La moelle épinière Les messages entrent par la racine dorsale Et repartent par la racine ventrale Ils sont intégrés à l’intérieur de la subs grise de la m.e. Le sectionnement d’une des deux racines peut causer l’impossibilité soit de ressentir ou de bouger sans pour autant influence l’autre…

Ponction lombaire La ponction lombaire permet de prélever un peu de liquide céphalorachidien pour analyse (déterminer s'il y a présence de bactéries ou de virus, par exemple). La moelle épinière se termine au niveau de la vertèbre L 2 (1ere vertèbre lombaire). La ponction se fait sous la L 2 afin d'éviter de léser la moelle.

Vascularisation cérébrale Crosse Tronc brachiocéphalique D – Carotide primitive D Externe D Interne D – Sous clavière D Vertébrale D Carotide primitive G Externe G Interne G Sous clavière G – Vertébrale G C V S-C Cr

A. Carotide v ci Rocher Sinus caverneux Artères terminales Ophtalmique Cérébrale antérieure Art corticales Cérébrale moyenne Art perforantes Art corticales Art choroïdienne antérieure Communiquantes Antérieure Postérieure

Vue infèrieure - Polygone de Willis

Artère cérébrale antérieure CC h V3

Artère cérébrale moyenne

Tronc basilaire A de la Fosse postérieure A cérébelleuses » Inférieure PICA » Moyenne » Supérieure A cérébrale postérieure, sus-tentorielle » Lobe temporal » Région occipitale » Art choroïdiennes post.

Sinus veineux to sl sc vos sd sls to f sli

Sinus caverneux CI H Ch III IV VIV1 V2 Sin cav S sph

Comment explorer? Doppler : US Scanner : angioscanner RX IRM angioIRM ARM Protons Artèriographie par voie percutanée RX Méthode de Seldinger Utilisation de contrastes Iode RX Gadolinium IRM

Le neurone

L’influx nerveux

Principes de la transmission synaptique chimique 1.Synthèse et stockage des n x dans les vésicules synaptiques 2.Dépolarisation suite à un influx nerveux 3.Libération des n x dans la fente synaptique 4.Liaison des n x aux récepteurs de la membrane postsynaptique 5.Dégradation, recaptage ou diffusion du n x

Neurotransmetteurs Adénosine (ATP) Monoxyde d’azote hormones Plus de 40, dont les peptides opioïdes chimiquement proches de la morphine = nos morphines endogènes ou endorphines. Interviennent dans le contrôle de la douleurcontrôle de la douleur Adrénaline, nor-adrénaline, dopamine

Système nerveux périphérique  Nerfs crâniens et spinaux  Nerfs périphériques et leurs ganglions  Récepteurs sensoriels  Terminaisons motrices

3- Le système nerveux périphérique Composé par: – racines nerveuses issues de la ME – plexus nerveux (brachial, lombaire…) – troncs nerveux moteurs qui innervent les muscles des membres par les plaques motrices – troncs nerveux sensitifs qui reçoivent des informations issues de récepteurs sous-cutanés, tendineux et viscéraux

Le système nerveux périphérique - somatique Contient nerfs spinaux Axones moteurs somatiques proviennent des neurones moteurs Dans partie ventrale de la moëlle épinière – Corps cellulaire = SNC – Axones = SNP Axones sensoriels somatiques (info de la peau, muscle etc..) Entre dans la ME par racines dorsales

Le système nerveux périphérique

Les nerfs rachidiens De cette moelle épinière naisse les nerfs rachidiens,on en dénombre 31(8 C,12 T,5 L5 S,2 C) Le nerf rachidien est formé de l’anastomose d’une racine postérieur sensitive une racine antérieure motrice – Ces nerfs rachidiens s’organise en plexus

Les nerfs crâniens 12 paires crâniennes symétriques Dt et G Situées dans les 3 étages du tronc cérébral Responsables de la sensibilité et la motricité de la boite crânienne et du massif facial

I: nerf olfactif – Olfaction II: nerf optique – Vision de chaque oeil III: Nerf moteur oculaire commun – Mobilité du globe oculaire (vers le haut, le bas, l’intérieur) – Motricité et adaptation du diamètre pupillaire – Motricité de la paupière supérieure IV: nerf pathétique – Mobilité du globe oculaire (vers le bas et l’intérieur: lecture)

