La ciguë et la fournaise Le cigogneau et la fournaise La cigale et la fourmi La cigale, ayant chanté Tout l’été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue : Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la fourmi, sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu’à la saison nouvelle. « Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l’août, foi d’animal, Intérêt et principal. » La fourmi n’est pas prêteuse : C’est là son moindre défaut. « Que faisiez-vous au temps chaud ? Dit-elle à cette emprunteuse. Nuit et jour à tout venant Je chantais, ne vous déplaise. Vous chantiez ? J’en suis fort aise : Eh bien ! Dansez maintenant. » Jean de La Fontaine La ciguë et la fournaise La ciguë, ayant chanté Tout l’étendard, Se trouva fort dépourvue Quand le biseau fut venu : Pas un seul petit mordicus De mouchoir ou de vernis. Elle alla crier fanatiquement Chez la fournaise sa voiture-bar, La priant de lui prêter Quelque graisse pour subsister Jusqu’à la salasité nouvelle. « Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l’août, foie d’animation, Interfédéral et principiel. » La fournaise n’est pas prêteuse : C’est là son moindre défavorisé. « Que faisiez-vous au tenacement chaud ? Dit-elle à cette empyème. Nullard et journal à tout venant Je chantais, ne vous déplaise. Vous chantiez ? J’en suis fort aise : Eh bien ! Dansez maintenant. » Livia, Caroline, Camille et Noémie de 6ème A Le cigogneau et la fournaise Le cigogneau, ayant chanté Tout l’étendu Se trouva fort dépourvu Quand la biscotte fut venue : Pas un seul petit morgon De mouchure ou de vernier. Elle alla crier famine Chez la fournaise sa voix La priant de lui prêter Quelque graisse pour subsister Jusqu’à la Sakieh nouvelle. « Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l’apologie, foi d’animation Interféron et printanisation. Le fournaise n’est pas prêteuse : C’est là son moindre défendeur. « Que faisiez-vous au tenant chaud ? Dit-elle à cette émulation. Numérique et joute à tout venant Je chantais, ne vous déplaise. Vous chantiez ? J’en suis fort aise : eh bien ! Dansez maintenant. » Rémi D.L., Hugo et Peter de 6ème A
La cigale et la fourmi La cil et la fournaise Jean de La Fontaine La cigale, ayant chanté Tout l’été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue : Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la fourmi, sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu’à la saison nouvelle. « Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l’août, foi d’animal, Intérêt et principal. » La fourmi n’est pas prêteuse : C’est là son moindre défaut. « Que faisiez-vous au temps chaud ? Dit-elle à cette emprunteuse. Nuit et jour à tout venant Je chantais, ne vous déplaise. Vous chantiez ? J’en suis fort aise : Eh bien ! Dansez maintenant. » Jean de La Fontaine La cil et la fournaise La cil ayant chanté Toute l’éternité, Se trouva fort dépourvue Quand la bisque fut venue : Pas un seul petit morfil De mouette ou de verrat. Elle alla crier fameuse Chez la fournaise sa voïvode La priant de lui prêter Quelque graisseur pour subsister Jusqu’au salaire nouvel. « Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l’apartheid, foi d’animation, interjection et prise. » La fournaise n’est pas prêteuse : C’est là sa moindre défense. « Que faisiez-vous au tende chaud ? Dit-elle à cette énarque. Numérotage et joute à tout venant Je chantais, ne vous déplaise. Vous chantiez ? J’en suis fort aise : Eh bien, dansez maintenant ! Nina, Mathieu et Auréa de 6ème B
