Musée d’art moderne de Lille
Sommaire Histoire du Musée Architecture : un premier art ? De la Scénographie aux Visites virtuelles Conclusion
Un lieu d’exposition peut-il être une œuvre à lui tout seul ?
L’histoire du musée 16 octobre 1979 : Des collections privées (Roger Dutilleuil et son neveu Jean Masurel) sont transmises à la communauté urbaine de Lille. Parmi eux se trouve des œuvres d’art moderne et contemporaine (cubisme, art brut, fauvisme, surréalisme). Inauguration du musée d’Art moderne de Lille en novembre 1983 à partir de ces collections. Fermeture pour extension entre 2006 et 2010.
L’architecture : un premier Art ? L’architecture, différente des autres musées, lui donne une particularité hors du commun. Cela commence par la forme globale du musée ( Plan du Musée). L’architecture, dans sa propre constitution, possède aussi une façade datant des années 80’ et une extension, très récente (2010). Elle garde un esprit géométrique proche du cubisme, malgré le côté hétéroclite du bâtiment.
(La façade est sculpté.) 2010 Années 80’ (La façade est sculpté.)
Le parc et ses sculptures constitue une exposition permanente : statues de Picasso, Braque et Calder…
De la scénographie aux visites virtuelles La disposition des salles n’est pas classique dans la mesure où ces salles ne sont pas régulières (un plan aux formes non linéaires). La cohabitation de l’art brut, moderne et contemporain en un même lieu permet de les confronter (placement réfléchi selon les œuvres et les contenus à présenter).
Plan du Musée
L’architecture originale de l’extérieur se retrouve aussi à l’intérieur. La scénographie du musée s’adapte aux lieux.
Un investissement : des visites virtuelles… Pour rapprocher l’internaute du musée, la conservatrice, Sophie Lévy, a accepté en 2006, la numérisation du fond iconographique du musée et la reconstitution du musée avec des images à 360°. Lien : http://bit.ly/s4iR9o
… et un site web La numérisation du musée passe aussi par la vitrine offerte aux internautes via le site web du musée. Riche en couleurs et en contenu, il nous permet de comprendre le musée, ses objectifs et ses expositions.
Les expositions temporaires : Aperçu Une exposition sur Lanskoy, un peintre russe qui a vécut à Paris, appartenant au tachisme, un mouvement abstrait des années 40-50. Elle se déroule en ce moment même au musée. Plus tôt, en juin 2011, le musée accueille la collection du musée d’Art moderne de Belfort, partageant les mêmes thèmes que l’exposition permanente.
Conclusion Le musée d’Art moderne de Lille attire les visiteurs par son architecture aux inspirations cubiste et abstraite, qui paradoxalement est une œuvre d’art à elle toute seule. De plus, sa scénographie s’adapte bien aux lieux et réussit à faire cohabiter des œuvres de formats et de mouvements très différents. Ce musée nous a émerveillé. Et vous, qu’en pensez-vous ?
Source : Google Adresses Extraits du Net « Heureuse de retrouver le LAM après quelques années de fermeture. J'ai toutefois trouvé l'éclairage dans l'extension bien moins bonne que celui du bâtiment d'origine, très réussi. » Mouette59 « Ravie de redécouvrir ce musée qui possède de très belles œuvres et pourtant très déçue de l'éclairage. Lumières pas toujours bien exposées à la lumière et salles sombres : le musée souhaite un maximum de lumière naturelle toutefois le soir venu il a fallu demander à ouvrir les lumières, salle après salle ; personne ne pensait à le faire. Cela devrait être automatique. L'exposition provisoire du moment est "un peu spéciale" et le public présent avait du mal à accrocher. Le tarif est aussi très onéreux. » maxence Source : Google Adresses
Exposé réalisé par Eliah Rebstock et Adrien Blaizot Sources Site du musée : http://www.musee-lam.fr/ Google Adresses : http://bit.ly/sZ6HAw Un article de « Terrafemina » sur l’exposition Lanskoy : http://bit.ly/ukITsS Exposé réalisé par Eliah Rebstock et Adrien Blaizot