diaporamas carminé
J’ai compris.
J’ai compris qu’il vaut mieux se taire quand on veut se faire entendre
Que le silence est une cruche, remplie d’un nectar doux et tendre
Que la patience des braves ne se mesure pas toujours en terme de victoire
Que la vie d’ici bas n’est pas qu’un purgatoire
J’ai compris qu’il vaut mieux sourire en quittant ce monde
Que les larmes sont le signe de l’abandon et du doute
Que le sourire efface la crainte même dans la déroute
Qu’il n’y a rien de meilleur que l’harmonie et la paix profonde
J’ai compris que le temps ne passe pas comme l’on croit
Que c’est nous qui passons dans le temps qui nous tend la main
Que gagner le pain à la sueur de notre front n’est pas une croix
Que la vraie croix est la façon dont nous mangeons ce pain
J’ai compris que la beauté n’est qu’une pale copie de la bonté
Que la parure du cœur vaut mieux que les fards sur le visage
Que les belles paroles ne font pas toujours le sage
Que le sage et le fou sont les deux voix de son immense bonté
J’ai compris que finalement je n’ai rien compris
Que chaque jour révèle que nous n’avons rien appris
Que ma raison n’est pas nécessairement ton tort
Que la vérité n’est pas toujours du coté du plus fort
Mostafa J’ai compris… Texte d’Ibrahim Koné Omar Akram musique auteur ivoirien musique Omar Akram réalisation Mostafa
J’ai compris. J’ai compris qu’il vaut mieux se taire quand on veut se faire entendre Que le silence est une cruche, remplie d’un nectar doux et tendre Que la patience des braves ne se mesure pas toujours en terme de victoire Que la vie d’ici bas n’est pas qu’un purgatoire J’ai compris qu’il vaut mieux sourire en quittant ce monde Que les larmes sont le signe de l’abandon et du doute Que le sourire efface la crainte même dans la déroute Qu’il n’y a rien de meilleur que l’harmonie et la paix profonde J’ai compris que le temps ne passe pas comme l’on croit Que c’est nous qui passons dans le temps qui nous tend la main Que gagner le pain à la sueur de notre front n’est pas une croix Que la vraie croix est la façon dont nous mangeons ce pain J’ai compris que la beauté n’est qu’une pale copie de la bonté Que la parure du cœur vaut mieux que les fards sur le visage Que les belles paroles ne font pas toujours le sage Que le sage et le fou sont les deux voix de son immense bonté J’ai compris que finalement je n’ai rien compris Que chaque jour révèle que nous n’avons rien appris Que ma raison n’est pas nécessairement ton tort Que la vérité n’est pas toujours du coté du plus fort J’ai compris…