnels
MAGIE Réalisé par Mons. RITTER J-P Le 24 octobre 2004.
Coordinateur médical CISIH Guadeloupe
1/65 微距摄影 美丽的微距摄影 Encore une belle leçon de Macrophotographies venant du Soleil Levant Louis.
Direction de santé publique de la Montérégie PORTFOLIO THÉMATIQUE EXPÉRIENCE DE SOINS DES ANGLOPHONES DE LA MONTÉRÉGIE Direction de santé publique Surveillance.
Annexe Résultats provinciaux comparés à la moyenne canadienne
Retours en région de l’enquête PREVACAR Enquête nationale de prévalence de l’infection VIH, de l’hépatite C et des traitements de substitution aux opiaces.
PRISE EN CHARGE DU VIH ET DES HEPATITES EN MILIEU CARCERAL ET ACCOMPAGNEMENT DES POPULATIONS PRECAIRES EN SORTIE DE PRISON.
Intérêt de la prise en charge de l’hépatite C en prison.
Toute représentation ou reproduction intégrale, ou partielle faite sans le consentement de l'auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause est illicite"
Transcription de la présentation:

Promotion du dépistage du VIH et des virus des hépatites et promotion du diagnostic de la fibrose hépatique d’origine virale ou toxique par élastométrie dans les prisons du Puy de Dôme. Etude coordonnée par C Bonny, C Henquell, A Lénat et C Jacomet Avec la collaboration de S Dydymski et J Perriot Corevih Auvergne Loire.

Justification de l’étude Prison française et système de soin La consommation en Prison Données 2010 dans le Puy de Dôme

Prison française et système de soin Réforme 18 janvier 1994 Chaque établissement pénitentiaire est relié à établissement hospitalier Conditions de prise en charge  « les mêmes à l’intérieur de la prison qu’à l’extérieur » Soins organisés autour de l’UCSA, SMPR, CSAPA

Prison française et système de soins UCSA Unités de consultations et de soins ambulatoires dépend d’un service hospitalier Dr LENAT Service des Urgences du CHU de Clermont Fd ( Pr J Schmitt) Prise en charge clinique, thérapeutique et préventive en lien avec CDAG : (consultation de dépistage anonyme et gratuite) Centre Emile Roux ( Dr J Perriot) SMPR Service psychiatrique de secteur Hôpital Saint Marie : secteur Clermont Ferrand et secteur Riom CSAPA structures de prise en charge des addictions CSAPA avenue d’Italie ( Mr G Volle)

Prise en charge des infection au VIH et aux virus des hépatites PREVENTION Infirmerie de l’UCSA /antenne CDAG Entretiens de prévention et rendu des résultats de tests réalisés à l’entrée au centre pénitentiaire à la demande des détenus SOINS Infirmerie de l’UCSA Praticien hospitalier référent ( Dr A Lénat, Dr C Perrier, Dr C Punat , Dr C Rougier - Urgences CHU) Consultations par spécialistes hospitaliers des personnes vivant avec le VIH/SIDA et/ou du virus des hépatites (Dr S Dydymski, Pr Beytout, et Dr C Bonny)

Prévention et politique de réduction des risques en prison Risques sexuels Préservatifs dans les unités médicales Tests systématiquement proposés à l’entrée Entretien et conseils CDAG Risque parentéral Possibilité d’accéder aux traitements de substitution (poursuivis à 84% BHD et 71% Méthadone) Eau de javel, matériel stérile Traitement post exposition (sexuel ou autre) Kits de traitement de 3 jours sur place

La consommation en prison : État des lieux =>Avant l’incarcération, 32 % des personnes ont eu une utilisation prolongée et régulière de drogues au cours de l’année, contre par exemple 15 % des 18-25 ans et 4 % des 26-44 ans en population générale. =>Plus de 30 % déclarent une consommation excessive d’alcool, 80 % fument du tabac, plus de 20 % fument plus d’un paquet par jour. =>Pour l’injection: ils sont 6,2 % UDIV au cours de l’année précédant l’incarcération et 11,8 % à l’avoir pratiquée au cours de leur vie, contre 1 % de la population générale. =>Pour le cannabis, 25,6 % des entrants en ont fumé au cours du dernier mois, contre 6 % de la population générale  (données plus récentes « Addictions en milieu carcéral » disponible en ligne sur le site de l’OFDT : www.ofdt.fr )

