Le Voyageur contemplant une mer de nuages

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Transcription de la présentation:

Le Voyageur contemplant une mer de nuages Un recueil de poèmes des 4°1

MON REVE   Mon rêve est de retourner Seul pour me reposer Dans ma maison, au pied des monts Pour contempler l’horizon   Et la mer de nuages. Je suis en paix devant ce paysage. Restera-t-il ainsi longtemps encore Avec les astres faisant accord ?   J’entends aussi la mélodie du vent Qui rythme les pas du temps Et qui me conduit au bout de ma vie.   Je partirai bientôt Dans mon petit château Au cœur de mon pays natal.   Stephen FOUCHER

Madeleine ô toi mon amour Madeleine ô toi mon amour ! Que j'ai tant rêvé, Depuis que tu es parti Je ne peux plus vivre.   Si seulement le temps Passait plus lentement Je t'aurais encore Là avec moi comme avant.   Or mes sentiments Me font de la peine, En me faisant penser A ma jolie Madeleine.   ô ma souffrance! Pourquoi es-tu là? Pars donc s'il te plaît! Et ne reviens jamais! Manon BONNIER

Le sens de la vie   Le temps s’enfuit, et moi aussi Les pensées passent, reviennent, trépassent Elles défilent au fil du temps Et moi, seule, je cherche une explication à la vie, Son cycle n’est pour moi qu’un secret. Au fil des jours, de l’eau coule sous les ponts, Les bâtiments s’abîment, Et les vêtements semblent rétrécir. Les Graines germent, poussent et grandissent : Pour finalement mourir et retourner poussière.   Pourquoi ? Pourquoi la vie n’a-t-elle aucun intérêt en sa création ? Pourquoi perdons-nous des êtres chers ? N’a-t-elle donc aucune pitié ? Pourquoi naissons-nous pour mourir ?   Alors que de l’eau coule toujours sous les ponts, Quel le vent souffle encore, Que le Soleil reste dans le ciel à nous éclairer, Sommes-nous donc voués à rester éphémères éternellement ? Ne pouvons-nous donc pas subsister, comme le font ces éléments ? NON !   Carmine Claudot

  Lettre d’un paysage   Au-dessous une mer de nuages blancs, En face une forêt de rochers grands, Je me tiens là, une main dans la poche, Tranquille sur une de ces brunes roches.   Comme je peux avoir chaud dans cet air frais, Ce brouillard, comme un fantôme de la paix ! O Seigneur moi qui suis si près de toi ! Eternise ce monde en entendant ma voix !   Mon aimée un jour, je t’emmènerai là-haut ! Dan ce monde fantastique et beau ! Même dans l’éternité je t’emmènerai, Peut-être même mort je t’emmènerai.   Claire Lounis

Mon avenir, en-haut   La vie une réalité, Le regard une beauté, Le calme en-haut des monts, Je vois de mes yeux, le monde.   En secret, je repose, Un sommeil qui dure toujours, Avec le mal nous reposons. D’en-haut, les jours deviennent doux.   Que me réserve cet avenir ? Qu’est-ce que je vais devenir ? C’est mon heure ! Je leur laisse mon cœur…   Elorine Girot

Mon amour perdu Chaque jour, je pense à toi ; Mon amour perdu. Chaque jour, jusqu’à ma mort, Je grimperai sur ce mont.   Pour toi, pour mon cœur brisé ; Où j’ai jeté tes cendres. Et avant de redescendre, Je regarderai cette vue qui m’a éprouvé,   L’envie de te retrouver ! Cette mer de nuages ; Que personne n’a jamais regardés, Sauf toi et moi, dans ces vagues de rage,   Et à la fois douces ! Tu resteras là, dans mon cœur, Où je ressens ce malheur ; De t’avoir perdue, mon amour.   Ambre MOISELET  

LES MONTS ET MOI !   Les monts me virent faire l'ascension Ils m'ont vu arriver au sommet Ils m'ont proposé de voir leurs horizons Leurs brumes, l'eau et ses reflets.   Moi, ébloui par cette splendeur Je ne pouvais que remercier Dieu Jusqu'à l'heure où il fallait redescendre Je n'aurais pu imaginer mieux.   Les monts, là depuis la nuit des temps Toujours identiques, Moi, là depuis quelques ans.   Ô! Merveilleux monts Vous qui voyez l'horizon. Alors que nous vous apercevons seulement.   Je suis heureux et honoré d'avoir réussi : A vous contempler d'en haut J'en ai les larmes aux yeux. De pouvoir sentir cette brise froide ressemblant : A un soupir Je me sens jeune et idiot En me comparant à la vieillesse et à la sagesse de ces monts.     OLAGNON Gaspar

