© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p1 Ethernet - Pratique SOPRA. / IUT GTR Éric Aimée.

Slides:



Advertisements
Présentations similaires
Semaine 5 Couche Liaison de données Cours préparé par Marc Aubé
Advertisements

Chapitre II RESEAUX LOCAUX Ethernet
Chap. 1 - Introduction Plan
Gestion de la connaissance – lexpérience dun cabinet juridique britannique Kate Stanfield Head of Knowledge Management CMS Cameron McKenna.
Modulation numérique.
En quoi consiste la modulation d’amplitude ?
LES TRANSMISSIONS DE DONNEES DANS LE SECTEUR INDUSTRIEL. ZOBRIST Julien TS1 ETA.
Les Compteurs A. Objectifs de la séquence:
Le Courant Porteur en Ligne
Transmission de l’information Réseau domestique
Le réseau Ethernet Présentation Patrick MONASSIER
LE FUTUR SYSTEME EUROPEEN DE NAVIGATION PAR SATELLITES
BUS de TERRAIN CANOPEN.
Réseaux locaux : techniques d'accès M1/M2 ISV M2 IPS 2006/2007 Neilze Dorta UFR Mathématiques et Informatiques - Crip5 1.
Les Réseaux Informatiques
SOPRA. / IUT GTR Éric Aimée
Cours de Réseaux Informatiques
Les medias.
Les équipements d’un réseau local
Réseau Internet du BISTROT A CREPES
Modulation d’impulsions binaire et M-aire
TRANSMISSION PAR COURANT PORTEUR
Chaîne de Transmission
Introduction aux réseaux
Codage et Protection contre les Erreurs
Ethernet 10 : Briques de base
TRANSMISSION DES DONNEES.
Divers procédés de modulation sont utilisés dans le domaine hertzien et dans le domaine câblé pour transporter les informations numériques Ces techniques.
Fonction COMMUNIQUER les liaisons série
Séance d’introduction
Les Réseaux 2008.
Traitements analogiques des signaux
Cours n° 3 Réseaux locaux et technique d’accès
© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p1 Réseaux Locaux SOPRA. / IUT GTR Éric Aimée.
QCM 1 Windows 2000.
QCM 2 Windows 2000.
J.-P. Allamandy, J. Berrio Bisquert encadrés par
Cours de Réseaux Informatiques
Télécommunications numériques
Tutorat 4 – Techniques d’encodage.  Encodez la séquence de 10 zéros avec les méthodes d’encodage suivantes, c’est-à-dire dessinez les signaux numériques.
Cours 5 Le modèle de référence.
III- Une typologie Les réseaux locaux Les réseaux étendus.
H5 Harry a un chapeau et une chouette mais pas de balai Harry a un chapeau et une chouette mais pas de balai.
LICENCE PROFESSIONNELLE MAII Les Réseaux de Terrain Protocoles.
Les Réseaux Informatiques La couche physique Laurent JEANPIERRE DEUST AMILOR.
Physique des Télétransmissions
Quelle connexion ? RTC, RNIS, ADSL, câble , Satellites ?
Le partage de la ligne.

Norme & Ethernet Création : Modifications :
L’architecture physique
RESEAUX & COMMUNICATIONS
MODULATION I - Définitions et généralités s(t)
Architecture Ethernet [© MRIM.tv.2003

Architecture ISEP 2007– A3 Partie 2.
A D S L.
Cours 8 La transmission.
Terminologie liée aux mesures
Les techniques de transmission
Transmission en large bande
1 Information et sa représentation Les informations à échanger sont de nature multiple : Données informatiques Parole Séquence vidéo Combinaison de ces.
Les réseaux locaux (Ethernet)
CHAPITRE 2 La couche physique.
Réseaux industriels & bus de terrain
Les Réseaux Informatiques Rappels
Département Informatique Les Réseaux Informatiques Couche Liaison Protocole Ethernet Laurent JEANPIERRE.
Les Cartes Réseau Carte Ethernet Carte Wi-Fi. Définition Les cartes réseau sont des composants électroniques permettant de relier plusieurs machines à.
Département Informatique Les Réseaux Informatiques Ethernet, FastEthernet, Gigabit Ethernet : L’évolution Laurent JEANPIERRE.
Unité 1: Concepts de base
Transcription de la présentation:

