Qui habitent le cœurs des êtres. Quelquefois, elles apparaissent en bande : Souvent, ce n’est qu’ une seule qui prend son envolée pour se poser sur le bord d’ une paupière. Les larmes sont une sorte d’ oiseaux
En s’ envolant de nous ces oiseaux – larmes entraînent comme des pierres Sous leurs ailes de la douleur qui rend le cœur si lourd à porter.
Mais pour ce rendre jusqu ‘ aux yeux, D’ où ils s ’ échappent, ils doivent lutter contre les vent de l’ indifférence de l’ orgueil ;
Ceux – là qui, quelquefois attrapent les oiseaux Dans un grand filet, les gardent prisonniers en une boule au centre de la gorge.
Ne capturons jamais d’ oiseaux – larmes, ce sont des messagers du monde de notre cœur. Ils ont quelque chose à dire, à montrer aux autres. Les oiseaux – larmes chante la beauté de notre être.
Lorsqu’ une larme jaillit des yeux d’ un être pour se laisser glisser sur la joue, cueillez – la d’ un baiser… elle donnera à vos lèvres des paroles d’ amour.
2007