La consommation en prison : État des lieux Enquête ORS PACA(Oct.2000) « tous les produits fumés, sniffés, injectés ou avalés avant la détention restent consommés pendant l’incarcération, dans de moindres proportions qu’à l’extérieur» Importance des poly-consommations Prévalence du VIH est 3 à 4 fois supérieure en milieu pénitentiaire qu’en milieu libre et celle du VHC 4 à 5 fois supérieure ( cf données présentées plus loin) . (données plus récentes « Addictions en milieu carcéral » disponible en ligne sur le site de l’OFDT : www.ofdt.fr )

La consommation en prison : Cadre législatif ( idem qu’à l’extérieur) Autour de la loi du 31 décembre 1970, cette dernière étant critiquée mais jamais changée (cf. Plan quinquennal 27 juillet 2004) Trois directions: La répression du trafic L’interdiction de l’usage et la proposition d’une alternative thérapeutique  La gratuité des soins et l’anonymat pour les usagers

Données de prévalence des infections VIH, VHC, VHB en prison Enquêtes de la DREES Prévalence du VIH : 1.6% en 1997 -> 1.1% en 2003 Prévalence du VHC : 4.4% -> 3.1% Prévalence du VIH est 3 à 4 fois supérieure en milieu pénitentiaire qu’en milieu libre et celle du VHC 4 à 5 fois supérieure Enquête POPHEC Prévalence du VHC : 6.3% en 2000 -> 7.1% en 2003 « 15% des incarcérations et 1/3 des détentions en maison d’arrêt sont en rapport avec une infraction à la législation sur les stupéfiants » DRASS IDF

Stigma et discriminations en prison La peur d’être stigmatisé responsable d’auto-discrimination: Refus de dépistage Refus de faire connaître son statut de séropositif Refus de se faire suivre Refus de se traiter La peur d’être stigmatisé responsable de carence en prévention: Très peu de détenus viendront chercher à l’UCSA des préservatifs un traitement préventif en cas de risque sexuel Échanger des seringues, eau de javel

En Auvergne 880 détenus Dans 7 établissements pénitentiaires dont cinq maisons d'arrêt de petite stature. 86 places : MA Clermont-Ferrand standard 04 73 98 32 00 1 rue de la Prison BP 126 63033 Clermont-Ferrand Cedex Fax : 04 73 98 32 17 122 places : MA Riom standard 04 73 63 48 48 5 place des Martyrs de la Résistance BP 32 63201 Riom Cedex Fax : 04 73 63 48 40 164 places : CD Riom standard 04 73 64 48 40 service parloir 04 73 63 18 71 17 rue Soubrany BP 38 63201 Riom Cedex Fax : 04 73 64 48 49

En Auvergne 73 places : MA Aurillac standard 04 71 43 08 00 service parloir 04 71 48 74 49 20 place du Square 15000 Aurillac Fax : 04 71 48 95 10 36 places : MA Le Puy-en-Velay standard 04 71 09 09 45 service parloir 04 71 05 47 40 37 boulevard Président Bertrand BP 334 43012 Le Puy Cedex Fax : 04 71 05 52 73 21 places : MA Montluçon standard 04 70 05 00 56 3 rue du Château BP 3135 03105 Montluçon Cedex Fax : 04 70 05 42 17 272 places : CP / MA 146 places / MC 126 détenus / Moulins-Yzeure standard 04 70 35 15 00 service parloir 04 70 35 51 08 Les Godets BP 24 03401 Yzeure Cedex Fax : 04 70 34 00 20

Maisons d’arrêt du PDD Clermont Ferrand Riom

Données 2010 dans les prisons du Puy de Dôme Dépistages VIH et/ou VHC à l’entrée Maison d’arrêt de Riom Nb = 36/226 entrants Centre de Détention de Riom = 6/70 entrants Maison d’arrêt de Clermont Ferrand = 78/142 entrants Nb VIH+ : 0 à Riom, 0 à Clermont-Fd Nb VHC+: 0 à Riom, 2 à Clermont-Fd Soins Nombre de patients traités / connus pour être infectés Centre de Détention de Riom VIH + VHC = 1 pt VHC + = 4 pts dont 2 RVS, 1 RV en cours d’évaluation, 1 en cours de traitement Maison d’arrêt de Clermont fd : aucune prise en charge particulière car suivi VIH = 0 VHC = 0

