A l’assaut d’un château La bataille est rageuse !!! L’ennemi a bâti ses machines de siège et a commencé à lancer des projectiles sur les remparts et les murs du château. Il assèche les douves et les remplit de branchages pour traverser plus facilement à pied. Les défenseurs se protègent grâce aux hourds en bois et aux meurtrières.
Puit Château Barbacane La bataille tourne mal, les habitants du château résistent malgré les armes de destructions « massives » de l’époque. La seule chance pour eux de s’en sortir, c’est que les renforts adverses n’arrivent pas et que leurs adversaires se lassent. Château Barbacane Puit Le plus grand problème des défenseurs, c’est le manque d’eau et de nourriture malgré le puit installé dans le château principal.
Front ennemi Hourds Remparts Remparts Douves Front ennemi Pont-Levis
LES ARMES La trique ou chausse-trape servait à rendre invalides hommes et chevaux ou autres bêtes. Elle était envoyée au sol et à cause de ses cinq piques elle était obligée de retomber avec une pique dressée vers le haut. La dague, petit couteau, servait lors du combat rapproché entre les chevaliers tombés au sol. La dague pouvait rentrer dans la gamme des épées. Le brand, grande épée d’1m20, apparaît lors du XVè s. Cette épée si lourde devait être soulevé à deux mains.
Le fléau d’armes et la masse servaient à donner des coups. L’épée normale donc plus petite datait quand à elle du XIVè s. Les épées existaient avant mais elles étaient conçues, auparavant, pour poignarder. Le sabre datait du XIIIè s. Il ne comportait cependant qu’un simple tranchant à l’inverse des épées qui en avaient quant à elle deux. Le fléau d’armes et la masse servaient à donner des coups. Le fléau d’armes ,inspiré par l’outil servant à battre le blé, était utilisé contre les armures. La masse d’arme était une arme d’appoint renforcée et sa lourde tête pouvait broyer le crâne d’un homme. Sif kidf jghbd fdfd fng :flng ; n ggd fgeg g;ndg
La hallebarde apparaît lors du XVIème siècle La hallebarde apparaît lors du XVIème siècle. Cette lance servait pour charger les cavaliers. Certains gardes à l’entrée des portes capitales du château (mais surtout à l’entrée du donjon) pouvaient posséder cette arme. Les gardes royaux pouvaient en être également équipés. Le chevalier se servait de sa lance pour charger sur les autres chevaliers. Celle longue « perche » en bois se terminait par un fer pointu permettant de désarçonner l’adversaire.
Lexique Mangonneau : Catapulte activée par des cordes. Beffroi : « tour mobile » qui permettait aux soldats d’arriver à hauteur des créneaux. Barbacane : avancée défensive permettant aux soldats du château de se préparer à l’assaut final. Hourds : Endroit de bois où se cachaient les soldats pour jeter des projectiles ou tirer sur leurs adversaires.