Malgré toutes les souffrances endurées pendant de longues années par le peuple cambodgien, il reste accueillant, affable et souriant. Pourtant, ce sourire n ’apparaît par toujours sur les photos : on dirait que voir l ’appareil les fige...
Près du bassin d ’Angkor, ces enfants observent les poissons.
Enfants jouant en bord de piste.
Pourquoi cette tristesse ?
Les crayons ont provoqué de légers sourires...
Cette gardienne de temple s ’occupe de son enfant tout en assumant son travail.
Un bien beau bébé !
Présentation du Krama, cette écharpe que portent toutes les femmes pour se préserver du soleil. Il peut également se porter en jupe, drapé à la taille, en châle, en cache-cœur, et même, en faisant un nœud à l ’extrémité, constituer une petite poche pour transporter le bétel que chiquent les vieilles personnes.
Deux enfants qui espèrent recevoir des touristes bonbons ou crayons, au temple du Bakong.
Tout en vendant sa marchandise, cette femme s’occupe de sa petite famille.
Malgré son jeune âge, cet enfant essaie de vendre de petits instruments de musique, dont des flûtes dans leur étui.
Comptoir de vente en bord de piste.
Préparation des écheveaux de soie à l’atelier de tissage.
Les garçons aussi….
Une partie de l’atelier.
La mise en canettes. Même le pied est utilisé !
Le tissage.
Garderie au travail.
Bien protégé !
Une couturière au marché de Kompong-Thom.
Pour réaliser des gravures d’images angkoriennes, une feuille de papier de riz est étalée sur le moule, puis bien encastrée dans le relief en la mouillant. Une couche de papier toilette la recouvre, puis une autre feuille de papier de riz. Le tout est bien mouillé, incrusté à l’aide d ’une éponge et d’un maillet de bois.
Ce n’est que lorsque le tout est sec que la couleur est appliquée en surface, en utilisant un tampon de tissu.
Grâce aux belles photos de Marie-Jo, vous avez ainsi un petit aperçu de la population et de quelques techniques artisanales de ce fascinant pays. Cela vous donne-t-il envie d’aller voir sur place ?
Musique : Méditation à la flûte, aimablement fournie par Florian Bernard Jacky Questel - octobre 2004 Photos et commentaires : Marie-Jo Farizy-Chaussé.