Contes enfantins d’Isabelle De 6 ans à 10 ans
La princesse et le cochon Il était une fois un prince dont on avait jeté un sort, fût transformé en cochon.
Des fermiers le recueillirent pour la ferme et pensait bien un jour le manger.
Quelques mois plus tard, alors qu’une jolie princesse aux longs cheveux blonds surnommait Alice se promenait par une belle journée d’été. Elle aperçu ce pauvre cochon, couvert de boue, qui criait tellement fort, qu’elle en fût intrigué
Pendant ce temps là au royaume on aménageait une fête pour inviter tous les princes du comté pour marier la jeune princesse Alice. Le roi était un homme bien bon puis dit à sa fille, quand tu seras certaine de ton choix, nous ferons ton mariage et vous serez comblé, vous aurez tous ce dont un couple rêve d’avoir un logis, de l’argent etc.…
Revenons à la princesse qui s’arrête vers le cochon. - Oh ! Pauvre cochon qu’as-tu d’ont, peut-être va - t’on te manger et c’est pour cela que tu crie si fort ! Le cochon lui répondit : - Si tu m’embrasses tu verras, tu seras très étonné ! - Mais, enfin je ne peux embrasser un cochon, tu es recouvert de boue et tu sens mauvais.
Alors recueille moi, baigne moi, embrasse moi et tu t’en apercevras. Et c’est ce qu’elle fit. Elle lava le cochon par ses serviteurs et insista sur le savon.
Alors, peux tu m’embrasser maintenant. - Oui ! Mais à une seule condition dis- moi ton secret je veux savoir pourquoi faut – t’il absolument que je t’embrasse, après tout tu n’est qu’un cochon et moi une jeune fille. - Si je te dis que je te donnerais le bonheur, tu le feras ? Alors, la jeune princesse Alice réfléchit. - Bon, d’accord après tout je ne risque rien. Et elle le fit.
Quand d’un seul coup des éclairs surgirent de partout, une lumière aveuglante illumina l’endroit où il était, et après quelques secondes, Alice regarda. Oh ! Stupéfaction c’était un beau jeune homme qui lui souriait. - Comment t’appelle tu ? - Alice. - Moi c’est frédérique. Depuis si longtemps que j’attends ce moment, tu m’as sauvé, comment puis- je te remercier ?
Voilà, j’organise un bal en mon honneur et il faut que je trouve un mari et tu seras invité. La nuit défila, Alice était hantée par Frédérique qui l’avait conquise. Le jour du bal approcha. Une quinzaine de prétendants, les uns après les autres défilèrent. - Alors ma fille a tu choisi ? - Non j’attends un ami. Puis Frédérique arriva. Elle dit : - C’est lui que j’ai choisi. Son père répondit : - Qu’il en soit ainsi. Alors Alice et Frédérique se marièrent et vécurent très heureux.
FIN