À Frédérike des Abeilles, grâce aux photos de Louis, j’ai essayé d’illustrer ton beau poème. Le voici. Gaston Cliquer
Et si ma muse était Tékakwitha par Frédérike Paradis, 10 ans Abeille 2011
Tous les matins C’est le bain pour nous les Indiens
Les Ours Polaires
Ça prend du nerf !
Le chant des oies parsème nos journées de joie
Sans oublier le soleil C’est une merveille
Vient le temps des Olympiques C’est un moment magique
À tous les instants… …nous ressentons une… multitude de sentiments
Il y a également la baignade l’escalade et la parade
Au Camp Tékakwitha l’enfant s’amusera
Qu’ils soit long ou court, suite à son séjour Ses souvenirs du camp, seront remplis d’amour
Frédérike vous fait un beau sourire
Avril 2012