En haut d’une immense colline, La vie s’ennuie. Il y avait des nuages En haut d’une immense colline, La vie s’ennuie. Il y avait des nuages. On s’embêtait comme une âme seule.   Le soleil brillait comme de l’or. Les collines étaient froides comme de la glace. Le ciel était bleu mais nuageux hélas… Je ressens dans mon cœur un air doux qui se faufilait.   Dans ma tête je ressens l’exil. Je me sens radieux Avec ces paysages mystérieux. Mon âme ressentait le vent qui passe sans cesse.   Jérémy Clémancet

La Mer, cette reine   Je me sentais comme un Dieu quand j’allais la voir Je me sentais comme un Dieu près de la mer noire J’étais tout en joie la première fois là-bas. Quand toi tu l’auras vue elle se pavanera.   Elle n’avait pas de plaisir et pas de sourire Mais il était trop tard pour qu’elle rajeunisse Car justement elle avait trop de regrets Et je voulais l’aider à reposer en paix   Je n’avais pas le courage de pleurer Je voulais purement et simplement crier. Aujourd’hui comme jamais je me sentais confus Et puis je me jetais enfin dans l’inconnu.         Juliette Iskra

Sur la colline   Je montais pas à pas en haut de la colline Je te recherche et je t’imagine Le brouillard enveloppait tout Ainsi que ma raison, je suis comme fou.   Tu m’as accompagné si longtemps Que je veux être plus près de toi Ma vie n’est que tourment Et je souhaite te parler une dernière fois.   O ma tendre, ma bien-aimée Au-dessus de ces nuées M’entends-tu ?   Je ne peux vivre qu’à tes côtés Ma vie, ta vie, notre vie Est partie à tout jamais.   Loïc Baumel

Océan pâle   Ca y est ! J’y suis enfin arrivé, J’ai pu enfin le contempler. Pareil aux océans infinis, Bien plus beau que le paradis.   Plus haut que les montagnes, Plus radieux que le soleil, Il n’y a pas endroit plus calme, C’est à ce moment-là que le soleil s’éveille.   Comme Dieu qui regarda Cet océan immense Qui, malheureusement, ne restera pas.   Car un tel endroit ne dure, Un jour disparaîtra, d’un coup, Et tombera dans les murmures.   Louis Matthaei  

  Pourquoi tout cela ?   La Terre, l’Enfer, Pourquoi la naissance, pourquoi l’existence ? Tout ça est tellement mystérieux. C’est la démence Je pense faire mes adieux, c’est douloureux.   Je désirais une vie harmonieuse et mélodieuse Hélas je n’ai eu que la mort à l’horizon Maintenant le mieux à faire serait de me jeter dans ces nuées Je ne suis qu’un vagabond, il ne me reste qu’à faire un bond.   Trop de désespoir dans ma mémoire, trop de noir. Ne pas rester dans la lumière S’endormir et ne plus s’éveiller   J’ai détesté cette vie passée. La mort, pourquoi nous emporte-t-elle ? Maintenant, il est temps, au revoir et à jamais.   Léo Bilan

Me voilà! Au dessus de la mer de nuages, Sur les hauteurs du mont, Le plus grand et le plus imprégné de malheur. Tous les grands voyageurs, ceux que nous aimons, Y sont montés.   Pour admirer ce paysage radieux, Mais aussi pour lui faire des aveux J’ai longtemps rêvé, Rêvé de lui confier ma peine et ma haine. Comme tous ces voyageurs l’ont fait avant moi.   Je lui livrai mon cœur plein de peines. Il me le rendit plein de joie, Joie que j’avais dans ma chère jeunesse,   Et qui avait disparu dans ma vieillesse. Je repartis retrouver les miens. Que javais laissés il y a bien longtemps, Alors que je les aimais tant.     Claire Patron  