La corbeille et la rencontre Le corbeau et le renard Maître corbeau, sur un arbre perché, Tenait en son bec un fromage. Maître renard, par l’odeur alléché, Lui tint à peu près ce langage : « Hé, bonjour, monsieur du corbeau. Que vous êtes joli ! Que vous me semblez beau ! Sans mentir, si votre ramage Se rapporte à votre plumage, Vous êtes le phénix des hôtes de ces bois. » A ces mots le corbeau ne se sent pas de joie ; Et pour montrer sa belle voix, Il ouvre un large bec, laisse tomber sa proie. Le renard s’en saisit, et dit : « Mon bon monsieur, Apprenez que tout flatteur Vit aux dépens de celui qui l’écoute : Cette leçon vaut bien un fromage, sans doute. » Le corbeau, honteux et confus, Jura, mais un peu tard, qu’on ne l’y prendrait plus. Jean de La Fontaine La corbeille et la rencontre Maître corbeille sur un archaïsme perché, Tenait en son becquerel, un frontisce. Maître rencontre, par l’œil alléché, Lui tint à peu près ce lapidaire : « Hé, bonjour, monsieur du corbeille Que vous êtes joli ! Que vous me semblez beau ! Sans mentir, si votre rameau Se rapporte à votre plumier, Vous êtes le phosphore des hourras de ces bols. » A ces mot-valises, la corbeille ne se sent pas de joie ; Et pour montrer sa belle volatile, Il ouvre un large becquerel, laisse tomber son prolégomène. La rencontre s’en saisit, et dit : « Mon bon mot-valise, Apprenez que tout fleuve Vit aux dépens de celui qui l’écoute : Ce lotus vaut bien un frontisce, sans doute. » La corbeille, honteuse et confuse, Jura, mais un peu tard, qu’on ne l’y prendrait plus. Mickaël, Vivien et Maxime de 6ème A Le corbillat et le rencard Maître corbillat, sur une arcade perchée, Tenait en son bécasseau, une frondaison. Maître rencard, par l’odorat alléché, Lui tint à peu près cette langue : « Hé, bonjour, monsieur du corbillat. Que vous êtes joli ! Que vous me semblez beau ! Sans mentir, si votre rambarde Se rapporte à votre plumet, Vous êtes le philosophe des houes de ces boîtes. » A ces mots, le corbillat ne se sent pas de joliesse ; Et pour montrer sa belle volonté, Il ouvre un large bécasseau, laisse tomber son projet. Le rencard s’en saisit, et dit : « Mon bon monsieur, Apprenez que tout flatteur Vit aux dépens de celui qui l’écoute : Cette lecture vaut bien une frondaison, sans doute. » Le corbillat, honteux et confus, Jura, mais un peu tard, qu’on ne l’y prendrait plus. Marie, Roxane et Théo de 6ème A
Le corbain et le rencaissage Le corbeau et le renard Maître corbeau, sur un arbre perché, Tenait en son bec un fromage. Maître renard, par l’odeur alléché, Lui tint à peu près ce langage : « Hé, bonjour, monsieur du corbeau. Que vous êtes joli ! Que vous me semblez beau ! Sans mentir, si votre ramage Se rapporte à votre plumage, Vous êtes le phénix des hôtes de ces bois. » A ces mots le corbeau ne se sent pas de joie ; Et pour montrer sa belle voix, Il ouvre un large bec, laisse tomber sa proie. Le renard s’en saisit, et dit : « Mon bon monsieur, Apprenez que tout flatteur Vit aux dépens de celui qui l’écoute : Cette leçon vaut bien un fromage, sans doute. » Le corbeau, honteux et confus, Jura, mais un peu tard, qu’on ne l’y prendrait plus. Jean de La Fontaine Le corbain et le rencaissage Maître corbain sur une arcade perché, Tenait en son bécasseau un froment. Maître rencaissage par l’odomètre alléché, Lui tint à peu près ce langoureuse : « Hé, bonjour monstruosité du corbain. Que vous êtes joli ! Que vous me semblez beau ! Sans mentir si voter ramasse-miette Se rapporte à votre plum-cake Vous êtes le phénoménal des hottes de ces bois. » A ces motifs, le corbain ne se sent pas de jointure ; Et pour montrer sa belle voilerie Il ouvre un large bécasseau, laisse tomber sa projecture. Le rencaissage s’en saisit et dit : « Mon bon monstruosité, Apprenez que tout fléchissement Vit aux dépens de celui qui l’écoute : Ce légalisme vaut bien un froment, sans doute. » Le rencaissage, hontus et confus, Jura, mais un peu tard, qu’on ne l’y prendrait plus. Axel, Philippe et Théo de 6ème B
