Exposé sur napoléon et ses batailles.

Slides:



Advertisements
Présentations similaires
Qui ? Quand ?Pourquoi ? Où ? Quoi ?
Advertisements

La Place de la Bastille C’est une grande place à Paris qui est aujourd’hui le symbole de la liberté des Français pendant la révolution française!
NAPOLEON BONAPARTE.
La Campagne de France.
Les grands personnages de l’histoire de France
Activité 1: La France domine l’Europe
Les phases militaires de la guerre
LA RÉSISTANCE EN FRANCE
Chapitre 6- La Guerre sur le Front Ouest
La seconde guerre mondiale
Custom animation effects: horizontal scrolling text (Basic)
Louis XV :le Bien Aimé.
FRA 503 Guðmundur Ólafsson
QUELQUES DATES AVANT DE PASSER À LA PREMIÈME EXPÉRIENCE AFIN DE FACILITER L’ENCHAÎNEMENT CHRONOLOGIQUE 5 MAI 1789, ouverture des Etats Généraux avec.
Allemagne: Général von Falkenhayn : attaque Pensait quil va changer la guerre France: General Philippe Pétain : défense Héro de la PGM pour France.
Bataille De Stalingrad
Né le 15 août 1769 à Ajaccio et issu d’une famille de treize enfants
Exposition mai 2007 L'épopée napoléonienne : ombres et lumières.
Une Péninsule située dans le sud- est de lEurope qui comprend km2 Croates Serbes Grecques Macédoniens Roumains Bulgares Pendant les siècles, la.
par Cassandra Kemp et Stewart Boyar
Les Phases de la Guerre Contribution Canadienne. Les historiens ont divisé un grand nombre dévénements en différentes périodes pour faciliter létude de.
C'est pour bientôt.....
Veuillez trouver ci-joint
La France avant l’Occupation de 1939 à 1940
La Participation de Chine dans la Deuxième Guerre mondiale
Concours de civilisation
La première guerre punique
CALENDRIER-PLAYBOY 2020.
Phase IV: de juin 1944 à septembre 1945 La phase finale de la guerre…
Napoleón Bonaparte.
La Révolution française
LE PLAN DE DIEU POUR MA VIE (III)
Par: Nancy et Kendra.  Le 10 mai 1940 en France jusqu'au 22 juin 1940 quand La France a signé un armistice avec l'Allemagne.
Morgan Foster uropean/ww1/section3.rhtml.
Apraksina Julie groupe 101fl, Institut des langues étrangères, MGPU.
La résistance française et La Seconde Guerre Mondiale 1939 – 1945
Le monde En 1914 La guerre de mouvement La 1ere guerre mondiale Bilan
La guerre du Viêt Nam ( ) décembre Première intervention américaine au Vietnam Un porte-avion américain transportant deux escadrilles.
Une tentative de monarchie constitutionnelle
Maison natale de Napoléon à Ajaccio
La guerre de 6 Octobre EGYPTE CONTRE ISRAEL
L’ ARC DE TRIOMPHE DE L’ ETOILE
La guerre de 1812.
Par: Oliver Jacob Daniel Trafford
PAGE D'HISTOIRE STRASBOURG 1944 MUSIQUE PPS RATZEL PATRICIA
Le consulat et l’Empire (1)
La Première Guerre mondiale en France
LA SECONDE GUERRE MONDIAL LA BATAILLE DES ARDENNES ALEXANDRE.
Phase 3: de juillet 1943 à juin 1944
Les phases militaires de la Seconde Guerre Mondiale
Les batailles de la DGM
DébutYprès et Somme Vimy et Passchendaele 100 jours et la fin La vie dans les tranchées
Les Canadiens sur le front occidental
La bataille de Laon.
La 1 e Division Canadienne est arrivée au front du l’ouest en février Ypres était la dernière territoire belge sous le commandement allié, les.
Le Canada rentre en Guerre. En 1914 En 1914 Forces armées actives du Canada – 3110 hommes et deux vieux navires de guerre. Forces armées actives du Canada.
Dijon pendant la guerre et après la guerre
Napoléon et l’empire Présenté par
Napoléon Bonaparte De quoi allons nous parler ? 1. Dates historiques
« L’ANNÉE TERRIBLE » (Victor Hugo) Juillet 1870 – mai 1871.
NAPOLEON BONAPARTE.
La révolution, l’empire et la guerre
Sur le front. Plan  Le Front de l’Ouest 1914 Bataille d’Ypres 1915 Combat entre la France et l’Alle- magne Septembre 1915 Offensive française 1915 Combats.
La Première Guerre mondiale Les événements ( )
La Traité de Versailles. Hitler est au pouvoir L’Allemagne devient aggressive et expansionniste.
De son vrai nom : Charles Louis Napoléon Bonaparte
La Seconde Guerre Mondiale
Transcription de la présentation:

