Les débuts de PEUGEOT Cité de l'Automobile 2015
1885 Armand Peugeot démarre la fabrication de bicyclettes à BEAULIEU. 1886 Armand Peugeot correspond avec le fils d’Amédée Bollet qui n’a que 18 ans. Les Bollet fabriquent de lourds véhicules à VAPEUR. Amédée a fabriqué une voiture biplace à VAPEUR pesant 750 kg seulement qui roule à 35 km/h. 1888 Armand Peugeot s’associe avec Léon Serpollet pour construire la première PEUGEOT : un tricycle à VAPEUR. Fin 1888 Armand Peugeot rencontre Émile Levassor et Gottlieb Daimler: PEUGEOT construira des « automobiles » à PÈTROLE qui ne nécessitent pas un « chauffeur » mécanicien 1889 Armand Peugeot présente son tricycle à VAPEUR à l’exposition Universelle (On inaugure la tour Eiffel). Daimler vient de construire la Stahlradwagen un quadricycle léger à Pétrole, prototype des Peugeot. 1891 PEUGEOT vend sa première voiture à un particulier. 1891 Une voiture PEUGEOT suit la course cycliste Paris-Brest-Paris.
1889: tricycle à vapeur Serpollet sur plan Peugeot construit à LYON. Il lui fallut 14 jours pour parcourir les 475 km du trajet Lyon-Paris Armand Peugeot abandonne la voiture à vapeur!
Construit depuis 1891, ce modèle, un quadricycle à 4 places _type 3_ est encore fabriqué en 1894 et disparaît après une « série » de 64 exemplaires, série exceptionnelle pour l’époque! Le type 2 à deux places n’avait été construit qu’en 4 exemplaires et on le dirigeait par une simple barre coudée. Le type 3 dispose de 4 places en vis-à-vis et sa direction est assuré par une commande verticale avec secteur et chaîne. Son poids est de 500kg au lieu de 400 pour le type 2 et le moteur est identique, c’est un 4 temps de 565 cm3. Cette automobile suivra sans encombres en 1891 la course cycliste organisée par le « Petit Journal » Valentigney-Paris-Brest et retour soit 2100 km, une distance énorme pour l’époque. Le lancement commercial des PEUGEOT est un succès! Comme l’Alsace est allemande PEUGEOT doit fournir ses modèles à l’usine DAIMLER de Canstatt qui les redistribue alors en Alsace toute proche! 1891
La société « PEUGEOT FRERES » qui deviendra en 1892 « Les fils de PEUGEOT Frères » construit à Valentigney des scies, des ressorts, des baleines de corset, des moulins à café, à poivre, des outils de toutes sortes et…des véhicules Panhard et Levassor sont les seuls distributeurs en France du moteur DAIMLER l’un des meilleurs de l’époque. Les Peugeot choisissent le moteur Daimler horizontal à deux cylindres en V dès 1889. 257 quadricycles à deux ou 4 places, vis à vis, phaëtons, victorias, breaks et même omnibus ou véhicules de livraison seront construits entre 1891 et 1896 Ce modèle exposé est un Victoria type 8 construit vers 1893-1894, même châssis que le type 7 sauf le diamètre des roues 860mm à l’avant et 1050 à l’arrière au lieu de 900 et 1000 Moteur Daimler 2 cylindres en V de 1282 cm3 (3CV). Alésage, course: 75x145 mm, le moteur est à l’arrière à cause des odeurs. Vitesse: 18 km/h Longueur 275 cm Largeur 150 cm Voie AV-AR : 129-131 cm 1893
1893