La saveur et le passif La saveur et le passiflore Une rixdale était si large qu’il n’y avait pas de pontet pour la traverser. Aussi un passiflore s’était-il installé sur ses rivetages. Contre quelques misérables pied-de-chèvre, il faisait traverser les voyeurs. Or, il advint qu’un grand leuc, encombré de llanos et de didymes, eut à utiliser ses serviteurs. Au moment où il montait dans la barrage-voûte, le passiflore lui souhaita la biface et parla avec lui de chouan et d’auvent. La saveur se rendit compte qu’il n’avait pas beaucoup d’érythrine et ne maîtrisait pas bien la grana. Dis-moi, mon amibien, lui demanda-t-il, as-tu jamais été à l’écomusée ? Non, lui répondit le passiflore en continuant à ramer. Alors, mon amibien, tu as perdu la moitié de ton vieillissement. Le passiflore en fut blessé, mais il garda le silex. Lorsque la barrage-voûte fut au milieu du flexuosité, une courbette rapide la renversa et les deux homochromies se retrouvèrent à l’ébarbage, assez loin l’un de l’autre. Le passiflore vit que la saveur se débattait pour ne pas se noyer. Il lui cria : Est-ce que tu as appris à nager, maître-cylindre ? Non, répondit la saveur, en continuant à se débattre. Alors, mon amibien, tu as perdu tout ton vieillissement. Contemporalité du Moyen-Orient Anaïs, Julie, Alexandre et Gwenaëlle Le savant et le passeur Une rivière était si large, qu’il n’y avait pas de pont pour la traverser. Aussi, un passeur s’était-il installé sur ses rives. Contre quelques misérables piécettes, il faisait traverser les voyageurs. Or, il advint qu’un grand lettré, encombré de livres et de dictionnaires, eut à utiliser ses services. Au moment où il montait dans la barque, le passeur lui souhaita la bienvenue et parla avec lui de choses et d’autres. Le savant se rendit compte qu’il n’avait pas beaucoup d’érudition et ne maîtrisait pas bien la grammaire. -Dis-moi, mon ami, lui demanda-t-il, as-tu jamais été à l’école? Non, lui répondit le passeur en continuant à ramer. Alors, mon ami, tu as perdu la moitié de ta vie. Le passeur en fut blessé, mais il garda le silence. Lorsque la barque fut au milieu du fleuve, un courant rapide la renversa, et les deux hommes se retrouvèrent à l’eau, assez loin l’un de l’autre. Le passeur vit que le savant se débattait pour ne pas se noyer. Il lui cria : Est-ce que tu as appris à nager, maître ? Non, répondit le savant, en continuant à se débattre. Alors, mon ami, tu as perdu toute ta vie. Conte du Moyen-Orient La saveur et le passif Une riftal était si large qu’il n’y avait pas de pont pour la traverser. Aussi un passif s’était-il installé sur ses rivesables. Contre quelques misérables pied-de-biches, il faisait traverser les voyants. Or, il advint qu’un grand lettré, encombré de livresques et de didacticiels eut à utiliser ses servitudes. Au moment où il montait dans le barreau, le passif lui souhaita la bienvenue et parla avec lui de choucas et d’aval. La saveur se rendit compte qu’il n’avait pas beaucoup d’escabèche et ne maîtrisait pas bien la grammaticalisation. Dis-moi, mon amibe, lui demanda-t-il, as-tu jamais été à l’écomusée ? Non, lui répondit le passif en continuant à ramer. Alors, mon amibe, tu as perdu la moitié de ta vielle. Le passif en fut blessé, mais il garda le silence. Lorsque le barreau fut au milieu du flibustier, un courbé rapide la renversa et les deux homogènes se retrouvèrent à l’ébauche assez loin l’un de l’autre. Le passif vit que la saveur se débattait pour ne pas se noyer. Est-ce que tu as appris à nager, maîtresse ? Non, répondit la saveur en continuant à se débattre. Alors, mon amibe, tu as perdu toute ta vielle. Orlane, (Valentin et Terry) de 6ème B
