LE FLEUR DU MAL Le titre de cet ouvrage résume l'idée de la beauté du poète français. Le mal,comme le bien, a ses fleurs sa beauté ; Le mal, cependant, est plus attrayant . Ce livre cite le "Voyage" imaginaire, typique de la conception de Baudelaire de la vie. En fait, l'inquiétude fait partie de la vie (Spleen), qui contraste avec l'idéal divin (idéal), fait de correspondances naturelles , l'amour et la beauté qui peut être atteint que par l'idéal de beauté. D'autre part, nous avons puis la mort, une autre source de salut. Mais cet ouvrage à la première sortie a été immédiatement censuré parce qu'il était considéré comme scandaleux.
Baudelaire a dit que Dans ce livre atroce il a mis tout son cœur, toute sa tendresse, toute sa religion toute sa haine. Il a choisi de "extrait de la beauté du mal", tournant la poésie dans la négation, la plus violente des valeurs et des idéaux de son époque. Charles Baudelaire fut le poète de la ville pervertie, vices du poète et les misères des hommes. Selon Baudelaire, la cause de la souffrance du poète est lo Spleen, une angoisse existentielle profonde et de désespoir, une difficulté à vivre, ce qui lui fait vivre dans un état de malaise constant. Lo Spleen est ancore une sensation de suffocation et d'impuissance, la solitude, le sentiment moral de l'ennui incurable, horrible et cruel pensées, des hallucinations, et des malaises poussé au bord de la folie. Et si le poète se réfugie dans l'alcool dans l'altération des perceptions.
C'est la poesie qui fait partie du l'ouvrange et qui exprime ces sentiments : LA MORT DES AMANTS Nous aurons des lits pleins d'odeurs légères, Des divans profonds comme des tombeaux, Et d'étranges fleurs sur des étagères, Ecloses pour nous sous des cieux plus beaux. Usant à l'envi leurs chaleurs dernières, Nos deux coeurs seront deux vastes flambeaux, Qui réfléchiront leurs doubles lumières Dans nos deux esprits, ces miroirs jumeaux. Un soir fait de rose et de bleu mystique, Nous échangerons un éclair unique, Comme un long sanglot, tout chargé d'adieux; Et plus tard un Ange, entr'ouvrant les portes, Viendra ranimer, fidèle et joyeux, Les miroirs ternis et les flammes mortes. -Baudelaire-