Au concours de voitures sans chevaux organisée par le « Petit Journal » le 22 juillet 1894 sur le trajet Paris-Rouen, 21 voitures prennent le départ à Neuilly-sur-Seine; 17 parviendront au but et 15 seront classées, parmi lesquelles 6 Peugeot. Il ne s’agit pas tant d’une course mais d’un concours où la sécurité et la maniabilité ont autant d’importance que les performances. Ainsi c’est une de Dion Bouton qui termine en tête, mais le jury attribue le premier prix ex-aequo à une Peugeot plus légère et à une Panhard. D’autres Peugeot se classent aux premières places et la marque de Valentigney est propulsée au premier plan de l’actualité. L’une de celle-ci la N°65 pilotée par Lemaître, peut être considérée comme la première voiture « hors-série » de la marque car elle comporte des roues à rayons en bois cerclées de fer à la place des roues fils à bandages pleins livrées à la clientèle. 22 juillet 1894
Même époque avec un dais Ce n’est pas une Peugeot
1897 Le type 15 de PEUGEOT est un phaéton qui sera très populaire et sortira à plusieurs centaines d’exemplaires Ci-contre Monsieur Rolls _le futur constructeur_ au « volant » il vient d’ acheter un des premiers type 15 exportés en Angleterre… Photos en noir et blanc: « Toutes les Peugeot » de René BELLU et « Peugeot d’hier et d’avant hier » de Pierre DUMONT
Armand Peugeot a vu grand pour sa nouvelle usine d’Audincourt : 50000 m2 dont 4000 m2 couverts, c’est la plus grande du monde. La salle des machines abrite plus de 200 tours ou machines-outils diverses, de fait la cadence atteint 156 unités en 1898! Soit plus du double qu’en 1895. Très vite l’usine d’Audincourt s’avère insuffisante et Armand construit à Fives-Lille. Au premier Salon de l’Automobile qui se tient aux Tuileries du 15 juin au 3 juillet 1898 Peugeot tient un stand des plus entourés. La gamme va des types 14 à 20 auxquels s’ajoutent les types 21 à 25. Le type 17 ci-contre sorti en 1897 remplace la 11 à moteur Daimler; en principe pour deux passagers elle offre une troisième place dos à la route. Elle sera fabriquée à 182 exemplaires de 1897 à 1902. Elle ne pèse que 500 kg, sa motorisation va de 5 à 8 CV avec un moteur Peugeot de 2 cylindres horizontaux.. Transmission par chaîne Longueur: 245 cm; largeur: 150 cm. Empattement de 150 cm Vitesse de 28 à 38 km/h selon cylindrée. 1898
1898
Type 26 La nouvelle voiturette type 26 sera fabriquée à 419 exemplaires de 1899 à 1902. La Peugeot type 26 est livrable sans dais ou avec dais, sa banquette avant est face au conducteur mais une variante la propose face à la route. Elle est produite à Audincourt. Moteur Peugeot 2 cylindres horizontaux de 3, 4 ou 5 CV. Transmission par chaîne Longueur 247cm, largeur 129cm Empattement: 146cm Depuis 1897 les Peugeot sont livrables en option avec des pneus Michelin qui remplacent peu à peu les bandages pleins. Les roues style vélo sont remplacées par des roues en bois plus solides Vitesse 25 à 30 km/h. En 1899 le modèle phare est un phaéton type 15 Peugeot continue de s’illustrer dans de nombreuses épreuves de ville à ville et en mars 1899 une Peugeot allégée remporte la course de côte de la TURBIE pilotée par Lemaître avec Armand à ses cotés. 1899
1903 La gamme ne contient plus que 6 types, 4 ont des calandres plates et carrées et 2 du type ci-contre genre de Dion-Bouton que Peugeot abandonnera vite mais que Renault adaptera à tous ses modèles. L’usine de Beaulieu qui produit depuis 1899 des motocyclettes sort en 1903 sa première vraie moto, une 2 CV avec allumage par accus et bougie. La Peugeot type 56 _nouveauté 1903_ ci-contre ne sera produit qu’en 16 exemplaires Son moteur est celui de la 48 et fait 833 cm3, c’est un monocylindre carré de 102 mm d’alésage qui affiche 6.5 CV La transmission se fait par cardans Longueur 280 cm, largeur 152 cm. Empattement: 175 cm Vitesse: 40 km/h