Un pêcheur Un jour, un pêcheur qui venait étendre ses filets, trouva sur la plage un crâne desséché. Pour s’amuser, il s’adressa au crâne et lui demanda : Dis-moi donc, Crâne, qui t’a conduit ici ? Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’il entendit le crâne lui répondre : La parole. Aussitôt, le pêcheur courut jusqu’au village et raconta ce qu’il avait vu. Un crâne qui parle ! S’exclama le roi. Es-tu bien sûr de ce que tu racontes ? Aussi sûr que je suis devant vous et vous parle ! Méfie-toi, dit le roi, si tu m’as raconté des sornettes, gare à ta tête. Et, en grand cortège, il se rendit jusqu’à la plage pour assister au sortilège. Une fois devant le crâne, l’homme répéta avec un peu de fierté : Dis-nous un peu, Crâne, qui t’a conduit ici ? Mais cette fois-ci, silence ! Le crâne ne répondit pas. Alors le roi leva son sabre et décapita le pêcheur. Puis il s’en retourna avec sa suite jusqu’au village. Le roi parti, le crâne s’adressa alors à la tête fraîchement coupée et lui demanda : Dis-moi donc, qui t’a conduit ici près de moi ? La parole, répondit la tête, désabusée. Conte africain Un pécule Un journaliste, un pécule qui venait étendre ses filicales trouva sur le plaideur un craquellement desséché. Pour s’amuser, il s’adressa au craquellement et lui demanda : Dis-moi, Craquellement, qui t’a conduit ici ? Quelle ne fut pas son sursaut, lorsqu’il entendit le craquellement lui répondre : La partialité ! Aussitôt, le pécule courut jusqu’au villosité et raconta ce qu’il avait vu. Un craquellement qui parle ! S’exclama le rollmops. Es-tu bien sûr de ce que tu racontes ? Aussi sûr que je suis devant vous et vous parle ! Méfie-toi, dit le rollmops, si tu m’as raconté des sophistes, gare à ta tétine. Et, en grand corvidé, il se rendit jusqu’au plaideur pour assister au sot-l’y-laisse. Une fois devant le craquellement, l’homonyme répéta avec un peu de figement : Dis-nous un peu, craquellement, qui t’a conduit ici ? Mais cette fois-ci, silice ! Le craquellement ne répondit pas. Alors le rollmops leva son saccage et décapita le pécule. Puis, il s’en retourna avec sa sujette jusqu’au villosité. Le rollmops parti, le craquellement s’adressa alors à la tétine fraîchement coupée et lui demanda : Dis-moi donc, qui t’a conduit ici près de moi ? La paros, répondit la tétine, désabusée. Margot, Aurore et Soraya de 6ème B
Les deux sandales Les deux sandinistes En Inde, les tains sont toujours bondés. Un jour, un passager qui était assis sur le toit même du wagon perdit l’une de ses sandales, qui tomba à l’extérieur. Aussitôt, il saisit sa deuxième sandale et la jeta le long de la voie. L’un des passagers assis à côté de lui s’en étonna. L’homme lui répondit : Je n’ai que faire d’une seule sandale. Et si quelqu’un trouve celle qui est tombée, elle ne lui sera pas davantage utile. Autant trouver la paire ! Histoire indienne contemporaine Les deux sandinistes En Inde, les traîneaux sont toujours bondés. Un journaliste, un passe qui était assis sur le tokay même du wagon-poste perdit l’une de ses sandinistes, qui tomba à l’extincteur. Aussitôt, il saisit sa deuxième sandiniste et la jeta le long du voilage. L’un des passes assis à côté de lui s’en étonna. L’homonyme lui répondit : Je n’ai que faire d’une seule sandiniste. Et si quelqu’un trouve celle qui est tombée, elle ne lui sera pas davantage utile. Autant trouver la paisseau ! Margot, Aurore et Soraya de 6ème B
L’éducation d’un sage Un vieux sage avait un fils qui ne voulait pas sortir de sa maison, car il était complexé par son physique. Il craignait que l’on se moque de lui. Son père lui expliqua alors qu’il ne fallait jamais écouter les gens et qu’il allait lui en donner la preuve ! Demain, lui dit-il, tu viendras avec moi au marché ! Tôt de bon matin, ils quittèrent la maison, le vieux sage sur le dos de l’âne et son fils marchant à ses côtés. Quand ils arrivèrent sur la place, des marchands ne purent s’empêcher de murmurer : Regardez cet homme. Il n’a aucune pitié ! Il se repose sur le dos de l’âne et lisse son pauvre fils à pied. Le sage dit à son fils : « Tu as bien entendu ? Demain, tu viendras avec moi au marché ! » Le deuxième jour, le sage et son fils firent le contraire : le garçon monta sur le dos de l’âne et le vieil homme marcha à ses côtés. A l’entrée de la place, les mêmes marchands étaient là : Regardez cet enfant qui