7. La bataille de la Somme 1916 Artillery Barrage This photograph shows explosions from a British artillery barrage on the Somme battlefield. There are numerous explosions across a relatively small area of ground. The bombardment is relatively uniform and likely directed against the barbed wire that can be seen running across the front. George Metcalf Archival Collection CWM 1990044-893
À la fin, les Britanniques ont juste gagné 12 km de terrain. Une des batailles les plus sanglantes de la guerre avec 1.25 million de morts. La bataille a duré 5 mois. À la fin, les Britanniques ont juste gagné 12 km de terrain. This tank only managed to advance about 100 metres into No Man's Land before it became mired in the mud and had to be abandoned by its crew. These first tanks were very slow - about the speed of a walking person - and highly susceptible to mechanical break down, muddy ground, and enemy artillery fire. George Metcalf Archival Collection CWM 19750085-010
Le premier jour de la bataille, le régiment de Terre- Neuve a perdu 85% de leur régiment – le 1er juillet 1916. Pourquoi est-ce que Terre-Neuve a eu leur propre régiment et n’était pas avec les Canadiens? Terre-Neuve ne faisait pas partie du Canada qu’en 1949 La première journée seulement 68 hommes sur 801 des personnes de Terre Neuve ont vécu – traverser comme un tunnel – ordres étaient de traverser No Man’s Land
Les Canadiens sont entrés dans la bataille en août. Par la fin de la bataille, 24 000 Canadiens sont morts ou blessés L’un des dangers de la vie dans les tranchées était d’écouter la nuit les cris des hommes blessés dans le no man’s land, dont la plupart mouraient durant la nuit. C’était épouvantable. Martin Gilbert
Impact de la Somme Manque de moral parmi les soldats Pertes énormes de soldats Appréciation pour l’importance des mitrailleuses, les Britanniques étaient lents à les accepter, et des éclats d’obus Au début, ils donnaient 1-2 par bataillon Obus beaucoup plus efficace à tuer les gens – 50% des blessures infligées par les soldats – schrapnel German Prisoners as Stretcher-Bearers Prisoners were often pressed into carrying the wounded off the battlefield, as shown by this photograph taken during the 1916 Battle of the Somme. George Metcalf Archival Collection CWM 19920085-147
8. La bataille de Vimy avril 1917
Votre tâche – de prendre la crête de Vimy (les Anglais et les Français ont déjà failli de le faire). Comment est-ce que vous pouvez éviter les fautes de la Somme?
La crête de Vimy était la plus belle victoire des forces canadiennes pendant la PGM. C’était dirigé par le général britannique Julien Byng avec l’aide du major général canadien Arthur Currie. « Une bonne préparation nous mènera à la victoire. Ne négligez rien. » Arthur Currie
Les préparations Ils ont créé une maquette de la crête afin de s’entrainer et de se préparer. Ils ont donné les cartes aux soldats afin qu’ils soient informés à l’avance de leurs objectifs. Ils ont creusé un vaste réseau de tunnels: Pour amener les soldats Pour la communication Pour créer les salles pour soigner les blessés Pour y placer les explosifs au-dessous des tranchées allemandes
Les préparations (cont.) Ils ont pratiqué le barrage roulant: déployer un rideau de projectiles devant les soldats. (les allemands le nommé la semaine de la souffrance)
Les préparations (cont.) Ils ont continué les bombardements jusqu’au début de leur grande attaque Ils ont eu de l’entrainement sur les armes allemandes afin de les tourner et utiliser contre les Allemands
Ils avaient l’élément de surprise À cause du fait que: Il y avait de la neige et du verglas C’était lundi de Pâques Le barrage roulant
Le résultat: C’était la première fois que toutes les divisions canadiennes étaient en combat ensemble. Ils ont réussi à gagner la crête. Quand même 3600 soldats canadiens sont morts.
L’impact Les Canadiens ont montré au monde entier qu’ils étaient capables de planifier et d’exécuter une attaque victorieuse. Currie est devenu le premier canadien à obtenir le rang de commandement du Corps – les canadiens étaient commandés par des Canadiens (enfin) Un esprit de nationalisme se trouvait parmi les soldats ainsi qu’au Canada