Diaporama manuel et musical
Poème de Philistin Panger Ma chandelle est morte Poème de Philistin Panger J’ai voulu, par destin détruire nos lacunes, depuis ce triste matin Jusqu’au clair de la lune.
Ecrire des espoirs, des prières pour un homme plus beau, pour le monde, tous mes frères et pour mon ami Pierrot.
Mes mots écrits s’envolent dans une épaisse brume Que Dieu joue son propre rôle Et me prête sa plume
Il pourrait donner ainsi Dans un élan nouveau une belle et folle énergie Juste pour écrire un mot.
Tant pis pour ceux qui espèrent. j’ai fais de mon mieux Et dans ces quelques vers, je n’ai plus de feu.
Mais je lâche mon stylo Une feuille blanche le porte. Je n’ai plus un seul mot Ma chandelle est morte
Ainsi s’achève ce poème Et je crois d’une manière forte Que seuls les " je t’aime " M’ouvriront la porte.
Les coeurs sont fatigués Le mien n’est pas mieux. Il suffit donc d’aimer C’est pour l’amour de Dieu
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