1903
A l’occasion du 7 ° salon de Paris qui se déroule au Grand-Palais du 9 au 25 décembre 1904 Armand Peugeot lance sa première Bébé qui connaîtra un succès immédiat. Vendue 3950 F alors que la moins chère des Renault la 8 CV coûte 5400F et qu’il faut 6800 F pour acquérir la 7 CV de Panhard. La haut de gamme la 30 CV de Peugeot se vend 21500F et la 60 CV Panhard 45000, alors la 6 CV séduit une nouvelle clientèle… Au Grand-Palais se tiennent deux stands Peugeot: les « Automobiles Peugeot » et les « Fils de Peugeot Frères » qui eux se consacrent exclusivement aux cycles. La 6CV Peugeot construite à Audincourt sortira à 400 unités en 1905. Moteur monocylindre type AG de 652 cm3 dit carré car alésage et course sont identiques à 94mm Transmission à cardan Direction à crémaillère (nouveau) Longueur de 270 cm, largeur 140 cm Vitesse de 41 à 44 km/h 1905
1905
1905 Les premières « LION PEUGEOT » Produites par les « Fils de Peugeot Frères » qui ne fabriquaient que des cycles et motos. Ils adoptent pour des quadricycles des châssis automobiles comme celui-ci. Moteur monocylindre de 510 cm3 affichant 2.5 CV Vitesse 50km/h 1905
Armand se sépare de son frère Eugène et de ses neveux, il abandonne la Bébé et se sont les « Fils de Peugeot frères » qui se lancent dans les voiturettes en lançant la « Lion Peugeot » reprenant ainsi l’emblème de leurs fabrications d’outillages et cycles. Armand poursuit avec des modèles plus gros de 10 à 50 CV. Cette 78A est une 10 CV carrossée en double phaëton. Le type 78 sera produit à l’usine d’Audincourt en 261 exemplaires. Moteur 2 cylindres types CI de 1817 cm3, alésages 105x105 mm. Transmission par chaînes Longueur 335 à 38 cm, largeur 150 cm Empattement: 230/265 cm Vitesse 50 à 68 km/h selon le rapport de couple qui différencie la 78A de la B 1906
1906
1906
Les « Fils de Peugeot Frères » produisent deux modèles de « LION PEUGEOT » pour les différencier des automobiles d’Armand. Au salon 1906 les deux stands Peugeot sont décorés de façon semblable, ils ne sont pas concurrents car chacun évolue dans sa catégorie. Le type VA en voiturette 2 places ou tonneau phaëton de 4 places sortira en 1000 exemplaires de l’usine de Beaulieu entre 1906 et 1908. C’est un monocylindre de 785 cm3 qui roule de 27 à 42 km/h selon le rapport de couple. Et le type VC ci-contre variante de la VA avec un moteur de 1045 cm3, toujours monocylindre carré de 110mm d’alésage. Transmission par chaînes Longueur: 295 cm, largeur: 140 cm Vitesse 34 à 45 km/h Les prix des voiturettes « Lions » démarrent à 4800 F et les prix des voitures d’Armand vont de 7900 F pour la 10 CV jusqu’à 26000 F pour la 40 CV. 1907
1907 "LION"