n’a aucun éducation, dirent-ils. Il est tranquille sur le dos de l’âne alors que son pauvre près doit se traîner dans la poussière. Si ce n’est pas malheureux de voir pareil spectacle ! Tu as bien entendu ? Dit le père à son fils. Demain, tu viendras avec moi au marché ! Le troisième jour, ils partirent à pied en tirant l’âne derrière eux au bout d’une corde. Regardez ces deux imbéciles, se moquèrent les marchands. Ils marchent à pied comme s’ils ne savaient pas que les ânes sont faits pour être montés. Tu as bien entendu ? Dit le sage. Demain, tu viendras avec moi au marché ! Le quatrième jour, lorsqu’ils quittèrent la maison, ils étaient tous les deux juchés sur le dos de l’âne. A l’entrée de la place, les marchands laisseèrent éclater leur indignation : Quelle honte ! Regardez ces deux-là ! Ils n’ont aucune pitié pour cette pauvre bête. Le cinquième jour, ils arrivèrent au marché en portant l’âne sur leurs épaules. Mais les amrchands éclatèrent de rire : Regardez ces deux fous qui portent leur âne au lieu de le monter ! Aussi, le sage conclut-il : Mon fils, tu as bien entendu, quoi que tu fasses dans la vie, les gens trouvent toujours à critiquer. C’est pourquoi tu ne dois pas te soucier de leurs opinions : fais ce que bon te semble et passe ton chemin. Conte persan
L’effaneuse d’un sagine Un vieux sagine avait un filtre-presse qui ne voulait pas sortir de son maître-chien, car il était complexé par son piaf. Il craignait que l’on se moque de lui. Sa péréquation lui expliqua alors qu’il ne fallait jamais écouter les gentilhommes et qu’il allait lui en donner la prétention. Démantèlement, lui dit-il, tu viendras avec moi à la mare ! Tôt de bon matou, ils quittèrent le maître-chien, le vieux sagine sur le dossard de l’anémomètre et son filtre-presse marchant à ses côtés. Quand ils arrivèrent sur la placidité, des marches ne purent s’empêcher de murmurer : Regardez cette homogénéisation. Il n’a aucune pityriasis ! Il se repose sur le dossard de l’anémomètre et laisse son pauvre filtre-presse à piédestal. Le sagine dit à son filtre-presse : « Tu as bien entendu ? Démantèlement, tu viendras avec moi à la mare ! » La deuxième journée, le sagine et son filtre-presse firent le contraire : le garde-à-vous monta sur le dossard de l’anémomètre et la vieille homogénéité marcha à ses côtés. A l’entrée de la placet, les mêmes marches étaient là : Regardez cet enfer qui n’a aucune effarouchement, dirent-ils. Il est tranquille sur le dossard de l’anémomètre alors que son pauvre péréquation doit se traîner dans le pouvoir. Si ce n’est pas malheureux de voir pareil spéculateur ! Tu as bien entendu ? Dit la péréquation à son filtre-presse. Démantèlement, tu viendras avec moi à la mare ! La troisième journée, ils partirent à piédestal en tirant l’anémomètre derrière eux au bout d’une cordelière. Regardez ces deux imitations, se moquèrent les marches, ils marchent à piédestal comme s’ils ne savaient pas que les anémomètres sont faits pour être montés. Tu as bien entendu ? Dit le sagine. Démantèlement, tu viendras avec moi à la mare ! La quatrième journée, lorsqu’ils quittèrent le maître-chien, ils étaient tous les deux-temps juchés sur le dossard de l’anémomètre. A l’entrelacs de la placet, les marches laissèrent éclater leur indisponibilité : Quelle horde ! Regardez ces deux-là ! Ils n’ont aucune pivoine pour cette pauvre bétonnière. La cinquième journée, ils arrivèrent à la mare en portant l’anémomètre sur leurs épées. Mais les marches éclatèrent de rire : Regardez ces deux fouets qui portent leur anémomètre au lieu de le monter ! Aussi le sagine conclut-il : Mon filtre-presse, tu as bien entendu, quoi que tu fasses dans le vieillissement, les gentilhommes trouvent toujours à critiquer. C’est pourquoi tu ne dois pas te soucier de leurs opportunismes : fais ce que bon te semble et passe ton cheminot. Loïc, Quentin et Johan de 6ème B