Victor Hugo : Un homme engagé
- Il dénonce le coup d'état de Louis Napoléon Bonaparte Son combat politique : - Il dénonce le coup d'état de Louis Napoléon Bonaparte
- Son combat a aussi été celui contre la censure Le chef du mouvement romantique - Son combat a aussi été celui contre la censure
Son combat contre la peine de mort - Pour lui, la peine de mort est inhumaine - Abolition de celle-ci en 1981
Conclusion : - Il est l'un des artisans majeurs de la promotion de la IIIème République.
“Mes Deux Filles ” de Victor Hugo Présenté par Théophile Bublot
Introduction
Récitation du poème « Mes deux filles » Dans le frais clair-obscur du soir charmant qui tombe, L’une pareille au cygne et l’autre à la colombe, Belles, et toutes deux joyeuses, ô douceur ! Voyez, la grande sœur et la petite sœur Sont assises au seuil du jardin, et sur elles Un bouquet d’œillets blancs aux longues tiges frêles, Dans une urne de marbre agité par le vent, Se penche, et les regarde, immobile et vivant, Et frissonne dans l’ombre, et semble, au bord du vase, Un vol de papillons arrêté dans l’extase.
Versification 10 vers écrit en alexandrins Alternance des rimes masculines et féminines Rimes suffisantes Discordances : contre-rejet, enjambement Figures de style : oxymore, personnification
Explication du poème
Conclusion
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“Jeune fille la grâce emplit tes dix-sept ans” de Victor Hugo Présenté par Simon Mercier
Introduction Léopoldine Hugo Charles Vaquerie
Jeune fille, la grâce emplit tes dix-sept ans. Récitation du poème : Jeune fille, la grâce emplit tes dix-sept ans. Ton regard dit : « Matin, » et ton front dit : « Printemps. » Il semble que ta main porte un lys invisible. Don Juan te voit passer et murmure : « Impossible ! » Sois belle. Sois bénie, enfant, dans ta beauté. La nature s'égaie à toute ta clarté ; Tu fais une lueur sous les arbres ; la guêpe Touche ta joue en fleur de son aile de crêpe ; La mouche à tes yeux vole ainsi qu'à des flambeaux. Ton souffle est un encens qui monte au ciel. Lesbos Et les marins d'Hydra, s'ils te voyaient sans voiles, Te prendraient pour l'Aurore aux cheveux pleins d'étoiles. Les êtres de l'azur froncent leur pur sourcil Quand l'homme, spectre obscur du mal et de l'exil, Ose approcher ton âme, aux rayons fiancée. Sois belle. Tu te sens par l'ombre caressée, Un ange vient baiser ton pied quand il est nu, Et c'est ce qui te fait ton sourire ingénu.
Versification - Dix huit alexandrins. -Rimes sont suivies, riches tantôt masculines, tantôt féminines - Anaphore : « Sois » (vers 5 ; 16) -Personnification « Te prendraient pour l'Aurore » (vers 12)
Explications
Conclusion
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