C’était au début de l’année 1915, le 5 janvier plus précisément. La guerre durait depuis cinq mois mais toutes les forces humaines étaient déjà épuisées.

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La traduction formelle
Transcription de la présentation:

C’était au début de l’année 1915, le 5 janvier plus précisément. La guerre durait depuis cinq mois mais toutes les forces humaines étaient déjà épuisées. L’espoir semblait envolé dans l’état major, surtout depuis que Foch s’était aperçu que des informations tenues secrètes avaient été révélées au Général allemand Obermayer, on ne savait par quels moyens.

Le général Foch contacta alors Nicky Hard pour résoudre ce mystère des informations volées. Une semaine après, Foch alla voir Nicky la célèbre inspectrice secrète. Quand Foch arriva dans le bureau, il fut stupéfait par sa beauté. Elle semblait très gentille, discrète et réservée. Avec sa chevelure noir ébène, épaisse et vraiment très soyeuse, il pouvait croire qu’elle se teintait les cheveux tous les jours. Elle possédait un très joli nez gracieux et ravissant. Ses yeux légèrement en amandes étaient d’un bleu profond, ils faisaient tout son charme. Elle avait également des lèvres un peu pulpeuses mais au dessin délicat et fragile. Son regard avait quelque chose de plus que toutes les autres femmes, il était envoûtant et charmeur.

Le Général Foch était lui tout au contraire hideux. Son nez était crochu. Il était vêtu d’un uniforme vert kaki, orné de plusieurs médailles. Il raconta ce qui s’était passé : «Bien, je viens vous voir à cause d’un sujet très compromettant pour la guerre. Qu’est-ce donc alors ? demanda-t-elle. Eh bien, un matin de la semaine dernière, je me suis aperçu que quelques papiers concernant nos plans pour la guerre avaient été volés. Et vous comprenez bien que cela nous embête. Je vois, je vois, continuez.

Je m’étais levé à 4h30 à cause d’une insomnie. J’étais allé prendre un café, ensuite je me suis rendu à mon bureau pour fignoler quelques plans. A 6h, je suis allé réveiller les troupes, puis je suis parti voir Gildas Dupont, mon meilleur aide de camp. Nous avons un peu discuté. Soudain, j’ai vu Judicaël Bradford, l’enfant d’un soldat mort depuis un certain temps, recueilli par Gildas. Et comme souvent, je l’ai fait entrer dans mon bureau. Il a dessiné pendant que je triais les dossiers. Soudain j’ai entendu une explosion très bruyante. Je me suis précipité vers l’extérieur et j’ai laissé le petit Judicaël dans mon bureau. J’ai vu un de mes soldats à terre couvert de sang et de cendres. J’ai couru vers lui, mais il était trop tard. Quelques minutes plus tard, je suis revenu dans mon bureau. Il était saccagé ! Judicaël n’était plus là, enfin c’est ce que je pensais car j’ai entendu des bruits dans l’armoire. Je suis allé voir ce qu’il y avait, c’était le petit Judicaël, ficelé sur une chaise et avec la bouche scotchée. Je l’ai libéré puis il m’a dit que c’était un soldat allemand qui l’avait ficelé. Ensuite, j’ai regardé s’il ne m’avait rien volé. Je me suis aperçu que je n’avais plus le plan d’infiltration dans le territoire allemand. J’ai convoqué toutes mes troupes en urgence.

Bien, je commence à réfléchir à une éventuelle piste. Avez-vous un échantillon de la corde, s’il vous plaît ? Oui, je l’ai amené exprès pour vous au cas où vous en auriez eu besoin. Mais pourquoi le voulez-vous ? Histoire de trouver quelque chose d’intéressant. Alors voyons voir…Ah oui ! il me semblait bien qu’il y aurait quelque chose de différent sur les deux cordes. Regardez la corde française que vous avez juste ici et regardez maintenant celle que vous avez trouvée dans votre bureau. Voyez-vous une différence ? Euh…non, je n’en vois pas. Regardez mon cher Général. Une corde française est tressée avec trois fils et une corde allemande avec quatre fils et là, elles sont identiques ! Donc, c’est un Français qui a ligoté Judicaël. Comment savez-vous que les cordes ne sont pas pareilles dans les deux pays ? J’ai fait des stages dans mon école d’inspecteurs sur des détails comme cela. Donc si j’en crois votre observation l’auteur du vol des documents secrets serait une personne de mon entourage et qui serait française. A en croire les cordes oui, pourrais-je venir demain à la caserne ? Oui, cela nous ferait vraiment plaisir car nous ne savons plus quoi faire. Serait-ce possible avant le lever des troupes ? Oui bien sûr, soyez là alors avant 6h.

Le lendemain matin de très bonne heure, Nicky se rendit à la caserne. Il était un peu plus de 6h et déjà toutes les troupes étaient levées. Un peu plus tard dans la matinée, les soldats étaient à leur poste. Elle rejoignit alors Foch dans son bureau. Elle vit un petit garçon qui jouait dans les couloirs de la caserne avec un ballon et mangeait une sucette. Elle arriva dans son bureau. Il était assis, l’air pensif. Il la regarda, l’air désolé et lui dit : D’autres papiers ont été volés. Non ! Quels étaient ces papiers ? Des papiers sur des plans d’attaque. Ah…Puis-je inspecter votre bureau ? Oui, si cela peut vous être utile. Nicky fouilla alors le bureau avec grande précision. Fermez-vous à clé la nuit ? Oui, bien sûr !