1910 Les « Automobiles Peugeot » fusionnent avec les « Fils de Peugeot Frères » et deviennent la « Société Anonyme des Automobiles et Cycles Peugeot » sous la direction de Robert Peugeot. L’entreprise produit à Audincourt, Lille et Beaulieu tandis que Valentigney reçoit les laminoirs de Beaulieu. En 1910 Peugeot sort 2352 unités, 3190 en 1911 et 9330 en 1913! Peugeot installe à Sochaux une usine moderne qui démarrera sa production en 1912 en embauchant 400 ouvriers. L’usine de Beaulieu (500 ouvriers) continue de produire des voiturettes « Lion » jusqu’en 1915 en adoptant la transmission à cardans et la carrosserie torpédo. Les usines d’Audincourt (875 ouvriers) et de Lille (650 ouvriers) produisent la 10 CV type 127, la 12 CV type 138, la 16 CV type 139, la 16 CV sport type 136, la 22 CV type 135 et la 35 CV type 141. Le vélo Peugeot se vend à 70000 exemplaires par an…
Avec la réorganisation des usines Peugeot dispose d’importants moyens industriels. Les cadences triplent de 1911 à 1913 En 1913 4 modèles inédits voient le jour: les 144,145,146 et 148. La 147 n’est pas prête. La grande affaire Peugeot de 1913 c’est la voiturette Bébé, (qui n’a rien à voir avec celle de 1905!) une minuscule 6 CV qui va révolutionner le marché! Son prix est très bas et sa conception moderne étonne les visiteurs du salon de décembre 1912 où elle apparaît pour la première fois! Elle pèse 350 kg, son moteur est un monobloc de 4 cylindres à soupapes latérales, admission d’un coté et échappement de l’autre. Ce moteur comme le reste de la voiture a été crée à Molsheim par Ettore Bugatti! Ettore a réalisé le prototype dès 1911 et après s’être adressé en vain à des constructeurs allemands, Bugatti se tourne vers Peugeot qui la construira à Beaulieu en 3095 exemplaires de 1913 à 1916. Cylindrée: 855 cm3, alésage/course: 55x90 mm Transmission par cardan, 2 vitesses Longueur: 262 cm , largeur: 130 cm Vitesse: 60 km/h Pris salon 1912: 4000F entièrement équipée avec capote, pare-brise, éclairage et accessoires 1911/1913
Avant de s’établir à Molsheim en 1910 et d’y construire des voitures sous sa propre marque, Ettore Bugatti avait conçu un certain nombre de véhicules pour des firmes telles que de Dietrich, Mathis et Deutz. C’est plutôt dans le but d’en vendre la licence qu’il étudia une voiturette minuscule qui allait devenir la « Bébé Peugeot » , deuxième du nom, après la « Bébé » de 1905. Le prototype de cette nouvelle « Bébé » fut réalisé à Molsheim en 1911 et d’abord présenté au constructeur allemand Wanderer. Si la distribution par deux arbres à cames n’a pas été reprise sur les Bugatti en revanche la suspension arrière par demi-cantilever de la Bébé allait équiper toutes les Bugatti .. Le moteur de la Bébé est un quatre cylindre de 55x90 soit 855 cm3 qui, à 2000 t/mn, développe 10 CV réels. L’embrayage est à cône, il n’y a pas de boîte de vitesses mais deux arbres de transmission concentriques en sortie d’embrayage; le couple conique est à double couronne et donc deux démultiplications et, par coulissement de ces arbres, c’est le pignon d’attaque de l’un ou de l’autre qui se trouve en prise avec la couronne correspondante donnant ainsi le choix entre deux vitesses seulement. Plus tard Peugeot monta une boîte conventionnelle. La carrosserie est un torpédo deux places ‘amusant’ , cependant quelques sportives et des conduites intérieures furent réalisées par Gauthier, carrossier à Mandeure, dont Peugeot racheta plus tard les installations. En 1913 la « Bébé » arriva deuxième dans la course des Cyclecars sur le circuit de la Sarthe.
