La Seconde Guerre mondiale 1939-1945 Chapitre 8 La Seconde Guerre mondiale 1939-1945

L’importance de l’emplacement de Terre-Neuve En 1939, les habitants de Terre-Neuve et du Labrador sortaient d’une décennie de grandes difficultés économiques

L’importance de l’emplacement de Terre-Neuve Quand la Seconde Guerre mondiale a éclaté, l’importance stratégique de Terre-Neuve dans l’Atlantique Nord a entraîné une activité militaire importante.

L’importance de l’emplacement de Terre-Neuve La construction de bases militaires a créé beacoup d’emplois du jour au lendemain et la province est devenue prospère.

L’importance de l’emplacement de Terre-Neuve Un autre impact positif: La guerre a créé une demande plus importante pour les resources de T-N Le poisson Le bois de construction Le minerai de fer

L’importance de l’emplacement de Terre-Neuve Plus important encore! L’emplacement de T-N était vital pour l’effort de guerre grâce aux routes aériennes (avions) et maritimes (bateaux) vers l’Europe.

L’importance de l’emplacement de Terre-Neuve St. John’s est devenue un port important pour le départ de bateaux de marchandises et les navires de guerre qui les ont accompagnés pour la traversée de l’Atlantique.

Les bases militaires en temps de guerre Les gouvernements canadien et américain ont dépensé des centaines de millions de dollars pour construire des installations pour la défense sur l’île et au Labrador.

Les bases militaires en temps de guerre Le Canada a accepté la responsabilité de la défense de toute la région Atlantique, y compris T-N.

Les bases militaires en temps de guerre Dans sa stratégie militaire, le gouvernement canadien a pris la relève de l’aérodrome existant à Gander…

Les bases militaires en temps de guerre …et l’hydrobase (base aux hydravions) à Botwood.

Les bases militaires en temps de guerre En 1941, le Canada a construit l’aéroport Torbay (maintenant l’aéroport international de St. John’s) qui a été officiellement ouvert par l’Aviation royale du Canada en décembre 1941.

Les bases militaires en temps de guerre Le gouvernement canadien a aussi commencé la construction d’une grande base aérienne au site important de Goose Bay au Labrador, en 1941.

Les bases militaires en temps de guerre Bien que les États-Unis ne soient pas entrés officiellement en guerre avant 1941, ils ont signé l’accord Destroyers for Bases Deal avec la Grande-Bretagne en 1940.

Les bases militaires en temps de guerre À travers cet arrangement, les États-Unis ont censenti à donner 50 frégates à la Grande-Bretagne pour escorter les bateaux transportant des cargaisons pendant qu’ils traversaient l’océan Atlantique.

Les bases militaires en temps de guerre En échange des bateaux, les États-Unis ont obtenu des baux de 99 ans pour établir des bases sur les territoires contrôlés par les Britanniques.

Les bases militaires en temps de guerre Immédiatement après être entrés en guerre, les américains ont construit une grande base navale à Argentia dans la baie Placentia.

Les bases militaires en temps de guerre Un peu plus tard, une base militaire appelée le Fort Pepperrell, maintenant Pleasantville, a été construite près du lac Quidi Vidi à St. John’s.

Les bases militaires en temps de guerre Les Américains ont aussi construit la base aérienne Harmon à Stephenville vers 1941.

Les bases militaires en temps de guerre Principalement grâce à son port, St. John’s est aussi devenue une base importante pour les navires canadiens, américains et britanniques.

Les Terre-Neuviens dans la Seconde Guerre mondiale. Les branches Le nombre d’enrôlés Le nombre de morts La Marine royale britannique 3419 352 L’Armée de l’air royale britannique 713 139 L’Armée britannique 2343 83 Les Forces canadiennes (hommes) 1160 119 Les Forces canadiennes (femmes) 524 1 La Marine marchande 5000 266 Le Corps de la Foresterie 3596 34 Le Régiment de Terre-Neuve 1668 30 Les autres forces Inconnu 4

L’enrôlement En reconnaissance du nombre de Terre-Neuviens qui se sont enrôlés dans les forces britanniques, certaines unités ont été désignées unités de “Terre-Neuve”.

L’enrôlement Il y avait deux régiments d’artillerie, le 166e Newfoundland Field Regiment, le 59e Newfoundland Heavy Regiment, et un escadron de la Royal Air Force, le 125e Newfoundland Squadron.

Les troupes terre-neuviennes outre-mer Les Terre-Neuviens ont servi dans des centaines de bateaux sur les océans Atlantique, Indien et Pacifique.

Les troupes terre-neuviennes outre-mer Ils ont protégé des voies maritimes stratégiques pendant la Bataille de l’Atlantique,…

Les troupes terre-neuviennes outre-mer …ils ont lancé des forces d’assaut et ont retiré des troupes sur des côtes hostiles,…

Les troupes terre-neuviennes outre-mer …et ils ont combattu dans d’importantes batailles, telle que celle où le navire de guerre Bismarck a été coulé, le 27 mai 1941.