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p1 Ethernet - Pratique SOPRA. / IUT GTR Éric Aimée

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p2 Introduction (1)  Réseau Local (LAN)  Développé par Digital, Intel & Xérox (DIX)  ethernet 1980 => IEEE  Bande de Base  signal électrique transmis sans modification de rythme et occupant la totalité de la bande passante  Basé sur la méthode d’accès CSMA/CD  CSMA : accès multiple et écoute de la porteuse  CD : détection de collision

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p3 Introduction (2)  Buts énoncés dans le document DIX  Simple - Faible coût  Peu de fonctions optionnelles  Pas de priorité  On ne peut pas faire taire son voisin  Débit : 10 Mb/s  Performances peu dépendantes de la charge

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p4 Présentation  Notation Ethernet 10 BASE MHzBande de base

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p5 Définitions  Bande Passante (Hz) :  Caractérise tout support de transmission, c’est la bande de fréquences dans laquelle les signaux sont correctement reçus  W = Fmax - Fmin  Débit binaire qui caractérise une liaison (bits/s ou bps) : formule de Shannon  est une fonction directe de la bande passante (W) :  D = W log2 (1 + S/N) S/N = signal/bruit  c ’est la quantité maximale d ’information transmissible sur une voie

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p6 Transmissions Numériques (1)  Un signal en bande de base (BdB) ne subit pas de transposition en fréquence  Utilisable seulement sur les supports n’introduisant pas de décalage en fréquence  Le signal occupe toute la bande passante disponible  Avantages : simplicité et faible coût  (pas de phase de modulation / démodulation)

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p7 Transmissions Numériques (2)  La transmission directe de la suite des symboles binaires n’est pas possible :  il faut transmettre le rythme d’horloge pour pouvoir reconstituer la séquence des données reçues  la déformation des signaux transmis augmente avec la largeur de la bande de fréquence utilisée  Les fonctions de codage permettent d’adapter le signal au support de transmission

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p8 Codage du Signal (1)  C'est le résultat de la combinaison entre l'horloge et les données. Le signal Ethernet est codé "Manchester".  Pour éliminer les composantes continues dans le signal, on introduit des transitions au milieu de chaque intervalle i avec par exemple un front montant quand la donnée a i vaut 0 et un front descendant quand elle vaut 1 :  "1" : 1/2 période haut suivie d'1/2 période bas,  "0" : 1/2 période bas suivie d'1/2 période haut.

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p9 Codage du Signal (2)  Exemple de codage Manchester T HORLOGE DONNEES Code MANCHESTER 1 1

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p10 Transmission Coaxiale (1) Coefficient de réflexion :  IMPEDANCE (Z c ) :  50 W pour Ethernet et en électronique;  75 W en télévision. R, L, C 0 xx

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p11 Transmission Coaxiale (2)  Z c défini l'impédance du câble exprimée en W  R est l'impédance de charge exprimée en W   est appelé coefficient de réflexion  = R -  c R +  c

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p12  R = ,  = 1 l ’onde revient  L'onde  1 arrive en bout de câble  L'onde repart selon la formule  2 =  1 *  Transmission Coaxiale (3)

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p13 Transmission Coaxiale (4)  R = 0,  = -1 l'onde revient en opposition de phase

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p14 Transmission Coaxiale (5)  Afin d'éliminer toute réflexion, on ajoute en bout de câble une résistance (charge) entre l'âme et la masse du coaxial, de valeur égale à l'impédance du câble. 11 R =  c = 50   = 0

