La chronique du paparazzo 4 au 10 mai 2014 La chronique du paparazzo
Images d’Occitanie Première partie
1. Notre séjour en Languedoc Saint-Pierre La Mer (Aude)
Dimanche 4 mai : Menton - Narbonne Cathédrale de Maguelone Ville de Narbonne Abbaye de Fontfroide Village de Lagrasse Etangs de Gruissan Lundi 5 mai : Le Narbonnais Mardi 6 mai : Les Corbières
Mercredi 7 mai : la côte vermeille Collioure Port-Vendres Banyuls
Etangs de Saint-Pierre Gouffre de l’œil doux Canal du Midi Etangs de Peyriac Etangs de Saint-Pierre Jeudi 8 mai Vendredi 9 mai Carrières de lumières des Baux Samedi 10 mai : Narbonne - Menton
à quelques minutes de la plage, A Saint-Pierre La Mer, près de Narbonne-Plage, le Vacanciel « La Méridienne » nous héberge, à quelques minutes de la plage,
surtout fréquentée par le vent.
Stéphane nous transporte en sécurité dans son bus Collucini, et l’excellente Laura nous guide dans nos pérégrinations. Gruissan (Aude)
On marche un peu tous les jours, sans compter les 3 randos nutritives quotidiennes, véritable supplice pour ceux qui sont à 30 pas du buffet et arrivent les derniers pour les desserts.
Palavas-les-flots (Hérault) 2. Entre terre et mer Palavas-les-flots (Hérault)
A l’aller, nous avons évité la grande motte et contourné Palavas les flots, repérable par son phare transformé en restaurant,
pour un premier contact avec le monde lagunaire,
celui qui encercle l’ancienne cathédrale de Maguelone.
Mais c’est à Gruissan (Aude), que l’on peut le mieux admirer ce paysage typiquement languedocien, du haut de la tour Barberousse. Ce pittoresque village est perché sur un gros bloc de calcaire émergeant des marais, d’où son organisation en « circulade », comme à Dolceacqua.
Ici, vent et soleil accentuent l’évaporation, d’où la présence de marais salants, dont celui encore en activité sur l’ancienne île Saint-Martin,
accompagné de son petit écomusée.
Pourtant, c’est à Peyriac que les randonneurs amoureux de la nature ont profité au maximum de ce riche environnement.
L’étang du Doul a la particularité d’être deux fois plus salé que la mer (71 g/l), et il est aménagé pour une promenade fort agréable,
propice à la photographie de la faune lagunaire.
2 bis. Drôles d’oiseaux dans la lagune (supplément gratuit) Ce document ornithologique a été généreusement rédigé par le paparazzo pour combattre la désastreuse ignorance du lecteur.
1. Le flamant rose commun est suffisamment connu pour qu’on n’en parle pas, même s’il est encore blanc.
2. Le flamant sombre (sous-espèce de Gruissan), prendra la teinte rose lorsqu’il aura mangé assez de crevettes, lesquelles fixent le carotène des algues.
3. Le flamant flamand (sous-espèce de Liège) garde sa teinte d’origine même s’il se baigne dans la Meuse, suite à l’absence de carotène dans les moules-frites.
4. Enfin, le flamant-canari (sous-espèce mentonnaise) se repère facilement à l’autopsie par une très forte concentration d’acide citrique qui le rend impropre à la consommation.
Réalisation