Saute d’étoile en étoile
Aller, saute léger, d’étoile en étoile, Comme tu sauterais de pierre en pierre, Pour traverser à gué un improbable ruisseau.
Laisse toi éclabousser de poussière de lumière, Et prends bien garde à ne pas glisser, Sur l’aurore boréale, ou sur la brume sidérale.
Et puis, lorsque tu serras sur la rive des cieux, N’oublie pas de t’imprégner du parfum capiteux Des fleurs d’aster aux tendres mauves et bleus.
Ouvre grand tes yeux, retiens la transparence de l’air, Et pose sur ton front brûlant, la couronne de lumière Que tu auras cueillie à la ceinture de Saturne.
Nola Lorsque tu m’ouvriras la porte des cieux Me tendant la main pour que je franchisse le pas Je danserais enfin dans tes bras la valse d’éternité. Nous sauterons alors d’un pas léger d’étoile en étoile…
Lançant vers nos enfants des poussières de lumière. Nous referons à deux tout un monde en couleurs. Tout irisé d’arcs en ciel et de nacre lactée.
Je sais que quelque part, loin d’ici, tu m’attends, Tu n’as pas oublié les éclats de cristal bleutés Que tu as su faire briller aux yeux de nos enfants.
Pour que je n’oublie, sous le scintillement des étoiles, Combien, sautant de collines en marigots, Cœur à cœur, corps à corps, peau à peau, Combien à tout jamais, nous nous sommes aimés…..
Aller, saute léger, d’étoile en étoile, Comme tu sauterais de pierre en pierre, Pour traverser à gué un improbable ruisseau. Laisse toi éclabousser de poussière de lumière, Et prends bien garde à ne pas glisser, Sur l’aurore boréale, ou sur la brume sidérale Et puis, lorsque tu serras sur la rive des cieux, N’oublie pas de t’imprégner du parfum capiteux Des fleurs d’aster au tendres mauves et bleus. Ouvre grand tes yeux, retiens la transparence de l’air, Et pose sur ton front brûlant, la couronne de lumière Que tu auras cueillie à la ceinture de Saturne Lorsque tu m’ouvriras la porte des cieux Me tendant la main pour que je franchisse le pas Je danserais enfin dans tes bras la valse d’éternité. Nous sauterons alors d’un pas léger d’étoile en étoile, Lançant vers nos enfants des poussières de lumière. Nous referons à deux tout un monde en couleurs. Tout irisé d’arcs en ciel et de nacre lactée Je sais que quelque part, loin d’ici, tu m’attends, Tu n’as pas oublié les éclats de cristal bleutés Que tu as su faire briller aux yeux de nos enfants. Pour que je n’oublie, sous le scintillement des étoiles, Combien, sautant de collines en marigots, Cœur à cœur, corps à corps, peau à peau, Combien à tout jamais, nous nous sommes aimés. Nola Clic ->
à Daniel PPS : Nola mai 2007 Images infographie :Nola Images de l’univers prises sur le web Musique : prélude à la détente Sécim
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