Objectifs de l’étude Promouvoir le dépistage du VIH et des virus des hépatites à l’entrée et à la sortie des établissements pénitentiaires du Puy de Dôme. Promouvoir le diagnostic de fibrose par élastométrie (Fibroscan° mis à disposition dans les établissements pénitentiaires) chez les porteurs de virus chroniques et les consommateurs de drogues (alcool, produits illicites)

Objectifs secondaires Concernant le dépistage du VIH, VHC et VHB : Connaître le taux de découverte d’infections Connaître l’état clinique , biologique et virologique au moment du dépistage Évaluer le recours aux soins Evaluer le recours aux traitements et à leur efficacité Concernant l’évaluation de la fibrose hépatique Connaitre l’état de la fibrose hépatique chez les patients VHC et VHB dépistés en prison Connaître l’état de la fibrose hépatique chez les consommateurs de toxiques ( alcool, drogues illicites) Evaluer le recours aux consultations d’addictologie

Méthodologie Ag HBs, Ac anti-HBs, Ac anti-HBc Dépistage à l’entrée : CDAG (Dr Perriot) Sérologie VIH1+2 ( ELISA) Sérologie VHC Ag HBs, Ac anti-HBs, Ac anti-HBc Dépistage à la sortie TROD VIH (test INSTI VIH 1et2) TROD VHC (test OraQuick HCV) Evaluation de la consommation de toxiques En cas de VHB+, VHC+ ou consommation: Cs hépatologue avec une évaluation de la fibrose par élastométrie (Fibroscan°)

Descriptif de l’étude A l’entrée dans le centre pénitentiaire Consultation médicale ( PH Urgences CHU Clermont Fd) à l’infirmerie de l’UCSA par CDAG Proposition du protocole/Signature du consentement ? Identification de la consommation de drogues Proposition de dépistage VIH VHB et VHC Consultation de remise des résultats anonymisés VIH VHC VHB négatifs : démarche de prévention à poursuivre VIH et/ou VHC et/ou VHB positifs : prise en charge spécifique proposée ( Dr dydymski, Dr Bonny) Dans les deux cas si consommation de toxiques : proposition d’évaluation de la fibrose hépatique par hépatologue ( Dr Bonny)

Descriptif de l’étude (2) La cs d’hépatologie avec fibroscan mis à disposition pendant un jour par mois dans l’un des trois centres successivement. Résultats de l’évaluation discutée avec le patient Proposition de prise en charge spécifique CMP, CSAPA, cs addictologie Traitement de l’hépatite virale chronique La consultation de sortie Souvent précipitée Proposition par le soignant d’un TROD VIH et d’un TROD VHC En cas de positivité : un suivi proche de son domicile est proposée avec remise des documents médicaux nécessaires.

Critères de jugement Evaluation de la démarche de dépistage dans sa totalité Nb et % de dépistages entrée+sortie/ flux de l’année Evaluation du dépistage à l’entrée VIH/ VHC/ Ag HBs Nb dépistages sg/nb entrées % positifs % positifs déjà connus Evaluation du dépistage à la sortie VIH/ VHC/ Ag HBs+ Nb dépistage rapides/nb sorties

Critères de jugement (suite) Evaluation de l’intérêt du fibroscan Nb test effectués/ nb porteurs de virus chroniques et consommateurs Acceptabilité : nb acceptés/ porteurs de virus chroniques Acceptabilité : nb accepté/ consommateurs de toxiques Faisabilité du fibroscan : Nb prévus/ nb effectifs Nombre et % sujets VHC+et/ou VHB +selon degré de fibrose Nombre et % de sujets consommateurs alcool et/ou drogues illicites selon degré de fibrose % patients ( VHC ou VHB) traités grâce évaluation fibrose % patients ayant recours à prise en charge spécifique et/ou cs d’addictologie en cas de consommation

Critères secondaires de jugement (3) VIH+ Facteurs de risques/Addictions en cours Evaluation clinique (stade CDC) Évaluation CD4, charge virale VIH Nb acceptant la prise en charge médicale Nb traités Nb CV indétectable Soins délivrés aux VHC+ et/ou AG HBS+ Facteurs de risque/ Addictions en cours Charge virale/enzymologie/Génotype/Fibrose Nb référés en Hépatologie (ou Infectiologie si co-infection VIH/VHC) Nb RVS

Dates prévues 1er janvier 2012 au 31 décembre 2012

Financement Tests rapides Fibroscan Coût : 4 euros X 500 TRODs = 2000 euros. Laboratoires privés Fibroscan Mise à disposition par le Laboratoire Roche