Elle tapa le parquet de ses talons aiguilles. Rien ne sonnait creux. Puis elle tira sur tous les livres de la bibliothèque. La pièce était en forme de rectangle, le bureau au milieu de la pièce mais plus vers le fonds de la pièce, la bibliothèque derrière le bureau. Il y avait peu de meubles mis à part une sorte de divan et une petite table basse devant. Sous le divan Nicky, remarqua quelque chose qui traînait sur le sol. Elle le plaça discrètement dans sa poche. Un énorme tapis couvrait la quasi-totalité de la pièce. Qui a accès à cette pièce ? Gildas, moi et je crois que c’est tout. Avez-vous confiance en ce Gildas ? Oui, bien sûr, chaque fois qu’il y a eu vol, il était à mes côtés. D’accord, m’avez-vous tout dit ? Euh…oui, enfin je crois. Eh attendez ! Si, je me rappelle quelque chose ! C’était un soir, un soldat mort il n’y a pas longtemps m’a dit qu’il avait vu deux hommes dehors, l’un ressemblant fortement à Gildas et un autre de petite taille, ils s’échangeaient des papiers. Merci, je pense que cela m’aidera un peu. Soudain le petit Judicaël entra brutalement dans le bureau et cria : Je veux faire des dessins dans ton bureau ! Dis donc quand on entre on frappe et on est poli. Désolé Général, s’excusa le jeune garçon Bon faisons les présentations quand même, voici Judicaël le fils d’un soldat mort il y a environ un an. C’est Gildas Dupont qui l’a recueilli. Bonjour, moi c’est Nicky, Nicky Hard. Bonjour madame, s’exclama-t-il.

J’en étais sûre ! Comment l’avez-vous su ? Regardez le bâton de sucette qu’il a dans sa poche, il est identique à celui que j’ai trouvé hier sous le divan. Ah, je vois, dit-il, mon garçon pourquoi voulais-tu voler ces papiers ? Po…pour rien. Comment as tu eu la clé ? demanda Nicky. Je l’ai volée. Je ne te crois pas, intervint le commissaire Potiron Pourtant c’est la vérité ! cria Judicaël. Tu es sûr ? Si je le dis je vais me faire punir. Mais non, ne t’inquiète pas nous n’allons rien dire. C’e…c’est Gildas. Gildas ? Celui auquel je pense ? Oui, Gildas Dupont. Maintenant, nous savons pourquoi tu as les clés, mais on aimerait savoir pourquoi Gildas voulait ces papiers. Parce qu’il a des origines allemandes et qu’il a de la famille là-bas. Nous allons voir avec lui, pour l’instant, tu ne lui dis rien de ce qui s’est passé. Oui, promis.

Nicky remarqua quelque chose dans la poche de Judicaël, c’était un petit bout de bois blanc d’environ cinq centimètres. Il lui semblait l’avoir déjà vu. Elle regarda dans sa poche et elle en sortit un petit bout de bois blanc identique à celui du garçon. J’aurais bien une idée de l’identité du voleur, murmura Nicky. Ah bon, qui-est-ce ? Vous verrez, je reviendrai demain. Au revoir alors. Elle revint à son bureau et réfléchit à une stratégie. Elle contacta alors Gilles Potiron, le commissaire car elle en avait besoin pour exécuter son plan. Ils établirent le plan. Ils décidèrent ensemble d’y aller le soir même pour éviter d’autres vols. Plus tard dans la nuit ils allèrent à la caserne et ils croisèrent Foch. Ils lui expliquèrent ce qu’ils avaient en tête. Alors Foch ouvrit son bureau et laissa faire Nicky et Gilles. Ils se répartirent dans le bureau, Nicky était vers le bureau et Gilles derrière la porte. Ils attendirent calmement l’arrivée du coupable. Vers 11 heures du soir, une personne assez petite en taille entra dans la pièce. Elle se dirigea vers le bureau et Gilles appuya brusquement sur l’interrupteur. Surpris, ils virent Judicaël en train de voler les documents.

Le lendemain, Nicky raconta tout à Foch. Vraiment ?! Je ne pensais pas que cela pouvait être lui. Pourtant c’est bien lui, pouvez-vous le faire venir ici ? Oui, bien sûr. Gildas arriva dans le bureau et demanda ce qu’on avait après lui. Nous savons tout Gildas, dit Foch l’air désolé. Il essaya de s’enfuir, mais Potiron était là pour le retenir. Comment le savez-vous ?! Judicaël vous a trahi sans le vouloir. Ce garnement ! Je pensais bien qu’il allait me causer des ennuis ! Je sais également pourquoi vous l’avez fait. Oui, j’aime ma famille et je ne veux pas la perdre à cause d’une guerre. Ce n’est pas une solution de voler. Je le sais… » Quelques jours plus tard, ils envoyèrent Gildas en prison pour vols et Judicaël dut nettoyer la caserne pendant un mois. Nicky repartit. Elle avait encore une fois résolu une affaire brillamment.