1913
Les 146 , 146S et la variante coloniale 146A seront toutes fabriquées à Lille de 1913 à 1914 en 428 exemplaires. Moteur 4 cylindres type KC de 4536 cm3 Alésage 95x160 mm, puissance 18 CV Transmission à cardan Longueur: 470 cm, largeur: 173 cm Empattement: 348 cm Vitesse: 75 km/h Prix au salon 1912 en châssis nu: 13000F 1913
1913
Peugeot, après s’être limité de 1907 à 1911 à la catégorie des voitures modestes, voiturettes et légères, aborde la grande compétition en 1912. Au grand prix de l’A.C.F. à Dieppe, une énorme 7.6 litres remporte la victoire absolue avec Georges Boillot au volant. En 1913, Jules Goux bat des records à Brooklands et gagne le grand prix d’Amérique à Indianapolis, tandis que Georges Boillot s’adjuge le grand prix de l’ A.C.F. à Amiens. Quelques semaines avant la guerre, Peugeot se replace à Indianapolis et en mai au grand prix de l’A.C.F. Dès le début de la guerre l’usine de Lille est détruite, Peugeot y fabriquait des 18 et 40 CV . Pendant deux ans la production à Audincourt continue à rythme réduit afin de laisser la priorité à l’effort de guerre. Armand meurt à 66 ans en 1915. Peugeot rachète pour contribuer à l’effort de guerre l’usine du carrossier Gauthier à Mandeure, ainsi que des usines à Sochaux, Issy-les-Moulineaux, Levallois, La Garenne…aux fins de fournir à l’armée 3000 voitures, 6000 camions, 60000 bicyclettes et 1000 motocyclettes, des automitrailleuses, des ambulances et autres véhicules militaires. Peugeot se lance dans la fabrication des moteurs de chars et d’avions par milliers (à Sochaux) et des obus par millions… En 1919 chez Peugeot comme ailleurs tout doit être réorganisé, de nouveau concurrents tels que Citroën bouleversent les méthodes et il convient de s’adapter. Peugeot reconstruit l’usine de Lille et surtout celle de Sochaux qui a beaucoup souffert Peugeot redémarre en 1919 moins rapidement que Renault et Citroën avec une 10 CV : la 159 et prépare un véhicule plus moderne: la 163 qui sortira fin 1919. En 1920 Peugeot lance la « Quadrillette » voiturette à mis chemin entre la moto et l’auto: 300 kg, 2 personnes en tandem car pour alléger on a supprimé entre autres le différentiel et la voie arrière n’est que de 75 cm. La même année Peugeot sort une 6 cylindres de 25 CV sans soupapes: la 156 En 1921 Peugeot a du succès avec sa quadrillette et sa 163, la 156 a trop de concurrents: Delage, Hispano-Suiza, Lorraine-Dietrich, Panhard, Voisin et même Renault avec sa 40 CV En 1912 55000 voitures sont fabriquées en France dont 6327 Peugeot, 4743 Renault et … 9200 Citroën
La QUADRILLETTE Pour échapper à la taxation des véhicules de plus de 350 kg Peugeot sort la Quadrillete. Elle sera produite à Beaulieu de 1920 à 1922 en 3500 unités. Moteur borgne de 4 cylindres type NE de 667 cm3 Alésage 50x85 mm Transmission classique, boîte-pont de 3 vitesses Longueur 295 cm, largeur 117 cm Empattement 230 cm Vitesse: 60 km/h 1920-1922
1920-1922
En 1923 la quadrillette est la voiture à deux places la plus économique du monde. Elle consomme moins de 5 litres aux 100 km et n’éxige que 100 F de taxes par an. Livrable en plusieurs versions les prix s’échelonnent de 7700 F à 11300 F. Citroën pour la concurencer a sorti sa 5 CV qui est vendue 8900 F à 10700 F
La nouvelle quadrillette type 172 dérive de la quadrillette surtout par sa carrosserie: ailes plus enveloppantes, capot plus haut, calandre moins carrée, phares élargis… Elle sera produite en différente versions à Beaulieu de 1923 à 1924 en 8705 exemplaires Moteur 4 cylindres type NE2 de 667 cm3 Alésage 50x85mm Transmission classique, boîte-pont 3 vitesses Longueur: 315 cm, largeur: 120 cm Empattement: 227 cm Vitesse 45 km/h Le modèle sera carrossé en 1924 pour une deux places sur banquette et fera son apparition au tour de France Automobile de 1924, se sera la 172 BC. Le moteur NE3 de 720 cm3 a du mal à déplacer les 500kg et sa vitesse est alors de 40 km/h car les freins avant ont disparu, mais elle reste économique et robuste. Le cabriolet équipé d’un démarreur électrique sera prisé par les femmes dont Mistinguette… De 1924 à 1925 Sochaux produira 7084 172 unités tous modèles confondus. 1923
Fin
A plus… Photos: Bernadette Plas & Alain Deliquet Visite du musée janvier 2015 Les photos noir et blanc et les renseignements sont extraits des livres: « Toutes les Peugeot » de René Bellu « Peugeot d’hier et d’avant hier » de Pierre Dumont