Jean Pierre Durafour avril 2011 Deux siècles de promenades à Jean Pierre Durafour avril 2011

« Cliquer pour poursuivre la lecture automatiquement » Le diaporama (2 siècles de promenades à Saint-Claude) comporte plus de 1100 vues. Sa taille est de (260 000 Ko). Pour ces raisons et pour l’exporter par Internet à mes amis « Sanclaudiens de cœur », j’ai du le morceler en « 14 étapes » par thèmes dont voici le premier de la série. Les renseignements historiques sont issus : - Du site www.actuacity.com - De l’étude faite par Robert LE PENNEC avec la collaboration de Véronique ROSSI, des archives municipales de Saint-Claude. - De l’ouvrage de Véronique ROSSI « Saint-Claude, au fil des rues et des ponts ». Ces 14 diaporamas musicaux sont à avancement automatique, cependant, à l’occasion de la présentation de certaines documents un peu longs……à lire (donc manuels), il est nécessaire de « cliquer » (quand vous le souhaitez) pour reprendre la lecture automatique. La consigne ci-après vous est alors proposée : « Cliquer pour poursuivre la lecture automatiquement »

UN PEU D’HISTOIRE (Wikipédia)) La cité de Saint-Claude se développe initialement autour d'un monastère fondé au début du Ve siècle par deux frères moines et abbés, Romain et Lupicin. Elle est tout d'abord appelée Condat (du Celte Condate « confluent »), puis Saint-Oyand-de-Joux, du nom de l’Abbé Oyant qui accroît le rayonnement du monastère à partir de la fin du Ve siècle. En 639, Saint « Claude » devint moine dans l'abbaye qui portait alors le nom de Saint-Oyand. Saint « Claude » est mort le 6 juin 699. Lieu de pèlerinage, la ville profite vers la fin du XIIe siècle (1160), de la découverte du corps intact de l‘abbé « Claude » (décédé quatre cent soixante ans auparavant). La ville prend alors le nom de Saint-Oyand-Saint-Claude. Au XVe siècle, Saint « Claude » étant vénéré par le roi Louis XI, la ville garde le seul nom de Saint-Claude. « Cliquer pour poursuivre automatiquement la lecture  »

Je vous propose de cheminer dans notre belle ville, quartier par quartier, de la fin du 19ème siècle à nos jours en contemplant de multiples cartes anciennes actualisées par des clichés récents et des documents « Internet ».

1ère étape Etables Mouton Les étapes Le Marais (Durée 11 minutes) Etables Mouton Les étapes Le Marais « Pont suspendu » (Grand pont)

C’est par la voie ferrée que nous entrerons dans la Capitale du Haut-Jura en prenant le « TRAM » appelé à l’époque « LE TORTILLARD ». Il reliait la Préfecture de Lons le Saunier à Saint Claude.

"Etables"

Au début du 20ème siècle, le barrage n’est pas construit

Le barrage d'Etables

barrage furent réalisés à l’aide de pelles, pioches, Les gros travaux du barrage furent réalisés à l’aide de pelles, pioches, brouettes et wagonnets à pousser manuellement, seuls moyens disponibles à l’époque. Il fallait surtout beaucoup d’huile de coude, ce qui explique la durée des travaux (6 ans).

Initié par le Maire Henri Ponard, le barrage fut inauguré par son successeur Jules Mermet en 1930. Le Plan d’Acier est encore vide.

Le « Plan d’Acier » .

Saint Blaise, la diamanterie et l’abattoir.

Mouton

Le « Mouton » d’aujourd’hui et la cité Chabot

Les quartiers sud s’enroulent autour du Mont Chabot.

L’avenue de la Libération et la rue Carnot

La gare principale du TRAM » ……..

Les Etapes

Le TRAM passait devant l’usine de pipes « Delacour »

….qui est devenue le restaurant « Au fil du Temps ».

La ligne s’arrêtait juste avant le pont suspendu.

Le « TORTILLARD » cessa de siffler en 1948

La Combe du Marais

« Le Marais » doit son nom à ce marécage.

Le Grand Pont ancien pont suspendu

le pont suspendu en 1905

…. il faisait 131 mètres de long

Les portiques culminaient à 17 mètres de hauteur

Le pont suspendu construit en 1844 fut endommagé le 19 août 1890 par un ouragan d’une rare violence.

Malgré les réparations effectuées après l’ouragan de 1890 et conscient que le pont suspendu ne pouvait suivre l’évolution du trafic et assumer sa fonction, la décision fut prise par la municipalité de remplacer ce magnifique ouvrage âgé d’un siècle par un pont en béton armé. Il faut rappeler que sa charge était limitée à 6 tonnes et que tous mouvements entraînant de possibles entrées en résonances étaient interdits (pas cadencés pour une troupe, trot pour les chevaux, …..etc.).

L’ouvrage nécessita la construction d’un gigantesque échafaudage de bois haut de 50 mètres ……

Le pont suspendu devint « Le grand pont. Il fut inauguré en 1940

Fin de la 1ère étape