Les troupes terre-neuviennes outre-mer Les Terre-Neuviens se sont aussi battus dans le ciel au dessus de l’Europe, de l’Afrique du Nord, du Moyen-Orient et de l’Extrême-Orient.

Les services féminins Les Forces armées canadiennes avaient trois services féminins…

Les services féminins Le Service féminin de la marine royale:

Les services féminins Le Service féminin de l’Aviation royale. Ses femmes étaient stationnées à Terre-Neuve, au Canada, en Irlande du Nord et en Écosse.

Les services féminins Le Service féminin de l’Armée canadiennes. En total, plus de 500 Terre-Neuviennes ont servi dans les Forces armées canadiennes.

La participation non-militaire Beaucoup de Terre-Neuviens et Labradoriens ont décidé de se porter volontaires pour participer à l’effort de guerre.

La participation non-militaire La Women’s Patriotic Association (WPA) a été reconstituée peu après le début de la Seconde Guerre mondiale.

La participation non-militaire Lady Walwyn, la femme du Gouverneur Walwyn, a organisé la première rencontre en 1939.

La participation non-militaire Elles travaillaient six jours par semaine, tout en tricotant, en cousant du matériel médical et en s’occupant des troupes locales.

La participation non-militaire Le Newfoundland Patriotic Association (NPA) a levé des fonds pour aider les dépendants de ceux qui servaient outre-mer, et a recruté, transporté et financé des soldats.

La participation non-militaire Le NPA a organisé le plan 1% et le fond Fish-a-Man qui leur ont permis de récolter 300,000$.

La participation non-militaire Le plan 1%: une déduction volontaire de 1% sur le salaire brut des employés salariés. Le fond Fish-a-Man était une donation d’un poisson par pêcheur et par saison.

Les activités guerrière à Terre-Neuve et au Labrador Le camouflage des lumières à St. John’s Les camps d’internement Le torpillage du Caribou Le naufrage près de Bell Island Les stations météorologues allemandes au Labrador

Le camouflage des lumières à St. John’s Avec la menace d’attaques aériennes de l’ennemi pendant la Seconde Guerre mondiale, le couvre-feu et le camouflage des lumières sont devenus obligatoires.

Le camouflage des lumières à St. John’s Les sirènes annonçant les attaques aériennes ont été installées.

Le camouflage des lumières à St. John’s Quand les sirènes retentissaient, les citoyens étaient obligés de rester où ils étaient et de s’assurer que toutes les fenêtre et les portes étaient couvertes.

Le camouflage des lumières à St. John’s À St. John’s, les surveillants de la Air Raid Precautions Organization (ARP) marchaient dans la rue pour s’assurer que toutes les lumières visible étaient éteintes.

Le camouflage des lumières à St. John’s Des officiers de l’Aviation royale du Canada survolaient régulièrement la ville pour s’assurer que le règlement était respecté.

Les camps d’internement Comme ses alliés pendant la Seconde Guerre mondiale, Terre-Neuve emprisonnait ses résidents qui avaient la même origine ethnique que l’ennemi, comme les Allemands et les Italiens.

Les camps d’internement Ces gens, classés comme des ennemis étrangers ont été arrêtés et placés dans des camps d’internement – des lieux temporaires d’emprisonnement.

Les camps d’internement En octobre 1939, il y avait un camp d’internement à Pleasantville. En 1940, il y avait un camp d’internement à Victoria, dans la baie Conception.

Le torpillage du Caribou Le 14 octobre 1942, le S.S. Caribou, un traversier qui transportait des passagers, a été frappé par une torpille d’un sous-marin allemand pendant qu’il traversait le détroit de Cabot de North Sydney à Port-aux-Basques

Le torpillage du Caribou Des 238 personnes à bord, 137 ont été tuées dont beaucoup de femmes et d’enfants.

Le naufrage près de Bell Island Dans deux attaques séparées de sous-marins allemands, des bateaux de minerai de fer ont été coulés près de Bell Island, dans la baie Conception.

Le naufrage près de Bell Island Ces attaques ont provoqué la mort de 69 marins et étaient sans doute une tentative allemande de détruire les provisions de minerai de fer.

Le naufrage près de Bell Island Le 5 septembre 1942 – Les torpilles ont frappé le Saganaga et le Lord Strathcona. Ils ont coulé rapidement.

Le naufrage près de Bell Island Le 2 novembre, 1942 – Le PLM 27 et le S.S. Rose Castle ont été coulés par le sous-marin allemand U-513.

Une station météorologique allemande au Labrador Un sous-marin allemand U-537 a été utilisé pour transporter du matériel de l’Allemagne au Labrador, pour monter une station météorologique automatique.

Une station météorologique allemande au Labrador Toutes les trois heures, il transmettait des bulletins météorologiques, qui étaient utilisés pour formuler des prévisions météorologiques.

Une station météorologique allemande au Labrador Ces signaux étaient alors transférées aux bateaux et aux sous-marins allemands dans l’Atlantique Nord.