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p15 Transmission Coaxiale (6)  Conclusion : Il ne faut jamais ouvrir un câble coaxial sur une topologie en bus. Tresse RR R =  c = 50  Ame

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p16 Ethernet / Matériels  Un réseau Ethernet peut être formé de plusieurs segments, raccordés par des répéteurs  2 types de segments  câble coaxial (câble jaune, gros Ethernet)  segment de liaison (liaison point à point)  Les stations sont connectées uniquement sur les segments coaxiaux  Entre station (un coupleur Ethernet) et coaxial  câble de transceiver (câble de descente, drop cable)  transceiver

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p17 Ethernet / Topologie  Le plus long chemin entre 2 stations :  3 segments de coaxial  2 segments de liaison  4 répéteurs  2.5 km (si réseau tout en coaxial)  Temps total de propagation aller et retour de la trame :  RTD < 500 bit times (50 µs)

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p18 Ethernet / Segment (1)  Délai de propagation de trame<21.65 bit times  Longueur < 500 m (conséquence du délai de propagation et atténuation)  100 transceivers max / segment  Problème de réflexion :  à chaque extrémité du segment : une terminaison (bouchon)  câble marqué par un cercle tous les 2,5 m  plusieurs sections de câble coaxial :  reliées par des connecteurs qui peuvent introduire une réflexion du signal.

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p19 Ethernet / Segment de Liaison  Aussi appelé IRL (Inter Repeater Link)  Cf FOIRL pour la Fibre Optique  Liaison point à point (entre 2 segments Ethernet)  Pas de station sur ce segment  Délai de propagation de trame<25.64 bit times  Un répéteur à chaque extrémité  Si utilise du coaxial : longueur < 500 m

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p20 Ethernet / Tranceiver (1)  Appelé MAU : Medium Attachment Unit  Permet de raccorder :  une station par un "drop" cable au segment coaxial  un répéteur  Alimentation électrique par la station  Vampire (sur un segment coaxial)  boîtier avec 2 pointes qui percent le câble  1 qui va jusqu'à l'âme (véhicule les données)  1 qui va jusqu'à la protection (référence)

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p21 Ethernet / Tranceiver (2)  Fonctions du transceiver  transmettre et recevoir des bits  détecter les collisions  moniteur (optionnelle)  2 modes de fonctionnement  normal : reçoit et transmet tous les bits  moniteur (ou isolé) :  pour tests ou pour isoler une station  ne transmet pas les bits venant du coupleur  reçoit les bits venant du câble  détecte les collisions

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p22 Ethernet / Drop Cable (1)  AUI: Attachment Unit Interface  Câble de descente, drop cable, câble AUI...  Relie le transceiver et le coupleur Ethernet  Câble protégé constitué de 4 ou 5 paires torsadées avec une protection (paire = 3 fils)  Longueur maximale de 50 m  Terre de protection  A chaque extrémité : connecteur 15 points  Male côté coupleur, femelle côté transceiver

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p23  3 ou 4 signaux (1 signal / paire)  données en sortie : coupleur => transceiver  données en entrée : transceiver => coupleur  contrôle en entrée : transceiver => coupleur  transceiver prêt à transmettre  transceiver non prêt à transmettre (optionnel)  erreur de qualité du signal  contrôle en sortie: coupleur => transceiver (optionnel). Ordonne au transceiver de:  s'isoler du câble (mode moniteur)  passer en mode normal (après reset ou isolation)  se mettre prêt à transmettre  une paire pour l’alimentation.

