Automatique
Malgré cette immense souffrance,
Qui a sa haute importance,
Aimer le premier : -bonjour- !
Dès le lever du jour,
Apprécier ce pénétrant regard,
Car il n’est jamais trop tard,
Ces yeux qui parlent avec le cœur,
Chuchotant de délicats mots en couleur,
Voir dans le ciel gris les nuages noirs
Qui, déjà, se changent en myriades d’espoirs,
Savoir foncer avec hardiesse
Voir cette infinie tendresse,
C’est le signe d’une présence.
Dès lors, il n’y a plus d’absence.
A la vie.
C r é a t i o n C l a u d e S t - D e n i s I m a g e s p r i s e s s u r l e n e t Poème de Danièle Depoorter Tous droits réservés Mai 2009 " Les Amours de Mado " Musique Ernesto Cortazar « Thanks to life »