Je me mis à monter sur mon rocher Pour voir ce paysage somptueux, Je me sentis très heureux Je ne pouvais pas m’arrêter de le regarder   Comme si la nature m’en empêchait. Seul, et silencieux, je ne sentis plus de douleur Avec ce ciel rempli de couleur, Debout, je le fixais   Je voyais quelque chose d’extraordinaire En contemplant la mer de nuages Avec qui je suis très sage Vu que tout ceci est un rêve :   Dans cet horizon rempli de mystère Avec le brouillard qui cachait une partie. La nature était devenue mon amie Maintenant, pour le voir, je vais ouvrir les paupières.   Caroline Lavédrine

Tout mon ciel   Devant ces imposants nuages Couvrant mon si beau paysage Je retenais tous mes sanglots Et frissonnais dans mon manteau.   Caché, soumis aux roches sombres Où la lumière devient ombre Je me surprenais à prier Pour cette éternelle beauté !   Cet endroit loin de tout ennui Où ne viendra jamais la nuit ! Je voyais de mon haut rocher Ce rouge soleil se lever.   Un jour, je monterai là-haut Volant parmi les grands oiseaux ! On ne pourra pas m'empêcher De gravir ces brillants sommets !     Oriane Lejarre

Le Majestueux En contemplant ces mystérieux horizons Sans remords, ma douleur est plus profonde. Ces sons mélodieux du vent me tourmentent, Solitaire, et vouloir être désiré me hante.   Se reposer dans un sommeil mystérieux, Ce soleil, ce silence immense et radieux Ô, belle mère de nuage Vous, mon plus beau paysage !   Pour longtemps encore, je regarderai Cette réalité qui me laisse éveillé, Ces beautés, ces nouveautés, ces clartés Charmé, je rêve les yeux ouverts ce que je désirai.   Pourtant je sens le vent, le temps qui passe, Essayant de brouiller, détruire ma tristesse. Hélas ! Or, apparaissant sur mon visage un sourire étrange, Un sourire de toute beauté, me fait devenir aussi digne qu’une mésange.     Naomi Guebri

La Mer de nuages Cette Mer si mystérieuse, Remplie de secrets et de regrets, Là où les nuages apportent la paix, Une paix si harmonieuse. Dans sa lueur apaisante Et sa fraîcheur accueillante Je me trouve étrange. Si bien. Comme un ange. La mer coule de clartés Elle est d’une telle beauté. Je la contemplerai, jusqu’à ma mort, Vent, pluie, neige et autres trésors. O! Mer, si mystérieuse, Toi qui me connais, Rends-moi mes secrets. O, toi qui es si précieuse. Aurianne Boulland

Le voyage, ma vie. Je suis la personne qui a tout perdu Le voyage, ma vie! Je suis la personne qui a tout perdu. Je me balade partout dans les rues En étant désolé de mes mille adieux Qui n’étaient pas tous mélodieux. Maintenant ma vie serait un voyage? Jusqu’à tous les mondes au fond des âges? Je reverrais de mourir à jamais Dans le mois que j’aime et qui est Mai. Sans voir le temps passer je marche et cours Dans ma vie pleine de nature et de merveilles Et mon poids plein de tourment est lourd. Je ne dois plus y penser en voyant le soleil.   Un jour m’a beaucoup éprouvé d’amour. Quand j’ai vu cette mer déchaînée envers les solitaires Je me suis mis à courir et je cours Vers mon destin qui s’éteint et je vois ma lumière.   Et je repense une dernière fois à ma vie. J’étais vraiment désolé et petit. IL y a une fissure remplie d’amour Qui serait remplie d’horreur pour toujours ?   Morgane Meziti

Le paysage   Une fois sur cette montagne, Je sentis le vent puissant m’entraîner vers le vide. Je vis les plaines et collines qui se rejoignent,     La haute montagne qui surgit de la brume Le ciel qui n’est que gris et blanc Les pierres humides et claires comme la lune. Et la douce odeur venant des champs.     Quand je vois ce panorama, Je ne peux m’empêcher de verser des larmes. Mais il ne pleut pas. Les nuages se retiennent de sortir leurs armes.     La terre humide et molle. Les feuilles crispées puis s’envolent. Et c’est ici, ce paysage au doux parfum, Que je me sens bien. Nicolas Cosson

Ces poèmes s’inspirent de la toile de Caspar-David Friedrich reproduite en couverture et ont été réalisés en cours de français , dans le cadre du travail sur la poésie lyrique.