Exposé sur napoléon et ses batailles. L’ Epopée Napoléonienne

Sommaire En France période révolutionnaire: En Italie, première coalition : En Égypte, en Syrie et dans les Alpes autrichiennes, deuxième coalition : En Autriche, troisième coalition : En Prusse et en Russie, quatrième coalition : En Autriche, cinquième coalition : En Russie, en Prusse et en France, sixième coalition : En Belgique, septième coalition :

En France période révolutionnaire Toulon (siège du 7 septembre au 19 décembre 1793)   Bonaparte arriva à Toulon le 16 septembre 1793, où la situation était devenue critique. Le 12 novembre, le fort de l'Eguillette est pris, celui de Mulgrave, de Balaguier et de Faron le 17. Si bien que le 19 décembre, les anglais du général O'Hara évacue le port de Toulon.   L'attaque du Mont Faron tenu par les Anglais. Bonaparte mettra ses batteries à cet endroit et détruira les position anglaises.

2.En Italie, première coalition: Montenotte (12 avril 1796)   Le 9 avril, soit trois jours avant la bataille, Napoléon opère en fonction de l'objectif qu'il s'est fixé : "Se placer en position centrale, battre l'ennemi en détail". Bonaparte a toujours visé Montenotte, mais il laisse croire à l'ennemi qu'il désire Gênes. Le 12 avril c’est la victoire, les troupes française remporte la bataille

Arcole (15-17 Novembre 1796) Sur le pont d'Arcole, les français sont mitraillés de l'autre rive et meurent par dizaine. Les autrichiens se replient sur le plateau de Rivoli... La ville d'Arcole

3.En Italie, première coalition: Rivoli ( 14 janvier 1797 ) Bonaparte, tient ses positions et renforce le siège de Mantoue, entreprit le 15 juillet 1796.   Les premiers affrontements surviennent le 13 janvier 1797. Joubert, attaqué de toutes parts, se replie sur le plateau de Rivoli.    Le 14 janvier, à 7 heures, les autrichiens attaquent.  

4.En Égypte, en Syrie et dans les alpes Autrichienne, deuxième coalition: Pyramides (21 juillet 1798)

Mont Thabor (16 avril 1799) Napoléon Bonaparte entraîne son armée vers la Syrie, pour détruire l'armée du pacha de Damas, et pour s'échapper vers le nord.    La bataille du Mont Thabor effacera cependant toutes menaces arabes jusqu'à la bataille d'Aboukir...

5.En Prusse et en Russie, quatrième coalition : Presque un an après l'éclatante victoire d'Austerlitz, Napoléon craint que la Prusse s'engage dans la guerre. Le problème est que ce pays a une très bonne armée, mieux encadrée que les armées autrichienne et russe. Cette crainte se concrétise, et poussé par son épouse Louise de Prusse, le Roi allemand décrète le réarmement. Partout en Prusse des jeunes gens s'enrôlent, les industries tournent à plein régime. En deux semaines à peine, l'armée est prête. Napoléon réagit et place ses armées à tous les points stratégiques de l'Allemagne ; à Mayence, à Ulm, à Francfort, les français placent leur campement pour la contre-offensive. Le 7 octobre, le Roi de Prusse envoie un ultimatum à l'Empereur, le sommant de quitter la Prusse et l'ensemble des Etats allemands de la future "Confédération du Rhin". Napoléon refuse l’affrontement est inéluctable.