V: nerf trijumeau – Sensibilité de l’hémiface VI: nerf moteur oculaire externe – Mobilité du globe oculaire (vers l’extérieur) VII: nerf facial – Motricité des muscles de l’hémiface VIII: nerf vestibulo-cochléaire – Audition – équilibre

IX: nerf glosso-pharyngien – Déglutition, réflexe nauséeux – Sensibilité du pharynx, de la partie post de la langue X: nerf pneumogastrique – Mobilité du voile du palais: sonorité de la voix – Motricité des cordes vocales XI: nerf spinal – Contraction des muscles trapèze et sterno-cléido- mastoïdien XII: nerf hypoglosse – Mobilité de la langue

Les nerfs craniens

Le système nerveux périphérique – vegetatif (SNP) Axones sensoriels – Transmission info vers SNC Axones motrices – Contraction et relâchement des muscles (intestins, vaisseaux sanguin)

Le système nerveux végétatif Le SNV est encore appelé SNA On peut dire qu’il est complémentaire du système nerveux somatique. Il régule notamment la transpiration, la digestion, les excrétions, la circulation (battement cardiaques, PA) Il est néanmoins sous la dépendance du système nerveux somatique qui reçoit les infos en provenance des organes par les voies sensorielles.

Le SNV est divisé en 2 parties: – Le SN parasympathique – Le SN sympathique Leurs actions sont différentes,souvent opposées et se coordonne pour pouvoir équilibrer le fonctionnement de tous les viscères

Le SN parasympathique: – Il correspond en règle générale à la mise au repos de l’organisme. – Il ralentit le cœur,dilate les pupilles,stimule le système digestif,diminue la sécrétion de sueur,limite les contraction des sphincters – Il agit par l’intermédiaire de l’acétylcholine

Le SN sympathique: – Il met l’organisme en état d’alerte. – Il augmente l’activité cardiaque et l’activité respiratoire,dilate les bronche et les pupilles,contracte les artères,augmente la sécrétion de sueur. – Il freine la fonction digestive – Ses NT sont:l’adrénaline et la noradrénaline

Le faisceau pyramidal Responsable des mouvements moteurs volontaires Naît du cortex moteur vers le TC puis la ME dans le TC: branches pour les noyaux des nerfs crâniens moteurs Croise la ligne médiane dans le bulbe  chaque hémisphère contrôle la motricité de l’hémicorps controlatéral

SCHEMA 7 La voie pyramidale ( faisceaux cortico- spinal et cortico- nucléaire)

L’unité motrice Motoneurone péripherique dans la corne anteriore prolongement dans le nerf périphérique Jonction neuromusculaire entre le motoneurone et les fibres musculaires Effecteur:le muscle

Plaque motrice

Les voies sensitives Il existe plusieurs types de sensibilité. – La S extéroceptive qui recueille les infos provenant de l’extérieur – La S proprioceptive est la S profonde consciente ou inconsciente. – La S intéroceptive;inconsciente et d’origine viscérale.

La sensibilité extéroceptive – D’origine cutanée et muqueuse:CONSCIENTE – Au niveau des corpuscules de Meismer de la peau en relation avec les dendrite d’un neurone dont le corps se trouve au niveau du ganglion spinal de la racine postérieur – L’axone de ce neurone à plusieurs destination selon la sensibilité qu’il véhicule.

La S thermo-algésique: Sensibilité de la chaleur. L’axone traverse la substance grise,décusse,et passe dans le cordon antéro-lat du même tronçon de moelle;il forme alors le faisceau spino-thalamique dorsal qui se dirige vers les centre sup La S protopathique Sensibilité tactile grossière Même trajet que pour la S thermo-algésique Forme le faisceau spino-thalamique ventral.

La sensibilité épicritique: – S tactile fine – La voie sensitive se situe dans le cordon postérieur de la substance blanche – Il ne croise pas au niveau de la moelle mais du bulbe – Permet de déterminer les problèmes médulaires

La sensibilité propriocéptive – Consciente ou inconsciente – Consciente:Il transmettent la douleur profonde grâce à des dendrites situées dans les os,les tendons. – Le corps cellulaire de ces dendrites se trouvent dans les ganglions postérieurs;les axones emprunte le même faisceau que celui de la S épicritique pour atteindre les centres supérieurs – Inconsciente:permet de renseigner sur la position du corps dans l’espace,et éventuellement rééquilibre les posture Il remonte au centres supérieurs par le faisceau spino- cérébelleux.