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p24 Ethernet 10BASE5 (1)  10 comme 10 Mb/s, Base = Baseband, 5 = 500 m  Gros câble, câble jaune, Thick Ethernet, Ethernet standard  Lg max : 500 m et nb de stations max : 100  Distance entre les stations : multiple de 2.5 m  Topologie bus, transceiver vampire

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p25 Ethernet 10BASE5 (2)  Avantages :  très bien normalisé, depuis longtemps  pas de perturbation quand on ajoute une station  peu dépendant des "erreurs" des utilisateurs  Désavantages :  coût  difficilement maniable  perte de matériel quand on enlève une station

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p26 Ethernet 10BASE2 (1)  10Base2 (2 comme 200 m) : Thin Ethernet, Ethernet fin, CheaperNet  Lg max : 185 m et nb de stations max : 30  Topologie bus, stations en série (séparées d'au moins 0.5 m)  Transceiver en T (possibilité de raccord BNC)

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p27 Ethernet 10BASE2 (2)  Avantages :  le moins cher  très maniable  beaucoup de cartes Ethernet intégrent le transceiver  Désavantages :  si on enlève un transceiver (volontairement pour ajouter une station ou "involontairement"), on arrête le réseau  sensible aux perturbations électromagnétiques  limité en distance et nombre de stations

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p28 Ethernet 10BASE5 / 10BASE2  Il est possible de raccorder un câble fin à un câble épais, à condition de respecter la condition suivante :  3,28 * lg câble fin + lg câble épais < 500 m

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p29 Ethernet 10BASET (1)  10BaseT (T comme Twisted Pair)  Une double paire torsadée est suffisante  Lg maximale entre une station et un "hub" : 100 m  Topologie en étoile (concentrateur, noeud, hub), une station en bout de branche  Prise RJ45 en bout des fils  Transceiver paire torsadée

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p30 Ethernet 10BASET (2)  Avantages :  câble universel  insensible aux erreurs de manipulation des utilisateurs  centralisation des équipements  Désavantages:  limitations en distance

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p31 Ethernet 10BASET / Hub (1)  Équipement électronique qui simule les signaux du câble Ethernet et la connectique associée (Tranceiver + AUI) à l ’ordinateur qu ’il raccorde  Boîtier autonome alimenté électriquement  du point de vue du coupleur interne d ’une station, il apparaît comme fonctionnellement équivalent à un tranceiver

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p32 Ethernet 10BASET / RJ45 (1) Paire 2 : EMISSION Paire 3 : RECEPTIONPaire 1 Paire 4 Embase RJ45 femelle Connecteur RJ45

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p33 Ethernet 10BASET / RJ45 (2)

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p34 Ethernet 10BASET / Câblage Croisé 1 TD+ 2 TD- 3 RD+ 6 RD- TD+ 1 TD- 2 RD+ 3 RD- 6 Connexion point à point de transceiver 10BaseT

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p35 Fibre Optique (1)  Utilisée pour les "backbones"  Tous types de fibres  la plus utilisée est la fibre multimode 62.5/125 µm  Utilisable en point à point (segment de liaison) ou en étoile avec un transceiver en bout de branche (étoile optique au centre)  Un transceiver optique assure la transformation optique-électrique  Distance max : 1.5 km, 1 fibre émission, 1 fibre réception

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p36 Fibre Optique (2)  Avantages :  insensible aux perturbations  longues distances (réseau Ethernet jusqu'à 4.5 Km)  Désavantages :  coût  pas de coupleur sur station pour Ethernet

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p37 Ethernet 10BASEF (3)  FOIRL (Fiber Optic Inter-Repeater Link) : segment de liaison limité à 1000m entre deux répéteurs,  10Base-FL (Fiber Link) : remplace la spécification FOIRL; lien full duplex jusqu'à 2000 m; limité à 1000 m si utilisé avec un segment FOIRL; peut être utilisé entre 2 stations ou entre une station et un répéteur.

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p38 Ethernet 10BASEF (3)  10Base-FB (Fiber Backbone): segment de liaison entre hubs 10Base-FB; le segment <= 2000 m et est généralement utilisé dans les grands backbones,  10Base-FP (Fiber Passive), relie plusieurs stations à une fibre optique sans répéteur; ce segment est limité à 500 m. Généralement une étoile 10Base-FP relie 33 stations.

