Sortie pédagogique du 19 novembre 2012.
Chez les Français: l’illusion de la guerre courte Chez les Allemands
Un pantalon rouge garance et une veste bleu nuit, bien visibles. Des guêtres qui serrent les jambes. Un barda de 30 kg.
Un soldat reconnaissable à la petite pointe de son casque. Des bottes qui apportent un peu plus de confort lors des longues marches.
Un spahi (unité de cavalerie de l’armée d’Afrique)
Le cheval : Jusqu’à la fin du XIXe siècle, le cheval est essentiel pour la cavalerie, la logistique et le commandement. La cavalerie française couvre la mobilisation des troupes, éclaire et soutien la marche en avant des armées. Le char: Les autorités militaires comprennent que la cavalerie n’est plus adaptée aux nouvelles conditions du conflit (terrains bouleversés, barbelés, mitrailleuses) Les nouveaux chars d’assaut apparaissent en En 1918, les Alliés utilisent massivement les chars.
Maquette de bateau camouflé Casques à camouflage Brassard de la section de camouflage
L’intérieur des obus Obus pneumatique (procédé de lancement d’une grande discrétion au moment du tir ) explosif de 60 mm (poids de 650 grammes pour 90 grammes d’explosifs)
Étui porte-pigeon Le colombophile
Christelle : « J’ai été touchée par les conditions de vie des soldats et les traumatismes causés par les obus et les gaz ». Yohann : « Malgré l’éloignement de leur pays natal, les soldats des colonies conservent leurs traditions et les partagent avec leurs camarades ». Raphaël : « J’ai apprécié d’essayer le gilet pare balles et le casque car cela m’a permis de prendre conscience du poids de l’équipement des soldats, actuellement ». Thomas, Louis, Alexis, Amélie et Patricia : « Les maquettes et reconstitutions sont très réalistes, spectaculaires, époustouflantes ». Walid : « La guide est captivante ». Pauline: « Les traumatismes et les gueules-cassées, les prothèses, m’ont vraiment impressionnés ». Louis: « J’ai adoré l’atelier sur les images de guerre. Les explications étaient très claires. La photographie est un domaine qui m’intéresse et l’atelier m’a conforté dans mes choix ».