LE JARDINAGE BULGARE
Les parents et les grand-parents de Hazafy Krisztina, d’un professeur de notre école, ils se sont occupés de la culture bulgare dans les années Son grand-père avait travaillé à l’usine Kodak et quand la guerre a commencé, il a été enlevé au front. En marchant,ils ont décollé à cause d’un soldat blessé et ils sont rentrés. Il n’a plus pu travailler à l’usine. Puis il a commencé à travailler à l’usine de cuir de Vác. Les hommes y ont commencé à labourer une partie de terre. Ils y étaient les bulgares qui leur ont fait apprendre la base de la culture bulgare.
On fait des vitres en forme carré qui sont entourées par des bagnettes. C’étaient rabotés et les grains y ont mené. On a creusé des canaux au tour d’eux pour pouvoir les arroser. Les plantes ont été plantées au sol maigre et puis on les a lavées. Toute la famille a commencé de s’en occuper. D’abord ils ont planté du chou-rave, du chou et du chou blanc, puis ils ont commencé à planter des plantes plus sensibles comme le paprika et la tomate. Après quelques années ils ont aussi planté des chrysantheme. En automne on a planté des chou-fleur en revanche en hiver, les plantes plus sensibles.
D’abord ils ont cultivé les fruits et légumes à l’alimentation personelle et à la solde. Puis on a organisé les concours qui ont parlé de l’honneur et de la gloire, pas de l’argent.
La serre chaude est une cadre en construant les briques glaces, mais aujourd’hui c’est déjà une tente fleuret. La vitre est construite des bagnettes qui sont un peu dans la terre. On a reçu des vitres de 10x10 mètres qui sont couvertes par des fenêtres. Les plantes ont été sarclées et vaporiées, puis arrosées et couvertes. La glace tient le chaud dedans et les plantes peuvent agrandie plus vite. Ils avaient vitres comme ça qu’on a couvert au temps froid avec de la paille et de la canne pour les tenir chaud. Maintenant sa grand-mère s’occupe 1-2 vitres pour l’alimentation personelle.
Aujourd’hui le sol est plus pollué et les graines ne sont pas si bonnes comme avant. Ça a besoin beaucoup de temps et on ne pourrait pas s’occuper de la culture bulgare comme avant.