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p39 Supports / Bilan  Sauf besoin ponctuel, ne plus installer de gros coaxial  Utiliser le thin Ethernet si vous avez peu de moyen, peu de stations et des utilisateurs responsables  Utiliser la paire torsadée en pré-câblage, à l'intérieur des bâtiments  Entre des bâtiments, utiliser la fibre optique  Tous les supports peuvent être mixés  Ethernet est un jeu de construction

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p40 Cartes Réseau (1)  Carte d'extension  carte électronique qui fournit des services variés (vidéo, réseau, modem, etc...)  Interface d ’extension  interface standard qui permet le raccordement de carte d ’extension à la carte mère de l ’ordinateur

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p41 Cartes Réseau (3)  Interfaces d'extension (compatible Intel)  ISA (Industry Standard Architecture) crée par IBM au début des années 80 est un bus 16 bits / 8Mhz  EISA (Extended ISA) extension du bus à 32 bits / 32Mhz  PCI (Principal Component Interconnect) autorise des transferts à 132 Mo/s maximum.

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p42 Cartes Réseau (4) Les ordinateurs Macintosh :  les Macintosh disposent de deux types de slots : Nubus et PCI  Nubus : ancienne machine à base de  PCI : sur Macintosh 4 équipés du processeur Power PC de Motorola.

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p43 Cartes Réseau (4) Les ordinateurs UNIX :  Les constructeurs normalisent leurs cartes réseau au format PCI :  IBM RS/6000 (PCI)  Sun (SBUS)  HP  DEC (turbochannel, Future bus+, XMI)

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p44 Cartes Réseau (6)  Un serveur peut compter plusieurs cartes réseau, permet de multiplier la bande passante disponible  Redondance, accroissement de la fiabilité et apporter une solution à la tolérance de panne  Répartition de charge sur plusieurs segments de réseau

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p45 Cartes Réseau (7)  Installation d'une carte réseau :  paramétrage par jumpers  paramétrage par logiciel  Deux paramètres :  les adresses d'entrée/sortie ( I/O ) $200 à $380  Les requêtes d'interruption ( IRQ ) ( 0 à 15 )

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p46 Cartes Réseau (8)  Driver : 3 standards de driver  NDIS de Microsoft.  ODI de Novell ( Open Data Link Interface )  FTP Software Paquet Driver  NDIS et ODI deviennent de standards de fait.

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p47 Protocole ARP (1)  Address Resolution Protocol  Permet d'établir la correspondance entre une adresse logique (IP par exemple) et une adresse physique Ethernet et inversement

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p48 Protocole ARP (2)  Problème  une station connaît l'adresse IP d'une autre station sur le réseau  elle ne connaît pas l'adresse physique de l'adaptateur réseau et ne peut donc pas lui envoyer de trames  Solution  protocole ARP  donne l'adresse physique à partir de l'adresse IP

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p49 Protocole ARP (3)

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p50 Protocole ARP (5)  On cherche à établir une communication entre les stations A (émettrice) et B (destinataire).  A émet une trame de broadcasting (adresse physique destinataire = $FF-FF-FF-FF-FF-FF)  On cherche à obtenir l'adresse physique AdrEth(b) du destinataire à partir de son adresse IP AdrIP(b). $FF.FF.FF.FF.FF.FF.FFAdrEth (a) $0806Infos ARPFCS

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p51 Protocole ARP (6)  Toutes les stations du réseau reçoivent la trame ARP.  La station dont l’adresse IP est Adr. IP(b) retourne une trame ARP de réponse $0806Infos ARPFCS AdrEth (a) AdrEth (b)

© Sopra, 1999 / Date / Nom doc / p52 Protocole ARP (7)  Pour que ARP soit efficace, chaque ordinateur enregistre les associations adresse physique/adresse IP dans une mémoire cache  la mémoire cache permet d’éviter la plupart des diffusions de demande ARP