6.En Autriche, cinquième coalition : Après la grande campagne de 1806-1807 en Prusse et en Russie, la France était à son apogée. Mais la "sale affaire d'Espagne" a entraîné Napoléon dans une situation délicate, l'obligeant à intervenir personnellement. L'Autriche a pensé que c'était pour elle le moment de se relever et de reprendre sa place prédominante en Europe. Elle leva une armée de 300 000 hommes, plus une réserve de 200 000 soldats. C'est enfin l'Angleterre qui finance le tout. Napoléon réunit le plus de monde possible. Il dispose de 250 000 hommes utilisables immédiatement. Le 17 avril, les armées françaises se mettent en marche. Elles vont remporter cinq victoires en quatre jours : Tengen le 19, Abensberg le 20, Landshut le 21, Eckmühl et Ratisbonne le 23. Napoléon s'installe ensuite à Vienne. Tous les ponts ont été détruits par l'archiduc Charles. l'Empereur, et Napoléon donne l'ordre d'en construire de nouveaux. Il s'installe sur l'île de Lobau, et prépare son attaque...

7.En Russie, en Prusse et en France, sixième coalition Cela fait déjà plus de cinq ans que Napoléon et le Tsar Alexandre Ier de Russie, réunis sur le radeau de Tilsit, se sont jurés amitié et paix éternelles. Oui mais voila, le Tsar supporte de plus en plus mal le blocus continental, et il convoite toujours la Pologne "libérée" par Napoléon. L'or anglais, accéléra les choses. Le 24 juin 1812, la Grande Armée, forte de 6OO OOO soldats(jamais autant d'hommes n'avaient été réunis dans une même campagne), franchit le Niémen, fleuve-frontière entre la Pologne et la Russie. Mais l'ennemi se dérobe, se replie, obligeant toujours Napoléon à s'enfoncer un peu plus dans les immenses steppes russes. Smolensk est prise, mais la tentative d'encerclement a échoué. Le 4 septembre, les éclaireurs de Murat repère les positions ennemis sur le plateau de Borodino sur la rive droite de la Kolotscha. Les dés sont jetés...

8.En Belgique, septième coalition : Le 15 juin,trois jours avant la défaite, Napoléon décide de se porter sur Charleroi en belgique, pour couvrir son flanc gauche menacé par Blücher. Son plan d'attaque est déjà établi dans sa tête : il va avancer sur le front avec trois colonnes de 50 000 hommes chacune. Mais la situation de l'armée est quelque peu déconcertante, aucun des officiers n'ont véritablement leur place : les maréchaux commandent des régiments, les généraux des bataillons, et les colonels de maigres unités. Mais il faut faire avec ce qu'on a, et Napoléon est malgré tout confiant dans son armée. Douze colonnes de cavaleries lourdes ouvrent la voie, mettant en déroute les garnisons d'éclaireurs ennemis.

L'armée française engage même des mercenaires pour des actions de sabotage, dont la plus célèbre est l'explosion du Fort Manteux, près de Charleroi, gardé par les prussiens (il y eut 1 500 morts et blessés). Mais Napoléon sait aussi que les Alliés sont près à en finir. Le seul moyen de signer un traité et de faire reconnaître légitimement son titre est de détruire les dix armées ennemis... Une tâche très délicate ! Le 16, dans le courant de l'après-midi, la Garde tire les trois coups de canons indiquant le début de l'offensive. Napoléon envoie ses hommes enlever les forts prussiens détenus par Bülow. L'ennemi est timide et évite le combat en attendant le soutien anglais, personnifié par le terrible Duc de Wellington. La route des Quatre-Bras est à présente ouverte aux français, mais la cavalerie de Ney se fait durement accroché pendant l'affrontement, et le 14ème régiment est totalement détruit. Dans la soirée, Napoléon lance son attaque générale, mais les français piétinent toujours, contenus par les prussiens et les russes à Wavre, en Belgique...